Croisière

Vendredi 20 décembre 5 20 /12 /Déc 14:17

Jour 6 - suite

Appuyé contre le garde-corps de mon bateau, j'admire les côtes espagnoles. Cette partie de la péninsule, la Galice, est beaucoup moins bétonnée que la façade méditerranéenne. Et notre zone de mouillage est située au large d'une zone naturelle qui offre un paysage magnifique. Ce sont des instants comme ceux là qui me font aimer la mer plus que tout. J'ai l'impression d'être seul au monde.
Enfin à un détail près: le chahut monumental que font mes trois passagères. Comme je l'avais prédit plus tôt dans la journée, elles n'ont pas perdu de temps pour se jeter dans l'océan. Oubliée la gueule-de-bois. Toutes les trois s'en donnent à coeur joie en nageant et en s'amusant autour de notre embarcation. Sont-elles conscientes qu'elles se fabriquent des souvenirs pour la vie entière? À leurs âges, ce genre de considération n'a que peu de place dans les pensées. Mais je suis certain que dans quelques années, elles reparleront avec joie, et peut-être émotion, de ces moments là.
Heureux de leur faire ce cadeau, je regagne le poste de navigation afin de consulter la météo et de préparer ma route pour demain. Si le temps le permet, j'aimerai rejoindre le Portugal dans les 24 heures.
Une demi-heure plus tard, Meggh me rejoint toute excitée et me demande:
"Mon coeur, où sont les jumelles?"
"Euh... D'après le boucan que j'entend, elles ne doivent pas être bien loin. Le bateau n'est pas si grand que ça quand même."
Ma nièce éclate d'un rire que je trouve teinté d'une légère moquerie.
"Mais non! Pas tes filles. Je cherche les jumelles pour voir au loin... Alix me dit qu'elles doivent être ici."
Souriant de ma propre méprise, j'ouvre le tiroir où sont rangées deux paires de jumelles optiques. Meggh les emprunte toutes les deux, puis, après m'avoir rapidement déposé un baiser sur les lèvres, elles rejoint ses cousines à toute vitesse.
Curieux devant tant d'empressement, j'achève mon travail pour les rejoindre à l'arrière du bateau.
Je découvre les filles en pleine séance d'observation du littoral. Celle des trois dépourvue de jumelles, pressant les deux autres de lui passer leur paire. Formant ainsi un turnover qui permet à chacune de pouvoir profiter du spectacle lointain. Le tout, dans une certaine hilarité un peu contenue.
"Mais Alix, arrête de rire aussi fort, tu vas nous faire repérer et ils vont s'envoler..." sermonne Julie.
Mais cette réprimande n'a que peu d'effet sur sa soeur. Intrigué par ce petit manège, et curieux de savoir quels drôles d'oiseaux peuvent susciter autant d'intérêt auprès de jeunes filles, je prend place à leur côté.
"Qu'est ce que vous regardez?"
Meggh me tend alors ses jumelles puis me guide.
"Tu vois le groupe de rocher là-bas? Alors va légèrement sur la gauche... Et tu verras."
Et là je vois. Un homme d'une trentaine d'années, le short sur les chevilles, passant sa main dans les cheveux d'une femme totalement nue en pleine activité buccale. Trop occupés, et se croyant à l'abri des regards du continent, les deux amants semblent ne pas s'apercevoir de notre présence. Il faut dire que la femme s'active avec gourmandise et que l'homme semble savourer la chose avec plaisir.
Un détail chez l'homme attire mon attention: sur son tee shirt blanc est écrit en rouge LA HAVANA.
"Ah ok... Je vois ce qui vous amuse tellement. Et bien nous sommes surement à proximité d'une foire aux cigares, et ce monsieur fait déguster son dernier arrivage à cette jeune femme. Voilà tout."
Julie qui reprochait à sa soeur, quelques secondes auparavant, son rire sonore, l'accompagne à son tour aussi peu discrètement.
Rendant aux filles leurs instruments d'observation, je regagne la cabine pour préparer le diner. De temps à autre, des bribes de conversation me parviennent, ce qui me permet de tout savoir des petits jeux amoureux des amants de la côte.
Puis un nouvel éclat de rire, plus puissant que les autres, suivi par une série «Houhou» me parviennent. Les filles me rejoignent alors et m'expliquent qu'après avoir fini de besogner sa partenaire, l'homme s'était retiré de la jeune femme et avait lancé un salut en notre direction, comme un artiste saluant son public après une représentation. Les deux amants se sont ensuite rhabillés et pris des chemins différents.

