Non catégorisé

Jeudi 5 septembre 4 05 /09 /Sep 13:21
Lorsque j'ouvre les yeux, un rayon de soleil illumine ma chambre. Il est près de 11h. C'est ma première grasse matinée des vacances. Les épreuves anticipées du bac sont passées, je n'ai plus qu'à savourer les deux mois de vacances qui s'annoncent.
Dans la salle de bain, qui sépare ma chambre de celle de ma soeur, j'entends l'eau de la douche qui s'écoule. Tout comme moi, Candice à l'air d'avoir profité de sa matinée pour traîner au lit. Mais peut-être voudriez vous que je fasse une présentation rapide.

Je m'appelle Alexandre, je viens de finir ma première S. Candice, dont je viens d'évoquer le prénom, est ma soeur. Ma soeur jumelle pour être précis. Arrivée 20 minutes avant moi sur cette Terre, elle adore jouer de ce "droit d'ainesse". Mais il s'agit juste d'une boutade entre nous. Si chez les jumeaux il y a fréquemment un dominant et un dominé, je ne pense pas, en toute objectivité, que ce soit notre cas. D'ailleurs, je peux affirmer sans trop me tromper, qu'aucun de nous deux n'a cherché un jour à avoir l'ascendant sur l'autre. Sommes nous plus unis qu'un frère et une soeur classique? Je vous laisse juger par vous-même. Nous avons nos propres amis, des loisirs indépendants, des goûts musicaux différents. D' un autre côté, il est impossible de nous séparer, ne serait ce que 24 heures. Si nous nous disputons souvent, il n'y a jamais de fâcherie qui ne dépasse la demie-heure. Nous nous confions nos secrets et nos chagrins. Quand nous sortons avec quelqu'un, nous avons toujours besoin que l'autre donne son feu vert. D'ailleurs, à bien y réfléchir, je me rends compte que mes petites copines sont toujours des camarades de Candice, et inversement.
Avec ma soeur, nous partageons le 1er étage de la maison familiale. C'est notre domaine. Nul ne peut y pénétrer sans y avoir été invité. Même nos parents ne montent à l'étage qu'avec notre permission. Hormis la traditionnelle inspection du dimanche soir, afin de veiller à la bonne tenue des lieux. Et chez nos amis actuels, seule une poignée d'entre eux ont eu ce privilège.
Que vous dire de plus? Je pourrais vous expliquer que Candice et moi sommes extrêmement beaux, que nous sommes les plus convoités du lycée, mais ce serait vous mentir. En réalité, je suis assez grand, et ma pratique du VTT en compétition me permet de m'entretenir physiquement. Mais en dehors de ça, je suis d'un aspect banal. J'arrive à avoir des petites amies! Alors pourquoi m'en faire?
Candice est un peu plus grande que la moyenne des filles. Même si je lui répète régulièrement qu'elle n'a pas à rougir de son physique, que je trouve très agréable, ma soeur est hyper complexée par quelques légères rondeurs. Tous les ans, à l'arrivée du printemps, elle se lance dans les derniers régimes à la mode pour ne plus avoir à porter son 38 habituel.
Si je me permet de vous dire qu'elle a un physique des plus agréables, à mon goût, c'est parce que j'ai souvent l'occasion de la voir en sous-vêtements. Comme elle peut me voir en boxer également. Je peux même vous dire que, plus jeunes, nous avions l'habitude de nous promener nus, l'un devant l'autre. Mais à la puberté, cela c'est arrêté.
Bon, je vous confesse que quelques fois, j'ai joué au voyeur. Observant ma soeur jumelle, dans le plus simple appareil, par le trou de serrure de la porte reliant ma chambre à la salle de bain. Ses seins furent les premiers qu'il m'ait été permis de voir en vrai. Son pubis duveteux, m'apparut à l'époque trop furtivement pour que je puisse l'admirer.
Depuis, j'ai eu l'occasion de voir d'autres seins, et d'admirer pleinement d'autres pubis. Je pense qu'avec les filles, j'ai eu le même parcours que beaucoup de garçons. D'abord j'ai eu une copine qui m'a permis de toucher et de voir sa poitrine, puis une autre qui m'a autoriser à aller plus loin en me laissant glisser une main dans sa petite culotte. Cette même fille, me faisant découvrir plus tard, les douces sensations de la fellation. Et enfin, mes deux dernières petites amies furent mes premières vraies partenaires. Surtout la plus récente, car elle avait un gros appétit en la matière.
Sur ce sujet, je crois savoir que Candice est encore vierge. J'en suis même tout à fait certain, car j'ai déjà eu l'occasion d'entendre certains de ses ex se plaindre de ne pas arriver à leur fin. Et puis, je pense qu'elle me l'aurait dit, tout comme je l'avais fait. Toutefois, je pense qu'avec l'un d'eux, elle a été jusqu'à pratiquer quelques gâteries buccales... Si j'ai des doutes à ce sujet, c'est qu'un soir, alors que nous papotions dans mon lit, elle m'avait interrogé sur le plaisir que nous, garçons, éprouvons quand nous nous faisons sucer. Je lui avais expliqué comme je pouvais et lui avais demandé si c'était une chose qu'elle pratiquait. Ce jour là, elle m'avait répondu non, mais je me doutais bien qu'elle prévoyait de le faire...
Voilà ce que je peux vous apprendre sur Candice et moi.

Mais tiens! Le silence règne dans la salle de bain depuis cinq bonnes minutes au moins. La place étant libre, je vais pouvoir enfin y accéder.
J'entre dans la salle de bain. Mon élan est stoppé lorsque je vois que Candice occupe toujours les lieux. Simplement vêtue de son peignoir de bain, elle est assise sur le bord de la baignoire, les jambes largement écartées, penchée vers l'avant, elle semble inspecter son entrejambe. Elle ne m'a pas entendu entrer. Je reste figé un bref instant, puis préférant ne pas passer pour un pervers aux yeux de ma propre soeur, je manifeste ma présence.
"Oups! Désolé! Je pensais que la place était libre."
Instantanément Candice referme les jambes en les faisant claquer. Elle se redresse, tandis que je fais un pas en arrière pour retourner dans ma chambre. Mais je réalise que ses yeux sont larmoyants. Je déteste voir du chagrin dans son regard. Sans doute mon côté ultra protecteur avec ma jumelle. Avec ses cheveux mouillés, tirés vers l'arrière, et son visage empourpré, elle est pourtant mignonne. Les jambes repliées, se dissimulant derrière ses bras ramenés sur son bas ventre, elle ressemble à une petite fille prise en faute. Mais il y a ce regard triste qui gâche tout.
"Qu'est-ce qu'il y a petite soeur? Ça n'a pas l'air d'aller." lui dis je, avec beaucoup de douceur.
Elle hésite quelques secondes avant de m'apprendre, un peu honteuse:
"J'ai une douleur... mal placée!"
Soulagé que ce ne soit qu'un petit souci, je m'agenouille devant elle, tout en posant une main sur ses genoux. Je lui propose de m'expliquer de quoi il en retourne.
"Toutes les filles que je connais se rasent ou s'épilent intégralement. Pas moi. J'ai voulu essayer l'autre jour. Je me suis rasée entièrement. Mais je sais pas pourquoi, ce matin je me suis réveillée avec une douleur. Et quand je passe la main, je sent une zone enflée. C'est super gênant, et douloureux."
"Essaye de tenir jusqu'à ce que Maman rentre du boulot. Elle t'aidera surement à soigner ça."
"Surtout pas. Il ne faut surtout pas que Maman l'apprenne. C'est l'engueulade assurée et la leçon de morale qui va avec. Elle m'a souvent répété que je ne devais jamais le faire, car selon elle, ce sont les filles faciles qui font ça. Alors si elle découvre que je l'ai fait..."
Il est vrai que nos parents sont très conservateurs sur certaines choses, je comprend donc la réaction de Candice.
"Écoute, c'est sans doute pas grand chose. À mon avis c'est simplement un poil qui repousse mal. Tu devrais aller voir l'esthéticienne. Elle saura surement quoi faire?"
"Cette vieille curieuse?" proteste ma soeur "Avec sa langue bien pendue, entre le moment où je quitterai son salon et celui où j'arriverai à la maison, ma mésaventure aura fait trois fois le tour du quartier. Si tu as d'autres idées de ce genre, tu serais gentils de te les garder..."
En plaisantant, je lui reproche de faire la difficile.
"Mais rigole pas! C'est super désagréable. J'arrive à peine à marcher!"
"En tout cas, il va falloir que tu fasses les quelques mètres qui te séparent de ta chambre pour me laisser la place, pour que je me brosse les dents et que je prenne ma douche. J'en profiterai pour réfléchir et chercher une solution."
Candice quitte donc la salle de bain, d'une démarche peu élégante, mais qui trahit son embarras.

Quelques minutes plus tard, après m'être séché et entouré la taille avec un drap de bain, je frappe à la porte donnant accès à la chambre de ma soeur depuis la salle de bain. Sans attendre, je franchis la porte. Candice est allongée sur le lit, son visage dissimulé sous un oreiller. Mon coeur se serre de la voir si mal.
"Pourquoi ne demandes tu pas à Pauline de venir t'aider?"
Pauline est l'une des meilleures amies de ma soeur. Et comme elle est, accessoirement, ma dernière petite amie en date, je suis bien placé pour savoir qu'elle est intégralement épilée également.
"J'y ai bien pensé, mais depuis que tu l'as quitté, elle n'est plus vraiment la même avec moi. Et puis c'est vachement gênant de lui demander... Tu demanderais à tes potes de venir voir si t'avais un problème sur le sexe?"
"Mouai. T'as pas tort, mais tu peux constater que je cherche à t'aider."
"Oui je vois ça. Comme toujours tu fais tout ce que tu peux pour moi. T'es adorable."
"Oh mais je sais que je suis toujours adorable. Tu ne mérites pas un frère jumeau comme moi." dis je, moqueur, en m'installant près d'elle. "Mais tout adorable que je sois, je n'ai plus d'idées."
D'une voix timide, Candice murmure:
"Je crois que j'en ai une. C'est un peu embarrassant, mais tu voudrais pas regarder toi?"
Mon coeur fait un bon, un frisson me parcourt. J'éprouve une sensation inconnue jusque là. Un mélange de curiosité, ainsi que de grande excitation, mais chose inhabituelle, tout cela s'accompagne d'un grand embarras. Les mots ont du mal à sortir de ma bouche.
"Euh... C'est que nous... Enfin je veux dire... Tu es ma..."
"J'ai confiance en toi, plus qu'en quiconque. Tu es mon meilleur ami, en plus d'être mon frère jumeau. Tu es un autre moi. Rappelle toi! Nous nous sommes vus nus des tas de fois déjà." m'explique Candice, en oubliant de préciser que cela fait des années que ce n'est plus arrivé. "En plus comme tu fais du vélo, tu as l'habitude de te raser, tu dois donc savoir quoi faire. S'il te plait grand frère!"
Il faut vraiment qu'elle est un immense besoin de moi pour m'appeler ainsi. Et puis avec toutes ces gentillesses et son air suppliant, comment lui résister? Elle sait me parler et abattre mes réserves. Je respire profondément et je me lance:
"Bon ok! Trouve une pince à épiler pendant que moi je vais chercher un gant de toilette. Je dois avoir une lotion désinfectante et cicatrisante qui devrait faire l'affaire."
Candice pousse un soupir de soulagement. Une vraie joie illumine son visage. Elle m'embrasse sur la joue avant que chacun parte de son côté, en quête du nécessaire utile à la libérer de sa gène.
Dans ma tête, c'est un véritable feu d'artifices. Je n'arrive pas à réaliser, que dans quelques instants, Candice, ma propre soeur jumelle, va me permettre de voir son sexe de très très prés. Je suis euphorique et intimidé en même temps. Mon excitation croît. Pourvu qu'une érection intempestive ne vienne pas effrayer ma soeur. Avec ma seule serviette de bain autour de la taille, il ne sera pas facile de la dissimuler. Mon coeur bat vraiment très fort.

Lorsque je retrouve ma soeur dans sa chambre, elle est assise sur le bord du lit. Elle bouge les jambes avec nervosité. Les croisant, les décroisant. Elle a rapproché sa lampe de chevet. Avec un petit sourire elle m'explique:
"J'ai pensé que tu voudrais plus de lumière pour..."
"Oui, bonne idée."
Je m'approche d'elle, et je m'assois sur le sol, juste devant ses jambes, jugeant l'emplacement plus adapté pour agir.
"Tu es certaine de vouloir que ce soit moi qui te le fasse?"
"Oui. C'est vraiment une faveur que je te demande. Et puis je ne suis pas la première à te montrer son minou. Tu en as vu d'autre."
"Peut-être... mais là, c'est ma soeur qui va me montrer la sienne. Et c'est différent.
"Je sais... Allez, on y va?!"
Je lui donne le gant de toilette imbibé d'eau chaude.
"Passe le sur toi. Le gant à un effet exfoliant, et l'eau chaude va dilater les pores."
Je sais que mes explications sont inutiles, mais elles me permettent de rompre un silence gênant. Candice saisit le gant et le fait disparaître sous les pans de son peignoir. Pendant quelques instants, elle frotte son intimité. Ce simple geste quotidien perd totalement son côté anodin dans ces circonstances, pour revêtir un aspect érotique. Ma soeur a le visage qui rosit. Est ce la gène de se frotter devant moi? Ou bien est ce l'effet de ce frottement? Bien sur je l'ignore, mais pour ma part, je sent mon sexe qui commence à durcir. Mais assis comme je lui suis, je pense que Candice ne voit rien de mon état. En tout cas, ni elle, ni moi osons nous regarder dans les yeux.
Pour me donner de la contenance, et ne pas rester à rien faire pendant que ma soeur se frictionne, j'approche d'avantage la lampe de chevet, et j'installe les affaires que nous avons rassemblé.
"Je pense que tu peux arrêter."
Quand Candice me redonne le gant, je lui demande si elle est prête. D'un petit geste de la tête, elle me fait signe que oui.
"Très bien. Alors allons y!"
Candice dénoue la ceinture de son peignoir, et en écarte les pans. Je ne peux m'empêcher de la regarder dans sa quasi-nudité. Elle ne porte rien sous son peignoir. Le haut de son corps et sa poitrine sont toujours un peu couverts, mais en dessous de ses seins, son corps est entièrement exposé à ma vue. Mes sens s'échauffent. Elle ouvre les cuisses lentement. Son sexe m'apparaît dans toute sa beauté. Ses lèvres intimes sont fines, son clitoris, délicat petit bouton, est d'un rose pâle, tout comme le reste de sa vulve.
"Pfou!"
Bien involontairement, je ne peux retenir ce soupir d'admiration. Mais Candice se méprend sur sa signification, et resserre immédiatement les jambes.
"Qu'est ce qu'il y a? C'est si grave que ça?"
Elle semble à deux doigts de paniquer. D'un geste d'apaisement, je pose ma main sur son genoux.
"Non, non! Pas du tout! C'est juste que je... la trouve très belle."
"Oh..." repond-elle, toute embarrassée par ce compliment inattendu. "C'est gentil."
De nouveau, ses jambes s'écartent. Je me concentre sur ma tâche. Lorsque la fente de ma soeur jumelle est bien ouverte, je remarque une petite boule irritée sur l'une de ses lèvres. Vu l'emplacement, je comprend très bien, à présent, la gène qu'elle doit ressentir. Il s'agit bien d'un poil qui n'arrive pas à percer le peau. Une simple manipulation avec la pince devrait suffir à l'extraire et la soulager.
"Ok, ce n'est rien de méchant. Tu aurais eu du mal à le faire toute seule. Tu vas voir, dès que je l'aurai ôté, ce poil ne sera plus qu'un mauvais souvenir. Et dans une heure, je suis même certain que la douleur aura disparu."
"C'est vrai? Tant mieux!" souffle-t-elle.
"Par contre il faudrait que tu avances ton bassin plus vers moi, et que tu écartes bien les jambes que je puisse faire ça plus facilement."
Candice s'exécute.
Placée comme elle est, la zone inflammée ne me laisse pas le choix: avec mes doigts, je vais devoir écarter les lèvres intimes de ma soeur. J'avance donc une main tremblante, ainsi que mon visage, qui se trouve à quelques centimètres à peine de cette magnifique petite chatte. Habituellement, quand je me trouve à une telle proximité, je m'adonne à des activités plus agréables. Mais rien avant ce jour ne m'a paru plus excitant. L'envie de me laisser aller à des caresses plus sensuelle me traverse l'esprit.
Avec le pouce et l'index, j'entrouvre ce fruit défendu. Le vagin de ma soeur est entièrement dévoilé. Au contact de mes doigts, je sent la chaleur de sa peau.
"Concentre toi sur ce que tu as à faire, et rien d'autres!"
C'est ce que me répète ma bonne conscience. Toutefois, face à ce spectacle, cela s'avère difficile. Juste avant de retirer l'objet du tourment, j'appuis un peu plus fermement sur la lèvre meurtrie.
Je jette un regard au visage de Candice. Elle me fixe également. Son visage est rouge. Elle se mord la lèvre inférieure. Le haut de son peignoir s'est écarté, me révélant une partie non négligeable de sa poitrine.
"J'y vais!"
"Ok"
D'un geste que je souhaite assuré, je retire le poil indélicat d'un coup sec. Candice se raidit, et pousse un petit "Ah"
Satisfait de mon travail, j'explique à ma soeur que c'est terminé. Immédiatement, ma jumelle saisit son petit miroir à maquillage et, tout en gardant les jambes largement écartées, elle inspecte sa chatte.
"Tu as vu? Tu es toute mouillée, petite coquine."
Avec un large sourire, elle glisse son pied sous la serviette de bain, qui est mon seul vêtement, et vient effleurer mon sexe. Elle ne peut que constater mon érection, présente depuis un long moment.
"Oui! Et toi tu es tout dur..."
Lorsqu'elle s'est penchée pour observer sa vulve, le peignoir s'est ouvert largement. Si bien, qu'en plus de son sexe, je peux pleinement observer ses seins aux aréoles gonflées et aux tétons saillants. Je ne suis pas de bois, et je devine que la situation peut déraper. Pour l'éviter, je tend à Candice la lotion apaisante et je me relève pour quitter la chambre. Le regard de ma jumelle se pose sur la proéminence que forme mon sexe sous la serviette.
Je suis sur le point de quitter la pièce, lorsque Candice m'interpelle:
"Tu es vraiment le frère le plus génial dont une fille peut rêver!"
"Et toi tu es la plus craquante des soeurs."
Une dernière fois je la regarde, le peignoir ouvert, les jambes écartées, les seins gonflés...
Puis je regagne ma chambre, tremblant, n'arrivant pas à réaliser ce qu'il vient de se passer...



À suivre


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Par intales - Communauté : histoires coquines sans tabous
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Jeudi 5 septembre 4 05 /09 /Sep 13:13

C'est d'un pas décidé que Marjorie quitte la salle de bain. L'Homme a tenu parole et ne l'a pas obligé à faire quoique ce soit d'irrémédiable. Certes, elle a du la masturber et à présent elle doit rester nue devant lui, mais c'est bien moins grave que ce qu'il aurait pu lui faire subir. Elle ne pense plus qu'aux bras de son père et à leurs bienfaits. Et lorsque l'Homme ouvre la porte de la buanderie, Marjorie se précipite à l'intérieur.

Pierre a juste le temps de réagir pour écarter les bras et la recevoir contre lui.

"Oh mon Papou..."

Choqué de voir sa fille le rejoindre totalement nue, il s'adresse à leur geôlier avec véhémence:

"Salaud! Que lui avez vous fait?"

"Du calme Meyer! T'inquiète pas, je lui ai rien fait à ta gamine. Et si tu veux tout savoir, elle a toujours sa petite fleur. Et si elle est aussi légèrement vêtue c'est juste par goût de la beauté. Un plaisir d'esthéte en quelque sorte." répond l'Homme avant de refermer la porte derrière lui et de laisser Marjorie et son père seuls.

La jeune fille se doute bien que son père hésite à refermer ses bras sur elle. Elle comprend que sa nudité en est la cause.

"S'il te plait, serre moi fort..." demande-t-elle.

Les bras paternels enveloppent ses reins, et l'étreignent pour son plus grand soulagement. Toutefois, si elle trouve dans ce geste le même réconfort, si les gestes de son père sont aussi affectueux et chastes que toutes les nombreuses fois où cela a eu lieu, Marjorie éprouve, à cet instant précis, un trouble particulier. Être nue contre lui. Plaquer ses seins libres contre son torse. Sentir le contact des mains de son père sur sa peau, au creux de ses reins. Tout cela lui procure un trouble délectable .

Si seulement les circonstances pouvaient être différentes...

"Qu'est ce que ce monstre t'as fait?" l'interroge son père, avec une douceur qui peine à masquer son inquiétude.

"Rien. Il ne m'a pas touché. J'ai juste du le laver et le... masturber."

"Oh non! Ma pauvre chérie."

"Ne t'inquiète pas. C'est pas si grave. J'ai fermé les yeux et je n'ai plus pensé à lui. Ok, il avait ma main, mais il n'a rien pris d'autre. Pas même mon esprit."

Lorsque l'étreinte se relâche, Pierre retire son t-shirt et le tend à sa fille pour qu'elle se couvre avec. Puis les minutes se mettent à défiler sans que l'Homme ne vienne les chercher. Des heures peut-être. De temps à autre, son pas se fait entendre. Un claquement de porte. Un raclement de gorge. Suffisamment pour que Marjorie n'oublie pas cette présence intrusive dans le cocon familial.

Durant toute l'attente, elle reste collée à son père. Sans qu'elle ne puisse le maîtriser, elle se remémore le trouble qu'elle a ressenti lorsqu'elle était nue contre lui. Elle s'interroge sur les pensées qui lui sont venues quand, sous la douche, elle masturbait l'Homme. Et que dire de son attirance pour le sexe de son père? Si, jusqu'à aujourd'hui, elle ne s'est jamais posée de question sur la signification de ce désir, la confrontation au danger paraît lui faire prendre conscience que son attachement pour son père dépasse le simple lien filiale. Tout s'emboite dans son esprit: ces garçons qui ne l'attirent pas trop, ce besoin d'être avec son père aussi souvent et aussi près que possible, ces fantasmes où il n'est que le seul homme à intervenir...

Mais avant qu'elle ne finisse par s'avouer l'indiscutable vérité, le bruit de la clé dans la serrure la rappelle à la réalité de la situation.

"Allez! Dans le... Eh mais c'est quoi ça? Qui t'as autorisé à te couvrir?" gronde l'Homme en levant son arme.

"C'est moi qui lui ait donné mon t-shirt pour qu'elle ne reste pas nue."

L'Homme pointe alors son arme en direction de Pierre et le regarde avec intensité. Comme s'il était en train de réfléchir au sort qu'il allait lui réserver. Marjorie prend peur. Sans attendre, elle retire le vêtement et le jette aux pieds de l'Homme.

"Regardez, je n'ai plus rien maintenant. Ne lui faites pas de mal, je vous en supplie!"

L'Homme baisse son revolver, puis d'une voix sèche et décidée annonce:

"Meyer c'est la dernière fois que tu prends des initiatives de la sorte. Encore une erreur et je t'envois faire un séjour au Boulevard des Allongés. Je ne te préviendrai plus. En attendant, puisque je ne veux pas que tu lui donnes également ton pantalon dès que j'aurai le dos tourné, tu vas te foutre à poil toi aussi. Illico!"

Comprenant qu'il n'est guère utile de négocier, Pierre se déshabille. L'Homme leur ordonne ensuite d'aller dans le salon.


 

Sur la table basse, devant le canapé, se trouvent quelques sandwiches sur une assiette.

"J'ai pas envie que la gamine meurt de faim, alors je me suis permis de réquisitionner les provisions que vous aviez prévues pour votre petite virée. Mangez."

Bien qu'elle ait l'estomac noué, Marjorie avale sa part sans rien dire. L'atmosphère est pesante. L'Homme les dévisage à tour de rôle. L'air bonhomme qu'il affichait au sortir de la salle de bain, il y a presque trois heures de cela, s'est envolé. Quand il ne reste plus rien à manger, il ordonne au père de Marjorie de ramener l'assiette dans la cuisine et de leur apporter à boire.

"Que voulez vous que je vous ramène? Je dois avoir des bières dans le réfrigérateur."

Le visage de l'Homme s'éclaire.

"T'es vraiment un petit malin Meyer... Tu t'es dit quand m'offrant quelques mousses pour m'hydrater l'oesophage, j'allais peut-être me piquer la ruche et t'en aurais profité pour prendre le dessus... Bah tu vois, quand je suis en cavale, je suis aussi sobre qu'un chameau en plein désert. Rapporte nous de l'eau. Ça sera suffisant. Ensuite tu poseras sur la table basse les deux cartons à chaussures que j'ai laissé sur la table de la cuisine."

Marjorie demande la permission d'aller aux toilettes.

"Ok, dès que ton paternel est de retour. Mais attention! T'endors pas sur le trône, Princesse! Sinon je vais te chercher..."


 

Lorsque la jeune fille retourne dans le salon, son sang se glace. Elle reconnaît ce que contiennent les deux boites que l'Homme a fait mettre sur la table basse: ses journaux intimes.

Ce goût d'écrire sa vie sur des carnets à spirale lui est venu à l'adolescence. Comme beaucoup de filles. Mais si la plupart d'entre elles abandonnent rapidement cette activité, Marjorie, pour sa part, ne s'en est jamais lassée.

"Allez ma jolie, vient t'assoir."

L'Homme sourit. Entre ses mains, la jeune fille reconnaît l'un de ses carnets les plus récents. Une vague de honte la submerge. À bien y réfléchir, elle préfère être nue devant lui plutôt que laisser cet Homme lire ses secrets. Tous ses secrets...

"S'il vous plait, ne lisez pas mes carnets..."

L'Homme éclate de rire.

"Vu les quelques passages sur lesquels je suis tombé, je comprend pourquoi... Mais bon, après la petite douche de tout à l'heure, nous sommes presque devenus des intimes tous les deux."

Puis il se replonge dans sa lecture, qu'il ponctue de temps à autre par un rire, un oh moqueur, ou simplement par un regard appuyé vers Marjorie.

Pour une fois, la main de son père, qui vient de se poser sur sa jambe, ne lui apporte aucun réconfort. Jamais elle n'a eu autant envie de disparaitre.

Après quelques minutes de lecture, l'Homme relève le visage pour s'adresser à sa jeune victime.

"Tu fais de la danse depuis longtemps?"

"Depuis mes 5 ans."

"Et tu continues encore?"

"Oui. De la danse classique, et un peu de modern jazz."

"Hmm... Je sais pas si c'est vrai, mais j'ai entendu dire que chez les filles qui font de la danse, c'est comme celles qui font l'équitation: leur berlingot cède avant l'heure... C'est vrai?"

"Je ne sais pas. Ça doit dépendre des filles..." répond timidement Marjorie.

"Mouais... En tout cas, quand je te vois, et quand je lis ce que tu écris, ça me donne envie d'aller vérifier par moi même."

La jeune fille perçoit la crispation qui vient de parcourir son père. Elle cherche discrètement à le calmer, de peur que la situation dégénère.

"Dis moi Meyer, tu savais que le petit abricot de ta gamine était toujours intacte? C'est pas banal pour une donzelle de son âge. Mais en lisant son journal, on découvre qu'elle n'est pas si innocente que ça ta gamine! Il semblerait que tout à l'heure je n'ai pas été le premier homme qu'elle ait vu dans toute sa vigueur, et que les plaisirs solitaires ne lui soient pas inconnus..."

"Ça ne regarde qu'elle." rétorque le père de Marjorie.

Mais sans se soucier de ce qu'il vient d'entendre, l'Homme feuillette le carnet qu'il a entre les mains, cherchant apparemment un passage précis.

"Ah là! Ce passage, j'adore... Tiens ma jolie, lis nous le à voix haute..."

La jeune fille saisit le carnet à la page en question, et commence à lire en silence. Un sentiment proche de la panique prend possession de tout son être. Elle jette un regard implorant à son bourreau. Mais celui ci semble se délecter de la situation.

"Allez, allez ma jolie! Je suis sûr que ton «Papou» va se régaler en découvrant cet aspect là de sa petite fille chérie."

Marjorie se tourne vers son père et s'excuse avant de commencer la lecture à voix haute.


 

"Vendredi soir, le sommeil n'a pas voulu de moi. Je me suis tournée et retournée sans cesse dans mon lit. Et, comme cela s'est si souvent produit, je me suis mise à penser à son sexe. Je m'imaginai le prendre entre mes mains. Je l'imaginai en train de grandir grâce à mes caresses, ou mieux encore: grâce à mes baisers. Cela fait si longtemps que j'ai envie de jouer avec. Il n'aurait plus besoin de le faire tout seul, en cachette. Il m'aurait moi. Mes mains. Ma bouche. Et s'il le demandait, il m'aurait toute entière. Pour notre plus grand plaisir à tous les deux...

Penser au sexe de Papou, le revoir en mémoire, me rappeler les fois où je l'ai vu se caresser suffit à me donner envie. Et ce soir là, j'ai eu très envie. De mon sexe, naissait cette chaleur qui s'écoule toujours en moi et qui me rend fiévreuse quand je suis excitée. Ce feu qui rend mon corps si demandeur de caresses. C'était tellement fort, que contrairement à d'habitude, je n'ai pas pris le temps de me toucher les seins, ou de palper mes fesses, ni même d'effleurer les autres endroits qui me font de l'effet. Vendredi soir, j'ai simplement relevé ma nuisette et je me suis mise à caliner mon clitoris, tout en glissant deux doigts en moi. J'étais déjà toute mouillée avant même de commencer. Il faut dire que cela faisait plus d'une semaine que je n'étais pas faite jouir. Je crois que mon corps était comme en manque. Combien de temps a-t-il fallut pour que mon orgasme m'extirpe un râle de plaisir? Je n'en sais rien, mais ce fut très rapide et très intense. Trop rapide même. Alors je n'ai pas cessé de faire jouer mes doigts, jusqu'à ce que je jouisse une seconde fois.

Mon corps était alors apaisé. Je me suis endormie presque aussitôt.

Je sais que fantasmer sur mon père n'est peut-être pas très normal. Mais je meurs d'envie de partager de tels moments avec lui. Mais à qui en parler? Mes amies? Trop risqué. À Papou? S'il me rejette, j'en mourrai de honte. Et s'il acceptait, comment pourrai-je être à la hauteur puisque je n'ai aucune expérience. Comment est ce que je vais faire pour gérer ces drôles d'envies?"


 

Marjorie cesse sa lecture. Les yeux fermés, elle cherche à canaliser la honte qui la frappe. Son secret le plus intime vient d'être livré en pâture. À présent, c'est certain, son père va la rejeter. Il doit sûrement éprouver du dégoût à son égard.

Elle s'isole si intensément en elle même, qu'elle n'entend pas l'échange entre son père et l'Homme.

"Alors Meyer! Je suppose que tu ne te doutais pas de ça... Ta fille qui fantasme sur toi. C'est pas banal!"

"Je n'ai rien à vous dire. Ça ne vous regarde pas!"

"En tout cas, tu devrais être plus discret quand tu te fais du bien. Car la gamine, elle est jamais bien loin pour se rincer l'oeil. À moins que tu t'en sois déjà rendu compte et que cela augmente ton plaisir... La prochaine fois, demande lui de t'aider. J'ai pu en juger sur pièce: elle a la main douce."

Le rire tonitruant de l'Homme explose. Envahit la pièce. Abat les barrières que Marjorie cherche à installer entre ses émotions et le monde extérieur.

Lorsqu'elle ose enfin relever la tête, ses yeux se tourne vers l'intrus. Celui-ci est de nouveau plongé dans la lecture des carnets, un rictus de satisfaction aux lèvres. Puis la jeune fille dépasse sa crainte et se tourne vers son père. Immédiatement, il lui adresse un sourire, dont elle perçoit toutefois le petit air gêné, tout en lui prenant la main. D'ailleurs, il la porte à sa bouche pour l'embrasser.

"Ne t'inquiète pas ma chérie, tout ira bien." lui murmure-t-il.

À moitié rassurée, Marjorie se replie une nouvelle fois derrière ses paupières closes. Petit à petit, grâce au contact de la main de son père sur la sienne, elle retrouve ce bienfait que cela lui a toujours apporté. Elle finit presque par être soulagée que son père connaisse enfin le désir qu'il lui inspire.

Dans son fauteuil l'Homme lit chacun des carnets. Il alterne les réflexions moqueuses, les allusions salaces ou les longs moments de silence. Le temps semble s'étirer à n'en plus finir. Marjorie, comme son père, sont emportés par une sorte de léthargie. Si bien qu'à un moment, la jeune fille finit par s'assoupir quelques minutes sur l'épaule paternelle.


 

Lorsqu'elle refait surface, elle se rend compte que son père parcourt discrètement son corps du regard. Elle sent son regard errer sur ses jambes, son ventre puis ses seins. Surpris en flagrant délit, il rougit instantanément. Marjorie ne peut s'empêcher de lui adresser un large sourire et d'éprouver une certaine satisfaction à susciter l'intérêt de celui qui l'attire tant.

"Si seulement ce type pouvait partir et nous laisser tous les deux..." se dit-elle.


 

Le dernier carnet achevé, l'Homme s'étire avant de regarder l'heure.

"Bon, il va être l'heure de faire dormir nos yeux. Vous deux, vous allez passer la nuit dans le camping-car. N'ayez crainte, j'ai fait en sorte que vous ne puissiez pas me fosser compagnie en sécurisant le garage. Et les gars de mon espèce ont le sommeil léger... C'est vital. Alors si vous tentez quoique ce soit, je serai toujours plus rapide que vous."

L'Homme se relève et leur fait signe de prendre la direction de la cuisine, où se trouve la porte du garage.

Au moment de laisser Marjorie et son père entrer dans le camping-car, l'Homme saisit la jeune fille par le bras.

"Prends des forces ma belle, car demain ton petit abricot sera mon dessert... Allez, bonne nuit les Meyer! Et pas de mauvaise blague sinon... Couic!"


 

C'est avec soulagement que la jeune fille voit la porte du camping-car se refermer. Pour quelques heures, elle ne sera plus en présence de son geôlier. Et si les derniers mots qu'il a prononcés ne présagent rien de bon pour le lendemain, elle tient à profiter de ces instants de répit.

Toutefois l'ambiance dans le véhicule est étrange. Ni Marjorie, ni son père n'osent parler, ni même se regarder. Leur nudité ainsi que les révélations des carnets imprègnent l'atmosphère d'un désir interdit. Chacun s'installe dans la couchette qu'il a l'habitude d'occuper durant leurs voyages.


 

Durant près d'une heure, Marjorie tourne dans tous les sens, à la recherche d'un sommeil qui refuse de l'emporter dans ses limbes. Trop de choses encombrent son esprit.

"Papou... tu dors?" demande-t-elle d'une voix à peine audible.

"Non."

"Je peux venir dans tes bras?"

Durant quelques secondes, son père ne répond pas. Pour la première fois, il semble hésiter. Jamais auparavant il n'avait fait preuve d'hésitation.

"Papa... s'il te plaît..."

Papa! Depuis quand ne l'a elle plus appelé ainsi? Elle n'utilise ce mot qu'en cas de situation grave. Comme pour rappeler le lien paternel et le ramener aux devoirs qu'incombent ce rôle.

"Viens..." finit-il par céder.

Marjorie saisit la lampe de poche qu'elle conserve en permanence sous le matelas et se dirige vers le lit de son père, puis elle se glisse sous le drap. Elle pose la lampe allumée près d'eux.

Après un long moment de silence, elle vient se blottir contre le flanc nu de Pierre.

"Je suis désolée..." dit-elle doucement.

"C'est pas grave ma chérie."

"J'aurais préféré que tu ne l'apprennes pas de cette manière."

"Tu sais, je ne te juge pas. C'est juste surprenant pour un père de découvrir ce genre de chose.Et cela fait longtemps que tu... penses à ça?"

"Depuis assez longtemps oui. En fait, depuis qu'un soir je t'ai vu te masturber dans ta chambre..."

"Ce mec a raison, je devrais être plus prudent."

"Non! Il n'aura jamais raison!" proteste Marjorie.

Un nouveau silence s'installe. La jeune fille pose sa main sur le torse de son père.

"J'aime beaucoup te regarder faire..."

"Tu m'as souvent vu?"

"Oui... enfin assez souvent."

"Pourtant je ne le fais que lorsque je pense que tu dors..." dit Pierre, comme pour s'excuser.

"Et toi... Il ne t'est jamais arrivé de... penser à moi, en le faisant?"

Mal à l'aise, le père de Marjorie ne sait comment lui répondre, et elle comprend la signification de cette gêne.

"Donc c'est oui!" murmure-t-elle.

Intérieurement, la jeune fille jubile. Enfin, elle sait que son désir est partagé. Rien ne saurait la rendre plus heureuse. Mais les circonstances gachent toutefois son plaisir.

Sans vraiment s'en rendre compte, sa main est descendue du torse vers le ventre de son père. Une de ses jambes est venue recouvrir les siennes. Son pubis est contre la hanche droite de Pierre. Dans sa tête, il n'y a plus qu'une seule idée...

"Papou... Tu as entendu ce que cet Homme a dit qu'il me ferait demain?"

"Oui j'ai entendu. Mais je ne le laisserai pas te toucher."

"Mais comment pourras tu faire? Il est armé! On ne peut pas lui résister."

Marjorie voit bien que son père cherche une solution, mais que cela ne vient pas. Elle se jette à l'eau après avoir pris son inspiration:

"Je ne veux pas qu'il me touche. Mais on a pas les moyens de s'opposer à lui. Alors puisque je n'ai pas ce choix là, je peux quand même décider qu'il ne sera pas le premier..."

Comme pour illustrer son propos, Marjorie déplace sa main et vient saisir le sexe de son père. Celui-ci, dans un geste qui tient plus du réflexe qu'autre chose, pose également sa main sur celle de sa fille.

"Ma chérie, tu es ma fille..."

"Oublie le, le temps d'une nuit s'il le faut. C'est à toi que j'offre ma virginité. À toi et à personne d'autre. Et certainement pas à ce monstre." réplique-t-elle, avant de couvrir les lèvres de son père avec les siennes.

Pierre ne marque qu'un instant d'hésitation avant de succomber, pour le plus grand bonheur de sa fille.

C'est le coeur battant qu'elle reçoit la langue de son père contre la sienne. C'est fiévreuse qu'elle sent les mains de Pierre l'attirer contre lui, lui caresser le dos, lui enlacer les reins, l'étreindre avec passion.

Dans sa propre main, qui lui entoure toujours la queue, elle le sent se gonfler de désir. Elle, qui a si souvent rêver de cet instant, peut enfin faire monter et descendre ses doigts sur ce sexe désiré.

Tout son corps et toute son âme se sont embrasés. Sa peau est en feu. Son sexe irradie d'une bien agréable fièvre. Et lorsque Pierre délaisse ses tendres baisers pour faire voyager ses lèvres sur son corps, elle bascule dans un univers d'immense désir.

Tout est plus intense que dans ses rêves les plus fous, ou que dans ses moments de plaisirs solitaires. Jamais ses seins n'ont été aussi sensibles qu'à cet instant où il les prend à pleines mains, qu'il les suce. Ses tétons semblent être plus saillants que d'habitude. Et puis... Et puis... Non, Marjorie cesse de penser, de comparer. Elle se laisse simplement guider par son plaisir et par le trajet que suit son père pour atteindre son pubis. Et quand il y parvient, elle s'entre-ouvre volontiers pour lui laisser l'accès.

Elle n'a nul besoin de placer sa main entre ses cuisses pour savoir que son sexe est couvert de cyprine. La tête légèrement relevée, elle regarde le visage de son père approcher de sa vulve.

"Hmmmm..."

Le contact de la langue de son "amant" sur son clitoris la fait gémir. Cette étrange pulsation qui émane de ce petit bouton magique lui procure un plaisir grandissant.

Elle est prête à jouir quand son père glisse un doigt en elle. C'en est trop. La langue et le doigt associés lui procure un orgasme. Une explosion de plaisir qui la fait se cabrer sur le lit.

Mais son père n'a de cesse de poursuivre ses caresses. Et très rapidement, elle se retrouve transportée une nouvelle fois. C'est à cet instant qu'elle voit Pierre se redresser et venir placer son bassin entre ses jambes écartées.

Elle comprend que c'est le moment. Dans un instant son père fera d'elle une femme. Elle ressent une étrange sensation lorsque le gland paternel s'introduit dans son vagin. Elle perçoit clairement le cheminement de la queue gonflée en elle. Elle n'a pas mal. Ce que disait l'Homme est surement vrai: la longue pratique de la danse l'a certainement libéré d'un moment douloureux.

Marjorie est heureuse de sentir son père adoré aller et venir en elle, de sentir cette queue désirée la remplir. Tout n'est que plaisir et volupté. Une sensation nouvelle.

À chaque va-et-vient, elle ne pense qu'à son propre plaisir. Égoïstement. Mais elle sait que son père est tout aussi comblé qu'elle. Il suffit de voir avec quelle énergie et quelle passion il lui fait l'amour et qu'il l'embrasse.

Tous les deux se livrent sans retenues. Même si elle se laisse plutôt porter. Marjorie prend la pilule depuis longtemps, il n'y a donc aucun risque. Et pendant que son père accélère ses coups de rein, elle glisse une main sur son clitoris pour renforcer son plaisir.

Elle est sur le point de jouir une seconde fois.

"Oh ouiiii.... Continue..."

Et de nouveau, un bel orgasme la traverse. Quasiment au même instant, elle sent le sperme de son père se répandre en elle.


 

Cinq minutes après qu'ils aient jouis, Marjorie est toujours dans les bras de son père. Comblée, heureuse, elle en oublie presque que dans la même maison qu'eux, se trouve un fugitif. Une douce torpeur, accompagnée par de tendres câlins suffisent à faire sombrer la jeune fille dans un profond sommeil.

Demain sera un autre jour.


 
 

Marjorie et son père se réveillent en sursaut. Derrière la porte du camping-car, une voix répète en boucle:

" Levez-vous, je suis parti!... Levez-vous, je suis parti!..."

Pierre Meyer est le plus prompt à se lever. Il se précipite vers la porte. En l'ouvrant, il trouve son smartphone sur le marche-pied baissé. La voix de l'Homme fait office de réveil.

Marjorie se tient derrière lui.

"Reste là ma chérie. Je vais vérifier."

Il tend son téléphone à sa fille et se dirige à l'intérieur de la maison.

Lorsqu'il reparait un long moment après, il affiche un immense sourire. Il tend une feuille à sa fille.

"Il est vraiment parti! Tiens, lis ça."


 

«Salut les Meyer.

Je profite de la nuit pour lever le camp. J'espère que vous ne m'en voudrez pas trop d'être parti sans vous dire au revoir. Mais que voulez-vous, les adieux larmoyants c'est pas mon truc.

Trêve de plaisanterie, je vous invite fortement à m'oublier. Un mot de vous à la volaille et je reviens m'occuper de vous... À commencer par la gamine. Bien moins gentiment que ces dernières heures.»


 

Marjorie souffle un long soupir de soulagement. Le cauchemar a donc pris fin. Elle se précipite dans les bras de son père et se met à pleurer à chaudes larmes. Pour la première fois depuis le début de cette mésaventure.

Lorsqu'elle est calmée, père lui demande:

"Tu veux qu'on aille porter plainte?"

"Non! C'est trop dangereux. Je veux l'oublier pour toujours. La seule chose que je veux garder c'est ça..."

Elle approche sa bouche de celle de son père et l'embrasse langoureusement. Son corps est tellement collé à lui, qu'elle devine l'érection naissante de son Papou.


 

ÉPILOGUE


 

Il est près de 9h quand Pierre quitte le camping-car pour faire quelques achats. Marjorie dort encore. Il faut dire que leurs nuits sensuelles sont parfois épuisantes. Mais si agréables.

Une semaine déjà que Pierre et sa fille sont en Italie. La journée, ils sont père et fille en vacances, mais dès la nuit tombée, ils deviennent deux amants insatiables...

Alors qu'il s'apprête à entrer dans une épicerie, Pierre reçoit un sms.

«Appelle moi quand tu es seul»

En regardant l'expéditeur, il ne peut s'empêcher de sourire. Il appuit sur l'icône Appel.

"Oui?" fait une voix grave.

"C'est Pierre."

Un rire tonitruant éclate à l'autre bout du combiné.

"Alors mon ami, comment se passe ces vacances en Italie?"

"Chaudes. Très chaudes!"

"Ah tu vois. Je te l'avais bien dit. Notre petit plan n'avait aucune faille." s'exclame la voix

"Tu avais raison. Mais franchement tu m'as bluffé. Je ne te connaissais pas aussi bon comédien."

"Oh j'avais potassé un peu le rôle... Enfin je me suis bien amusé. Et ta gamine ne s'est doutée de rien?"

"Non apparemment. Ou elle n'en laisse rien paraître. En tout cas merci pour le coup de main..."

"Bah de rien... Tu vois tu as bien fait de te confier à moi quand tu as découvert ses carnets."

"Oui. Encore merci..."

"Allez je te laisse profiter de tes tendres vacances avec ta fille. Depuis le temps que vous aviez envie l'un de l'autre... Et reviens nous en forme au boulot, les dossiers s'accumulent sur ton bureau. Au fait, ton secret sera bien gardé. Ciao Pierrot!"

"À bientôt"

Le sourire aux lèvres Pierre entre dans l'épicerie. Pour lui, la vie est vraiment belle.


 

Fin


Merci à mon étoile pour ses conseils et ses encouragements. Cette histoire est pour elle.

Par intales - Communauté : histoires coquines sans tabous
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Jeudi 5 septembre 4 05 /09 /Sep 13:08

Samedi 21 Juillet 2012
Pour Pierre et Marjorie, sa fille, c'est le jour du grand départ. Durant l'année scolaire, Pierre avait promis à cette dernière, qu'en cas de mention au bac, ils partiraient tous les deux, pendant deux semaines dans le pays d'Europe qu'elle choisirait. En élève studieuse, Marjorie avait redoublé d'effort pour faire plaisir à son père et pouvoir partir avec lui pour ces vacances de rêve. Et le résultat fut à la hauteur de ses espérances puisqu'elle eut la mention Très Bien.
C'est pour cette raison que Pierre et Marjorie se préparent à partir, dans quelques minutes, pour une longue ballade en Italie.
La relation père/fille s'était renforcée après que la mère de Marjorie ait décidé de quitter le foyer familial pour un autre homme. Marjorie avait refusé de suivre sa mère car ne plus avoir son père près d'elle lui aurait été insupportable, tant elle voue à celui ci une admiration sans faille. Pierre avait traversé une période difficile à cette époque. Mais la présence de sa fille l'avait aidé à faire face, et depuis il consacre tout le temps libre que lui laisse son travail à sa fille et à son bonheur, sans chercher à refaire sa vie.
D'ailleurs, peu de monde vient s'immiscer dans leur petit cocon. Pierre, n'ayant pour toute famille qu'un frère, expatrié à Madagascar, ses relations se limitent à quelques collègues de travail. Marjorie, pour sa part, n'a que trois amies vraiment proches et les garçons ne sont pas sa priorité, leur préférant les livres et la danse, qu'elle pratique depuis l'enfance. Tous deux préfèrent passer du temps ensemble et entretenir leur relation fusionnelle.
Ding Dong. Ding Dong.
La carillon de la porte d'entrée retentit. Pierre, qui se trouve dans le garage lance de sa voix la plus forte:
"Ma chérie, tu peux ouvrir? Je suis en train de mettre les bagages dans le mobil-home!"
"Oui papou!"
Marjorie se dirige vers l'entrée. Un homme d'une cinquantaine d'année, souriant, apparaît derrière la porte. Il jette un coup d'oeil sur la sonnette pour y lire le nom inscrit.
"Bonjour Mademoiselle. Est ce que Monsieur Meyer est ici? J'ai une information à lui demander."
"Oui, un instant je l'appelle... Papou tu peux venir?! C'est un monsieur pour toi!"
À peine a-t-elle le temps de finir sa phrase que l'inconnu plaque sa main sur bouche et l'attire contre lui pour la maîtriser. Puis il l'entraîne à l'intérieur de la maison, refermant la porte d'un geste énergique du pied. Quelques secondes plus tard, alors que son père pénètre dans l'entrée, Marjorie sent le contact froid d'un canon de revolver contre sa gorge. Tout cela s'est passé si vite qu'elle n'a pas le temps de comprendre ce qui arrive et de prendre peur. C'est en voyant le visage décomposé de son père qu'elle devient consciente du danger.
"Toi, tu lèves les mains et tu restes sage ou je flingue la gamine!" ordonne l'inconnu d'un ton sec, n'autorisant aucune contestation.
Pierre obéit. Toutefois il interroge l'Homme.
"Qu'est-ce que vous nous voulez? Ne lui faites pas de mal. C'est ma fille..."
"Alors si tu veux que je lui fasse pas de mal à ta gamine, va falloir être bien sage et respecter les règles. Et la règle numéro 1 c'est qu'à partir de maintenant les questions c'est moi qui les pose, et règle numéro 2: vous ne parlez que lorsque je vous y autorise! Compris?"
Marjorie regarde son père acquiescer d'un mouvement de tête. Elle sent tout son corps trembler. Son coeur battre à pleine vitesse. Et si l'Homme ne la serrait pas contre lui, ses jambes se déroberaient sous elle.
"Y a qui d'autre dans cette baraque?"
"Personne. Nous vivons seuls tous les deux, ma fille et moi. Nous étions sur le point de partir en vacances..."
"Aah s'il te plait arrête les grandes phrases. J'aime pas les bavards, ça me rappelle mon abruti d'avocat... En tout cas je crois que j'ai frappé à la bonne porte, personne ne va s'inquiéter de pas vous voir. Allez conduis nous dans un endroit où on sera plus à nos aises pour discuter! Toi petite tu restes à un pas devant moi, et gare aux entourloupes... Je suis pas du genre patient."
Parvenus dans le salon, l'Homme ordonne à Marjorie et à son père de s'assoir dans le canapé, tandis que lui reste debout face à eux. D'un coup d'oeil, il repère la prise de téléphone qu'il débranche. Ensuite il leur confisque leur portable respectif.
"Très bien, comme ça on sera pas dérangés! Alors voilà le topo: je viens de me faire la belle, et j'ai de la volaille qui me colle aux basques. Mais comme je suis allergique aux plumes, j'ai besoin de me décontaminer et de laisser les poulets prendre leur envol. Donc on va passer un jour ou deux tous les trois, tranquille, en parfaite harmonie. Si vous vous tenez sage, il n'y aura pas le moindre soucis."
Il fait le tour du salon, jetant de temps à autre des coups d'oeil dans les couloirs comme pour chercher d'éventuelles issues en cas de besoin. Pour Marjorie, le stress ne diminue pas. Cet Homme, qui fait des aller-retour avec son arme à la main, l'effraie. Dans un réflexe enfantin, elle agrippe la main de son père. Pierre tente de la rassurer dans un murmure. Mais les mots ne l'apaisent guère. Seul le contact de leur deux mains la réconforte. Depuis toujours le contact physique avec son père a cet effet sur elle. Enfant, elle venait se blottir dans ses bras quand elle faisait un cauchemar, ou quand un orage grondait. Puis adolescente, c'est encore contre lui qu'elle venait chercher le calme après quelques disputes avec ses amis. Il n'y a que contre lui qu'elle se sent bien. Les deux ou trois garçons avec qui elle a eut une amourette et qui l'ont prise dans leurs bras ne lui ont nullement procuré ce bien-être.
"Dis moi Meyer, dans ta bicoque, y aurait pas une pièce sans fenêtre et qui ferme à clé?"
"La buanderie..." répond Pierre en indiquant la direction d'un geste du menton.
"Très bien, on va y aller. Ces cons de flics m'ont fait courrir et j'ai besoin de prendre une bonne douche, et je vais pas vous emmener tous les deux avec moi... Allez passez devant!"
Marjorie éprouve une certaine satisfaction à l'idée de ne plus avoir l'Homme et son arme sous ses yeux. Même être prisonnière dans une pièce sans fenêtre sera toujours mieux que d'être à proximité de ce monstre.
Arrivé devant la buanderie, l'Homme y jette un coup d'oeil afin de vérifier qu'il n'y a pas de possibilité de fuite, ni de quoi fournir à ses otages quelconque objet pour se défendre. Ceci fait, il fait signe à Pierre d'entrer. Quand son père est dans la buanderie, Marjorie lui emboite le pas. Mais l'Homme la retient par le bras.
"Ah non! Pas toi ma jolie... Toi, tu vas m'accompagner. Tu vas me frotter le dos..."
Dans un éclat de rire, qui glace encore plus le sang de Marjorie, l'Homme referme et verrouille la porte de la cellule improvisée. Ne tenant pas compte des cris de protestation et des appels à la pitié du père de la jeune fille. D'un geste de son calibre, il fait signe à cette dernière d'avancer.
"À la douche ma jolie!"
Résignée, Marjorie se dirige vers la salle de bain. Sur place, l'Homme ne met pas longtemps à se dévêtir devant elle. Autant que possible, elle détourne les yeux pour ne pas le regarder.
"Tu as quel âge ma jolie?" l'interroge l'Homme en prenant un ton plus doux.
"J'ai eu 18 ans le mois dernier." répond elle, tout en fixant le carrelage.
"Hummm à ton âge, tu as sûrement déjà vu le loup... Surtout quand on est une jolie petite poulette comme toi. Avec tout ce qu'il faut. Là où il faut."
"Je n'ai jamais rien fait avec un garçon...." avoue Marjorie dans un murmure à peine audible.
"Hein?! Rien?! Vraiment rien de rien?"
"Rien!"
"Ah bah la tu me troues le cul! Une gamine de 18 ans toujours pucelle! Moi je croyais que ça n'existait plus ces bêtes là. À part dans les contes de fée."
Marjorie n'écoute plus les commentaires de l'Homme. Elle ne pense qu'à son père, prisonnier dans la buanderie. Elle donnerait tout ce qu'elle a pour être dans ses bras protecteurs.
"T'as quand même déjà vu un mec à poil ma jolie?"
Ne pas répondre. Surtout ne pas lui faire l'honneur de se confier à lui.
Face au silence de la jeune fille, l'Homme renonce à ses questions. Mais uniquement à ses questions.
"Bon c'est bien joli de jouer les oies blanches, mais moi j'aime pas me retrouver dans la tenue d'Adam devant une jolie petite poulette toute habillée. Y a, comme qui dirait, un déséquilibre certain dans l'égalité des sexes. Alors va falloir que tu me retires tout ce que t'as sur le dos pour m'accompagner sous la douche. Et vite fait en plus!"
Le ton de l'Homme est sans appel, et les moulinets qu'il effectue avec son arme ne donnent nullement envie de résister. Pourtant, Marjorie ne parvient pas à bouger.
"Règle numéro 3: quand je demande quelque chose... ON M'O.BÉ.IT!!!!" s'emporte l'Homme.
"Qu'est ce que vous allez me faire?" ose toutefois la jeune fille.
"T'inquiète pas ma jolie. Je vais juste profiter du paysage. Ton pucelage n'a rien à craindre. Enfin pour aujourd'hui. Je me sent l'âme charitable... Par contre demain, je me vois bien te libérer de ton petit fardeau... Allez hop à poil! Moi j'ai besoin de cette sacrée douche, et c'est toi qui va me frictionner le dos."
Légèrement rassurée de ne pas avoir à supporter les assauts de l'Homme, Marjorie lui tourne le dos pour se dévêtir. Elle commence par son t-shirt, puis elle déboutonne son short et le laisse tomber de lui même le long de ses jambes fines de danseuse. Pas question de se pencher et que ses fesses se tendent en direction de l'Homme. Déjà qu'intérieurement elle se maudit d'avoir mis un string... Heureusement ce n'est pas le plus sexy de sa garde robe. Mais elle perçoit déjà le regard vicieux de l'Homme sur ses petites fesses musclées. Ces fesses que ses camarades de danse prétendent lui envier, mais qui à cet instant doivent éveiller de drôles d'envie à cet Homme. Ensuite elle dégraffe son soutien-gorge et le laisse tomber à terre. Tout son corps tremble.
Durant ses moments de plaisir en solitaire, elle a souvent fantasmé la première fois où elle serait nue devant un homme. Mais jamais il ne lui est venu d'imaginer une telle situation... Son désir le plus intense, même si elle sait très bien qu'il est impossible, est bien plus tendre.
"Retourne toi."
La voix de l'Homme a perdu toute agressivité.
Marjorie, dans un geste de pudeur, masque sa poitrine avec un bras avant de pivoter pour faire face à l'Homme.
"Ôte ton bras et retire ta culotte."
Rouge d'embarras, elle obtempére et dévoile sa poitrine. Habituellement, Marjorie est fière de ses petits seins ronds, aux tétons roses pâles, Elle admire régulièrement leur maintien dans le miroir de son armoire.
À présent, tout en continuant de fixer le sol du regard, elle retire son string. La dernière barrière qui séparait son sexe glabre du regard et de la convoitise de l'Homme est tombée. Elle redresse lentement la tête. À demie surprise, elle constate que le sexe de l'Homme, encore flasque quand il s'est déshabillé, semble s'éveiller. Au milieu d'un buisson broussailleux, l'engin prend du volume.
Marjorie ne sait pas si elle doit être gênée ou flattée d'être à l'origine de cette métamorphose. D'autant plus, qu'après une bonne minute de pose devant cet Homme, l'érection est totale.
Le temps semble s'être figé. Tous les deux restent ainsi sans bouger pendant un long moment. Une éternité pour la jeune fille, qui aimerait être dans les bras de son père.
Enfin l'Homme sort de son état hypnotique et invite sa captive à faire couler l'eau. Marjorie préfère s'activer plutôt que de rester immobile. Comme si ses mouvements lui permettaient de se draper d'un léger voile de pudeur. Même si elle sent toujours un regard scrutateur sur elle.
L'Homme finit par se glisser sous la pluie d'eau chaude qui s'écoule de la douche. Marjorie est comme aimantée par l'arme que celui-ci à déposer sur un meuble, à portée de main.
"N'y pense même plus. J'ai 15 ans de Légion derrière moi. Je t'aurai mise hors d'état de nuire avant que tu ais posé ta main dessus. Allez, viens me frotter. Ça sera plus raisonnable!"
N'ayant d'autre choix que d'obéir, la jeune fille entre aussi sous la douche. L'espace est si restreint qu'elle n'est plus qu'à quelques centimètres du corps nu de l'Homme. Seul le contact de l'eau lui fait du bien. Cette eau qui s'écoule sur elle. Imprègne sa longue chevelure chatain. Cette eau qui partiellement la purifie des contacts avec cet Homme.
Elle lui frotte le dos, les épaules. Lui, exprime sa satisfaction dans un grognement presque bestial. Sous ses mains, elle sent la musculature ferme et travaillée.
"Eh gamine! Ça doit faire 5 bonnes minutes que tu me masses les épaules... C'est pas que c'est désagréable, au contraire même, mais y pas que là qu'il faudrait que tu t'actives."
Marjorie descend alors ses mains sur ses reins. Elle s'accroupis pour atteindre le bas du corps. Elle penche la tête pour ne pas garder le fessier de l'Homme à hauteur de visage. Le plus rapidement possible, elle lui savonne et passe ensuite aux jambes. Quand il juge que c'est suffisant, l'Homme se retourne, sans laisser à Marjorie le temps de se relever.
"Et maintenant, le devant!"
Ce ne sont plus des fesses qui se trouvent, dés lors, face au visage de Marjorie. Mais un sexe dressé. Plutôt court mais large. Parcouru de petites veines saillantes. À l'extrémité cramoisie. Entouré d'une toison épaisse. Immédiatement, elle sait qu'elle rougit car son visage est en feu. L'Homme s'impatiente et lui ordonne de le nettoyer avec sa main et de n'arrêter que lorsqu'il le jugera nécessaire. Même si elle est vierge, Marjorie n'est pas stupide et comprend très bien qu'elle va devoir le masturber.
La sensation de ce sexe dans la paume de sa main la surprend. Elle n'avait jamais pensé que ce puisse être aussi dur. Ni que cela soit chaud.
Les deux ou trois premiers aller-retour elle les fait les yeux ouverts. Puis elle les ferme, et se rappelle...
Elle se rappelle de cette nuit où, nerveuse comme elle est parfois, elle ne trouve pas le sommeil. Elle se lève pour boire un verre d'eau et pourquoi pas, si la lumière de sa chambre est allumée, aller chercher du réconfort et de l'apaisement par une accolade entre les bras de son père.
Et justement, la lumière est allumée. Marjorie s'approche de la porte entrebaillée, et avant d'entrer, elle jette un coup d'oeil. Son père est allongé sur le lit. Entièrement nu. Son sexe gonflé dans sa main gauche. Avec ses copines, il lui est déjà arrivé de regarder des vidéos sur internet, d'y voir des hommes se caliner leur engin... Elle s'est même fait raconter à plusieurs reprises par son amie Lucie, la fois où cette dernière avait «branler» son copain... Donc elle comprend très bien ce que son père est en train de se faire. Et ce spectacle est bien plus troublant que tout ce qu'elle a pu voir sur écran. Plus excitant que les récits de Lucie, pourtant riches de détails. Non, là il s'agit de son père. En vrai. Devant ses yeux. Elle sent poindre en elle une douce chaleur que seules ses doigts, déjà experts, savent éteindre. Elle glisse alors sa main dans son short de nuit et entreprend d'accompagner à distance son Papou... Et lorsque ce dernier laisse échapper trois ou quatre jets de semence, Marjorie étouffe un petit cri de joie.
Profitant que son père saisisse du papier absorbant, elle regagne sa chambre discrètement. Sans perdre un instant, elle retire short et débardeur, puis s'allonge nue sur son lit, jambes écartées, et se livre sans retenue à la conquête de son propre plaisir. Celui ci arrivant très rapidement et avec une intensité qu'elle n'a jamais connue jusqu'ici.
Régulièrement Marjorie cherchera à être témoin des jouissances de son père, et les quelques fois où elle y parviendra, cela lui procurera le même plaisir. Le sexe de son père devenant, à partir de ce jour, la seule source de ses fantasmes.
Et c'est donc au sexe de son père qu'elle pense tout en faisant coulisser la queue de l'Homme dans sa main. C'est le sexe de son père qui est à l'origine de son désir grandissant.
Marjorie, totalement perdue dans ses souvenirs, n'entend pas l'Homme la prévenir. Et seul le premier jet de sperme sur son visage la ramène à la réalité. Suivi d'un autre. Les jets suivant sont moins puissants et laissent couler ce liquide chaud et épais le long de son poignet, avant d'être emporté par l'eau de la douche. Seuls les jets venus se perdre sur son visage mettent plus de temps à partir. Marjorie relâche le sexe décroissant de l'Homme pour se redresser et lever son visage vers le pommeau de la douche.
Marjorie est la première à sortir pour se sécher. Ensuite elle passe une serviette sèche sur tout le corps de l'Homme. Elle se hâte de le faire afin de quitter cette salle de bain et rejoindre son père.
Lorsque l'Homme est habillé, elle se dirige vers ses propres affaires. Et tandis qu'elle s'apprête à saisir son string la voix goguenarde de l'Homme lui lance:
"Eh du calme ma jolie... T'es très belle tu sais. Alors quel dommage de me priver d'un si beau spectacle... Tu vas donc rester toute nue."
"Mais je..."
"Shttt! N'oublie pas les règles. Tu fais ce que je te dis. Et ne crains rien, avec cette chaleur, tu ne vas pas avoir froid à ton joli croupion ma poulette!"
Puis s'approchant d'elle, il lui dépose une petite tape sur les fesses.
"Allez, on va rejoindre ton paternel. Si c'est un vrai homme, il sera ravi du spectacle lui aussi."
À suivre

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Jeudi 6 juin 4 06 /06 /Juin 14:12

Tu es allongée sur ton lit. Les yeux clos tu repenses à ton après midi avec Isa. Toutes les deux vous avez fait les magasins pour vous trouver des maillots de bain pour cet été. Lorsque ta soeur est allée essayer le sien elle t'a demandé de l'accompagner pour lui donner ton avis.
Ton coeur s'est mis à battre un peu plus fort. Évidemment que tu l'as accompagné. Comment ne pas profiter de l'occasion pour pouvoir l'observer. Pouvoir emplir ta mémoire de belles images pour le moment où tu pourras te caresser en pensant à elle.
La regarder se dévêtir est pour toi une sensation douce et cruelle. Douce car tu es en admiration devant sa poitrine, devant sa silhouette parfaite et ses fesses rondes et fermes. Mais si cruelle car tu ne rêves que de pouvoir toucher embrasser et croquer le fruit défendu.
Tu sens ton corps s'embraser. La fièvre du désir part de ton sexe pour prendre possession de ton corps. Nul besoin de glisser ta main dans ta culotte pour savoir que tu as commencé à mouiller. Tu ne vois que ta soeur. Que son corps.
Ton esprit s'envole vers des sphères voluptueuses.

"Mallaury! Oh oh Mallau qu'est ce que tu as? T'es toute rouge!"
La voix d'Isa te ramène à la réalité.
"Euh... Oui... Oui ça va. J'ai juste eu une bouffée de chaleur. Il fait trop chaud dans ce magasin..."
"Bon je me dépêche et on rentre à la maison."

Te voilà donc sur ton lit. Deux heures ont passé mais ton trouble est resté. Tu t'es allongée en ne gardant que tes sous vêtements. Instinctivement une de tes mains commence à effleurer l'intérieur de ta cuisse. Lentement, elle remonte vers ta culotte. Celle ci est encore humide. Par dessus le tissus tu frôles ton clitoris. Un soupir de plaisir s'échappe de ta gorge. La caresse de tes doigts sur ton petit bouton te transporte. De ton autre main tu malaxes un sein que tu as fait sortir de son balconnet. Tes mamelons sont gonflés et tes tétons pointent sous ta paume.
Tu es sur le point de retirer ta culotte imbibée de cyprine quand tu entends des pas dans le couloir. Puis quelqu'un frappe à ta porte. En toute hâte tu replaces tes seins dans ton soutien-gorge et tu te glisses dans tes draps. On frappe de nouveau à la porte.
"Oui? Entrez!"
La porte s'ouvre sur ta soeur. Elle a l'air inquiète.
"Je suis venue voir comment tu vas." dit-elle en s'approchant de toi avant de s'assoir sur le lit à côté de toi.
"Je vais bien. Juste un coup de fatigue. Ça va passer."
"Mais tu es encore toute rouge!.."
Elle pose sa main sur ta joue. La douceur de son geste te fait frémir de plaisir.
"Tu as le visage en feu."
Dans ta tête tu lui hurles que c'est elle, ta soeur adorée, et si désirée, qui te met le feu... Elle saisit tes mains. Les porte à sa bouche pour les embrasser dans un élan d'affection. Mais une fois prêt de sa bouche elle s'arrête. Les observe. Puis te regarde.
Tu viens de comprendre et ton coeur te donne la sensation de s'arrêter. La main, qui quelques secondes auparavant se trouvait entre tes cuisses; cette main qui te donnait le plaisir tant recherché; et bien cette main porte encore le délicat parfum de ton minou.
Isa se lève du lit et se dirige vers la porte. Sans un mot. Ce silence te transperce les entrailles. Tu te sens honteuse. Tu as peur de l'avoir perdu à cet instant précis.
Mais arrivée à la porte ta soeur tire le verrou et reviens vers toi. Elle s'allonge à côté de toi et passe un bras autour de tes épaules.
"Je suis arrivée trop tôt ou trop tard?"
Tu lui réponds en bafouillant qu'elle arrive toujours au bon moment.
"Et tout à l'heure dans le magasin... tu as eu envie de te..."
Tu n'oses pas répondre. Comment lui dire que tu n'as pas eu envie "de te..." comme elle vient de dire, mais plutôt "de là..."?
"Non... enfin si... mais euh... Ah j'ai honte!"
"Chut! Ne dis pas ça ma Mallau. Tu sais que tu peux tout me dire."
"Certaines choses je sais pas... C'est tellement compliqué"
"Alors laisse moi t'aider. Il y a quelques semaines je me suis levée en pleine nuit pour aller aux toilettes. Au retour, en passant devant ta chambre je t'ai entendu parler et gémir. J'ai compris que tu faisais un rêve agité. Je suis entrée sans faire de bruit et je t'ai vu à demie sortie du lit en train de frotter ton minou en répétant mon prénom. Et en disant des choses cochonnes. Ça m'a mis un drôle de coup. Sur l'instant j'ai eu un peu peur. Je ne comprenais pas ce que je venais de voir. Je me suis d'abord dis que c'était un simple rêve bizarre comme on en fait tous.
Et puis je me suis posée des questions: et si c'était plus qu'un rêve? Comment devrai je réagir?
Je n'avais aucune réponse. Je me suis simplement contentée de te regarder depuis cette nuit là. Attendant de comprendre et savoir. Et plus j'ai gardé ça en mémoire et plus j'ai senti un trouble en moi..."
Pour achever sa phrase, elle penche son visage vers le tien et dépose un tendre baiser sur tes lèvres délicates.
"Et tout à l'heure dans le magasin, tout m'est devenue clair."
Au baiser suivant, elle fait glisser sa langue contre la tienne. Un baiser chaud et fougueux. Toute la tension que tu avais accumulé disparait d'un coup.
Vous voilà dans les bras l'une de l'autre. Amoureusement enlacées. Tes mains caressent ses jambes, ses fesses. Tu aimerais la toucher partout à la fois. Couvrir chaque centimètre carré de son corps par des caresses. Elle, glisse sa main sous les draps. Le contact de sa main sur ta fente t'electrise.
Rapidement vous vous mettez nue. Tu savoures ce moment. Ton Isa est enfin nue pour toi. Pour ton plaisir. Il n'y a plus de barrière à ton désir. Tu prends un de ses seins dans ta bouche, tout en malaxant gentiment l'autre. Autour de ses tetons tu dessines des cercles avec le bout de ta langue. Puis tu les embrasses, les suces, les léches. Tu sens ses mains qui caressent ta peau. Sa bouche qui te dévore de passion.
Tu descends ton visage plus bas. D'abord son ventre. Son nombril devient pour quelques instants ton terrain de jeu. Mais elle prend ta tête entre ses mains et te guide vers son intimité la plus tendre. Te voilà en tête à tête avec son sexe. Tu découvres qu'Isa mouille abondamment. Et c'est toi, rien que toi, tes baisers et tes caresses qui lui font cet effet. Tu débutes par des petits bisous avant de sortir ta langue et la lécher. Tout ce que tu as pu apprendre avec les autres filles que tu as connu va te servir à donner du plaisir à ton amour de grande soeur. Tes coups de langues, tes sucions, tes doigts qui explorent son intimité lui soutirent des gémissements de plaisir. Je suis certain que toi seule est capable de lui procurer autant de plaisir. Tes caresses sont les plus efficaces pour la faire onduler de désir.
Au moment de jouir, son corps tout entier se crispe. Une vague de plaisir la submerge. Ton visage d'ange est maculé de cyprine... Tu retournes l'embrasser à pleine bouche. Dans tes baisers, elle retrouve la saveur de son propre plaisir.
Tout en te rendant tes baisers, ses doigts te pénètrent. Deux doigts qui vont et qui viennent dans ton adorable petite fente. Comme je peux comprendre ton Isa d'amour: comment résister à la tentation lorsque l'on a une fille aussi belle que toi dans les bras? Impossible. Par moment ses doigts sortent de ta chatte pour venir se perdre dans sa bouche. Ainsi, elle aussi se détecte du nectar qui coule de ta vulve. Bien sur elle n'oublie pas ta poitrine voluptueuse. Pas plus qu'elle n'oublie ton bouton de rose. Ton clitoris te semble encore plus sensible.
Un seisme intérieur se propage durant ton orgasme. Tes rales de plaisir, ta soeur les étouffe en t'embrassant.
Vos langues dansent l'une contre l'autre...
Vos corps restent enlacés ...
Tu passes ta main dans les cheveux flamboyants de ta soeur. Ton visage affiche un sourire radieux qui fait apparaître les deux jolis petits plis qui se forment aux coins de tes lèvres quand tu souris. Jamais tu n'as été aussi belle car jamais tu n'as été aussi épanouie.
Isa te demande depuis combien de temps tu attends ce moment. Et lorsque tu lui apprends que cela fait presque 5 ans, elle n'en revient pas.
"Nous avons beaucoup de retard à rattraper ma petite Mallau. Que dirais tu de dormir avec moi cette nuit..."

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Mercredi 22 mai 3 22 /05 /Mai 15:17

Lorsque ma femme a quitté la maison, découvrant après trois ans de mariage qu'elle n'était pas faite pour la vie de famille, elle m'a laissé seul avec deux enfants en bas âge. Tout au long de ces années je me suis efforcé d'être un bon père. Maintenant Sarah a 19 ans, et Jérémie fête aujourd'hui ses 18 ans.
Pour l'occasion, j'ai décidé de louer un film porno et d'acheter quelques bières dans le but de passer une soirée "de mecs" avec mon fils.
Jérémie a toujours été introverti. Préférant la compagnie des livres, il étudie sans cesse. Bien évidemment l'avantage à ceci c'est qu'il est devenu un brillant élève. Mais en contrepartie, il est d'une timidité maladive avec les filles. Je souhaite donc profiter de cette soirée pour lui ouvrir les yeux sur les moments agréables d'une relation avec une femme.

Après une dizaine de minutes de film, je tends une bière à mon fils quand Sarah entre dans la pièce. Je la croyais partie dormir. Son entrée me rend nerveux car connaissant ses idées féministes, je ne sais pas comment elle va réagir à la vue d'un "de ces films immatures et misogynes qui traitent les femmes comme de la viande!"
"Je peux m'asseoir et regarder le film avec vous?" demande-t-elle à ma grande surprise.
"Bien évidemment."
Elle prend alors place sur le canapé à côté de Jérémie qui n'a toujours pas prononcé un mot depuis le début du film.

Durant les scènes un peu plus "calmes" du film, je jette des coups d’œil discrets à mes enfants pour voir comment ils réagissent au spectacle. Jérémie est à fond dans le film. En élève consciencieux, il semble étudier attentivement toutes les scènes. Pour moi, je n'ai aucun doute sur sa virginité, et je suis même prêt à parier que c'est la première fois qu'il voit un acte sexuel. Par contre, je n'en dirais pas autant au sujet de Sarah. Je sais qu'elle n'est plus vierge depuis qu'il y a trois ans, elle m'a demandé l'autorisation de prendre la pilule.

Vers la fin du film, durant les scènes les plus chaudes, je vois que Sarah bouge les jambes nerveusement. Cela ne fait aucun doute qu'avec le film, l'excitation la gagne. Jérémie est toujours scotché. Sur lui aussi, le film fait son effet : pour preuve une bosse s'est formée en haut de sa jambe gauche, et elle est clairement visible.
Sarah s'agite de plus en plus et pose finalement sa main sur la jambe de son frère. Celui-ci était tellement absorbé par le film, qu'il réalise pour la première fois que sa soeur est assise à coté de lui. Mais immédiatement, son attention se reporte sur l'écran, ne voulant rien manquer de "l'action". Bon c'est vrai que la fille du film est terriblement belle, mais entre la voir chevaucher son partenaire et observer le manège de Sarah, pour moi le choix est vite fait...

Résolument, Sarah laisse courir sa main sur la jambe de son frère, et palpe fermement la bosse dans son pantalon. Jérémie sursaute et se raidi. Il regarde sa soeur avec une expression de grande surprise. Celle-ci ne lui répond qu'en lui adressant un sourire malicieux et un regard appuyé. Je devine les pensées qu'elle a pour son frère: J'ai envie de toi, tu n'as aucune idée de ce qui t'attend.
Jérémie me regarde d'un air perplexe sans rien dire. Il attend sans doute que j'intervienne pour arrêter sa soeur. Mais je hausse simplement les épaules et lève les yeux au ciel en signe de fausse impuissance.

Étonnement, Sarah se comporte comme si je n'étais pas dans la pièce. Pourtant je suis dans mon fauteuil, un peu à l'écart du canapé sur lequel ils sont assis, mais à deux pas. Sarah a assez d'espace pour se sentir seule avec son frère, et moi je suis assez prêt pour voir tout ce qu'ils font.
Sarah fixe le visage de Jérémie. Sans le quitter des yeux, elle prend la main droite de son frère et la place fermement sur l'un de ses seins. Jérémie saisit l'allusion et commence à lui caresser doucement la poitrine, en testant sa fermeté par dessus le soutien-gorge.
"Place-toi devant moi" dit Sarah en saisissant le bras de son frère, puis le plaçant comme il le faut.
Je réalise soudain que je regarde ma fille qui allume mon fils. Avec le film, la bière et le comportement de ma fille, j'ai envie d'en voir plus. Beaucoup plus.

Sarah a placé Jérémie juste en face d'elle. Assise sur le bord du canapé, elle lui déboutonne le pantalon. Glisse ses doigts au niveau de la ceinture et baisse en une seule fois son pantalon et son boxer. La queue de Jérémie jaillit, pointant face au visage de sa soeur. Sa bite virginale est lisse et blanche. Ses couilles sont clairement gonflées. Aussi bien en raison du film que du bonus inattendu: les caresses de Sarah.
Sur l'écran le film est terminé. Il n'y a plus que la neige. Mais je ne l'éteins pas, de peur de briser le charme et de stopper le déroulement des événements entre mes deux enfants.

Sarah caresse l'intérieur des cuisses de Jérémie, tout en évitant de lui toucher le sexe ou les testicules. Leur petit jeu m'excite. Sarah ne quitte pas l'engin qui pointe en face de son visage. Elle observe et admire sa grosseur et sa longueur. Sans doute est elle déjà en train d'imaginer le plaisir qu'elle peut en tirer.
Enfin sa main se place sur les couilles de son frère. Jérémie laisse échapper un gémissement. Sa queue fait un soubresaut. Sarah comprend qu'il ne faut pas perdre de temps. Tout en gardant les couilles de son frère dans sa main, elle lui attrape la queue avec l'autre main. Elle imprime quelques aller-retour et le fait entrer dans sa bouche. Jérémie ne peut retenir un long râle... Moi même je bande en imaginant ce qu'il peut ressentir en cet instant où sa bite glisse pour la première fois dans une bouche chaude et humide. Sarah avale la queue de Jérémie comme une experte. Elle la fait ressortir, la lèche de bas en haut, cajole le gland avec sa langue, puis la prend entièrement dans sa bouche à plusieurs reprises. Elle lève la tête, les yeux fixés sur son frère. Avec un sourire de satisfaction sur son visage, elle fait de nouveau planer sa langue sur son gland sensible.
Quand Jérémie est proche de l'orgasme, il devient tendu.
"Je... je... je pense que tu devrais arrêter!" dit-il d'une voix cassée et tremblante.
Mais Sarah ignore la remarque de son frère. Sa tête continue à monter et descendre sur la queue de Jérémie avec encore plus d'entrain.
"Aaaaaaaaaaahhhhh..." s'écrie Jérémie pendant qu'il décharge son foutre dans la bouche de sa soeur.
Sarah garde le membre palpitant dans sa bouche, tout le temps qu'il crache son jus chaud jusqu'à la dernière goutte. Quand il a fini, elle le retire, et lui dépose un baiser sur le bout.
Jérémie, vidé, se laisse tomber sur le canapé, les bras et les jambes relâchés, et la queue ramollie.

"Maintenant à mon tour!" lance Sarah, en souriant.
Debout, elle commence à déboutonner son chemisier et le retire. Puis elle se débarrasse de son jean, ne conservant que son soutien-gorge et sa culotte bleu-ciel. Elle laisse le temps à son frère de contempler son corps en détail. Je réalise que c'est la première fois que je vois ma fille quasiment nue depuis son enfance. Sa pratique régulière du sport rend son corps parfait. Sa peau bronzée est appétissante. Physiquement elle a les courbes élégantes d'une jeune adulte, tout en gardant la fermeté et l'éclat de la jeunesse.
Sarah fait face à son frère, les mains sur les hanches. Lentement elle croise les bras, et passe ses mains sur son ventre. Ses mains passent sur ses flancs, les bras toujours croisés, remontant vers les épaules. Cela fait ressortir sa poitrine, mettant en avant tout son volume. Ses seins semblent vouloir s'évader de son soutien-gorge. Le père que je suis découvre que sa petite fille chérie est devenue une femme experte dans l'art de mettre son corps en scène et d'éveiller le désir.
Elle déplie les bras, fait glisser ses mains sur son cou, sur ses oreilles et dans ses longs cheveux bouclés. Elle tend les bras au dessus de sa tête et se cambre. C'est un spectacle merveilleux. Son corps est mince, ses jambes sont longues et fines et son cul est magistralement mis en valeur. Jérémie la regarde la bouche grande ouverte. Pour une première il ne pouvait être mieux servi. Ma queue qui avait dégonflé, recommence à enfler.
Sarah maintient sa position un moment puis dégrafe son soutien-gorge. Avec un art étudié de la mise en scène, elle baisse les bonnets et nous dévoile ses seins généreux. Bien qu'abondante, sa poitrine est assez ferme pour se tenir. Ses tétons roses vifs se détachent de sa peau bronzée. Tendus, on dirait deux bonbons prêts à être sucés.
Après avoir lancé son soutien-gorge sur le canapé, Sarah commence à frotter son entrejambe. Elle tire sur sa petite culotte bleu-ciel de sorte que les formes de sa chatte soient clairement visibles. Pivotant sur elle même d'un demi-tour, elle présente son derrière à son frère. Elle se penche ensuite, légèrement en avant, pose ses mains sur ses hanches, puis glisse ses pouces dans l'élastique de sa culotte.
Doucement, elle fait glisser sa culotte, révélant le plus beau cul que j'ai jamais vu de ma vie. Là, un détail me saute aux yeux: tout le corps de ma fille est bronzé. Aucune marque de maillot... Ajouté à sa science de l’effeuillage, je comprend que je suis loin de tout connaître de ma fille.

Lorsque sa culotte touche le sol, je réalise qu'elle est mouillée. Que le bleu-ciel a pris une teinte plus sombre. La queue de Jérémie s'est redressée. Mon coeur bat à mille pulsations à la minute.
Sarah se retourne, se penche vers Jérémie et pose ses mains sur dossier du canapé, de part et d'autre de son frère. Dans cette position, ses seins ne sont plus qu'à quelques centimètres à peine du visage de Jérémie. Mon fils n'hésite pas un seul instant. Il avance sa bouche gourmande, et se met à sucer l'un des seins de sa soeur avec conviction, tout en massant l'autre vigoureusement.
Toujours debout, Sarah à ouvert ses jambes de sorte qu'elle forment un V inversé. D'où je suis placé, j'ai une vue exceptionnelle de la chatte de ma propre fille: elle est intégralement rasée, et révèle un monticule légèrement coloré et lisse. Ses lèvres, roses et humides, dépassent de sa fente. Sarah prend la main de son frère qui lui masse les seins, et la guide vers sa chatte. Jérémie tâtonne maladroitement du bout des doigts, ne sachant pas exactement quoi faire. Sa soeur accompagne alors ses doigts et lui fait écarter les lèvres de sa chatte. Ensuite elle le guide sur son clitoris et lui fait frotter le temps nécessaire pour qu'il agisse de lui même. Simultanément, ses hanches se balancent d'avant en arrière, m'offrant un spectacle merveilleux. Sarah laisse la main de son frère la titiller seule et ferme les yeux. Regarder Jérémie, le doigt sur la fente de sa soeur et la chatte de celle-ci pleinement exposée à ma vue me fait bander au maximum. Ça en devient douloureux. Je souhaiterai de toutes mes forces enfoncer ma queue bien dure au fond de cette jeune et jolie chatte. Dans la chatte de ma propre fille. Et il me faut un sang froid énorme pour rester en place.
Sarah se met à genoux devant le canapé et attire la queue dressée de son petit frère. Une nouvelle fois, elle l'introduit dans sa bouche. Une fois l'engin bien humidifié de salive, et aussi raide que possible, Sarah repousse Jérémie contre le dossier du canapé et vient s’asseoir sur sa bite, en le dirigeant dans son vagin d'une main experte.
"Voyons voir ce que tu as retenu du film!" lance-t-elle, tout en commençant à monter et descendre le long de la queue de Jérémie.

Ses seins sautent joyeusement. Rebondissent de bas en haut au rythme des mouvements de ma fille.
Les mains de Jérémie, posées sur les hanches de sa soeur, commencent à glisser sur les côtes pour venir couvrir la généreuse poitrine de Sarah. La saisir à pleines mains.
Pendant ce temps, j'observe avec délectation la chatte de Sarah. Je suis captivité par le mouvement hypnotique de ses lèvres roses et brillantes de mouille, glissant le long de la queue blanche et inexpérimentée de Jérémie. Quel spectacle excitant! Mon sexe, extrêmement dur, cherche quasiment à sortir de sa cachette, prêt à exploser à tout instant comme de la nitroglycérine.

Pour la première fois de la soirée, Sarah me regarde. Constatant l'énorme bosse dans mon pantalon, et la sensation douloureuse qui s'affiche sur mon visage, elle me fait signe de m'approcher d'elle. Sans attendre qu'elle me le demande une seconde fois, je saute de mon fauteuil, et franchis la courte distance qui nous sépare. Dès que je suis près d'elle, ma fille palpe ma bosse avant de la caresser.
Contrairement à Jérémie, je n'ai pas besoin d'attendre l'autorisation pour me déshabiller. Je baisse rapidement mon pantalon. Ma queue gonflée et palpitante se libère. Les yeux de Sarah s'élargissent de stupéfaction. Ma queue est bien plus grande et grosse que celle de Jérémie, et mes boules sont enflées d'avoir vu le spectacle de leur désir. Jérémie me regarde brièvement, me lance un regard étrange. Je ne sais pas ce qu'il cherche à me dire. Quoi qu'il en soit, cela n'a pas d'importance car rapidement il retourne son regard sur le cul de sa soeur qui sautille devant lui.
Sarah se décide à caresser mon sexe tout en baisant son frère. Je suis sur le point de décharger tout mon foutre sur elle quand elle me délaisse sans prévenir.
Haletante de son va-et-viens sur son frère, elle lâche ma queue et se penche en avant. La bite de Jérémie est à deux doigts de quitter son fourreau. Mais par des petits mouvements, Sarah remonte et redescend, enfonçant la bite de son frère jusqu'à la garde à plusieurs reprises. Mon fils peut voir entrer et sortir son engin dans la fente de sa soeur. Nul doute que son excitation doit accroître d'avantage encore. Vraiment ma petite Sarah est une experte en sexe et dans l'art d'exciter les hommes.

Ma fille se relève. Jérémie, qui aurait sans doute aimé poursuivre ce moment, semble déçu. Mais pour peu de temps. Sarah se met à quatre pattes sur le sol, le cul tendu dans notre direction. Elle cambre le dos de sorte que son derrière pointe vers le haut. Sa vulve nous est offerte en spectacle. Jérémie et moi sommes nus, côte à côte, la queue tendue vers l'avant, admirant Sarah toute aussi nue et excitée que nous. Les lèvres écartées de sa chatte révèlent un trou qui ne demande qu'à être rempli.

"Mets la moi!" ordonne Sarah à son frère en regardant sa queue luisante de mouille.

Jérémie s'approche d'elle avec sa bite bien dure balançant de droite à gauche. Il s'agenouille derrière le postérieur. Attrape son engin d'une main et le mène jusqu'au trou doux, chaud et humide de sa soeur. Le simple fait d'assister à cela me donne envie d'éjaculer. Comme je voudrais être à la place de mon fils, et que ce soit ma bite qui se voit offrir un droit d'entrée dans cette chatte attirante.
Jérémie commence à la pistonner à coups longs mais lents, au début. Mais ce n'est qu'un échauffement avant d'accélérer le rythme. Sarah me regarde à nouveau et me fait signe de venir face à elle. J'obéis avec plaisir et envie. Et quand je me retrouve face à elle, elle lève la tête et tapote le sol juste en dessous d'elle.
"Allonge toi ici!" me propose-t-elle en souriant, pendant que Jérémie s'active en elle.
Je m'assois donc en face d'elle, puis je place mes jambes et mon bassin de sorte à me trouver juste en dessous de son corps. Je suis penché en arrière, appuyé sur les coudes. Ma queue est dressée juste en dessous de son visage. Sarah l'embrasse, la lèche, flatte mon gland écarlate. Puis la fait glisser dans sa bouche. La plus excitante des fellations! Ma propre fille se met à me pomper avec gourmandise et savoir- faire, alors que son frère la baise par derrière. Sa salive s'écoule le long de ma bite pour venir humidifier mes couilles.
Mon regard va de ma bite qui entre et qui sort de cette bouche adorable, à mon fils qui baise cette chatte offerte. Jérémie a les yeux fermés, le visage crispé par l'effort. Nul doute qu'il apprécie ce moment. Quel dépucelage!
Sarah retire un instant ma queue de sa bouche.
"Baise moi plus fort!" crie-t-elle à Jérémie.
Son frère augmente la cadence de ses mouvements un peu plus. Je décale le haut de mon corps pour mieux voir l'anatomie parfaite de ma fille.

Sarah gémit de plus en plus. Elle alterne fellations et masturbations sur mon sexe humide. Sa bouche, sa langue, ses mains s'activent avec adresse.
"Enfonce la moi!" ordonne-telle "Enfonce moi bien ta bite dans la chatte!"
Galvanisé par les encouragements de sa soeur, Jérémie la baise de toutes ses forces. Le cul de Sarah tremble sous les coups de butoir. Ses seins se balancent sauvagement. C'est plus que je ne peux en supporter. Des années d'abstinence, le porno, mes propres enfants qui baisent devant moi, ma queue enfoncée dans la bouche de ma fille...
Je sent l'orgasme arriver. Je suis sur le point de libérer la plus grosse giclée de sperme de toute ma vie. Je bloque le visage de ma suceuse de fille entre mes mains. Une chaleur, une fièvre incroyable coule en moi.

"Aaaahh!"

Je gémis lorsque ma bite explose de plaisir dans la bouche de ma fille. Une jouissance, comme jamais je n'en ai connu, parcours mon corps.
"Mmmmh..." est le seul son que fait Sarah en essayant d'avaler les jets de sperme que déverse ma queue dans sa gorge. Vu comment ma bite tressaute, j'imagine la grande quantité de sperme, trop longtemps retenue, qu'a reçu la bouche de ma fille. Et pourtant, elle avale tout, jusqu'à la dernière goutte. Tout le temps de mon éjaculation, ma petite Sarah ne m'a pas quitté du regard. Semblant apprécier autant que moi ce moment incroyable.
Repu de plaisir, je bascule en arrière et je ferme les yeux. Je savoure le calme après la jouissance. Je repense à ce qu'il vient de se passer. Comment Sarah peut-elle savoir comment exciter un homme à ce point? Où a-t-elle appris tout cela?

Les râles de plaisir de mes enfants me ramènent à la réalité. Pour eux l'orgasme est imminent. Jérémie donne les derniers coups de reins, ralentit progressivement. À son visage j'ai vu quand il a jouit. J'imagine son sperme chaud jaillissant dans la chatte humide de sa soeur. Sarah l'a suivi de près. Tous deux s'affalent sur le sol. Jérémie est allongé sur le dos de sa soeur, la queue encore logée dans son vagin. Quel veinard! Bien que je n'ai pas à me plaindre car moi aussi j'ai été satisfait.
Avec un sourire malicieux, Sarah lance un "Joyeux anniversaire petit frère!" avant de l'embrasser goulûment une dernière fois.


Pendant les mois qui suivent, aucun de nous trois ne reparle de cette soirée enchantée. La vie continue comme avant. Chacun gardant le secret. A un détail près: maintenant Jérémie collectionne les conquêtes....

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