Durant tout le repas, les filles se refont, avec ironie, le spectacle auquel elles ont assisté. Indulgent face aux commentaires parfois très grivois des filles, je m'amuse de cette atmosphère légère. Un souvenir de plus à ajouter dans les bagages de la mémoire. La soirée s'achèvent assez tard et nous retrouvons nos couchettes le coeur léger.


Allongée contre moi, la tête sur mon épaule, Meggh reste silencieuse. Elle semble si songeuse que je n'ose pas ouvrir la bouche. Je me contente simplement de sentir une nouvelle fois sa peau nue contre la mienne. De me délecter des douces effluves poivrées de son parfum. Du bout d'un doigt, elle trace, sur mon abdomen, des courbes formant des dessins imaginaires. Parfois, un bref frisson me parcourt le corps. J'aime ces instants. Je les aimerais bien plus si je savais vers quoi sont dirigées les pensées de ma nièce.
"Tu vas leur donner ce qu'elles désirent?" finit-elle par me demander, doucement.
Pas besoin de plus d'explication car je saisi fort bien ce dont elle parle. C'est donc cela qui l'inquiète...
"Euh... J'hésite encore un peu, mais je pense. Cela te dérange?" dis-je, tout en la serrant tendrement contre moi.
"En fait, si tu ne fais ça qu'avec elles, ça ne me dérange pas trop. Je sais bien qu'elles en meurent d'envie. Seulement..."
"Seulement?"
"J'ai un peu peur que tu te détournes de moi. Que je devienne moins intéressante pour toi." murmure-t-elle.
Je me redresse pour venir fixer mon regard dans le sien.
"Je ne me détournerai pas de toi. Jamais. Rassure toi, tu n'as absolument aucune crainte à avoir." dis-je, le plus sincèrement du monde.
"J'ai l'impression d'être si peu... séductrice. De ne jamais savoir comment m'y prendre pour te satisfaire."
Le ton de sa voix reflète son manque de confiance en elle. Je la serre contre moi, tendrement, et je la rassure du mieux que je peux. Je lui explique à quel point je la trouve belle et désirable. Elle n'a qu'à être elle même pour me séduire. Pas besoin de trahir sa personnalité pour éveiller en moi de coquines envies.
"Mais il y a bien des choses que tu aimes qu'on te fasses? Des caresses, des choses particulières..." insiste-t-elle.
"Bien sur! Mais c'est avec le temps que tu découvriras tout cela. Tu sais, il faut un peu de temps et d'expérience en commun pour savoir véritablement ce que l'autre aime. Nous aurons ce temps. Tu apprendras à me faire plaisir. Comme je le ferai pour toi."
Je ponctue ma phrase en lui déposant un baiser tendre sur les lèvres. Meggh entoure mon cou de ses bras bronzés, comme pour me garder contre elle.
"Et si on commençait maintenant?" chuchotte-t-elle, le visage éclairé par un large sourire.
"Hummm je ne dis pas non..."
Dès cet instant nos bouches ne s'expriment plus que par des baisers passionnés. Nos corps parlent pour nous. Nos caresses deviennent des déclarations d'amour muettes et pourtant si parlantes.
Meggh délaisse rapidement ma bouche pour faire errer ses lèvres dans mon cou. Je ferme les yeux pour uniquement me laisser envahir par la sensation de sa bouche et sa langue sur mon corps.
La voilà sur mon épaule qu'elle embrasse puis qu'elle mord tout doucement. Je sens sa poitrine qui frotte contre mon torse puis mon abdomen au fur et à mesure que ses lèvres descendent. Comme j'aurais pu le faire sur elle, ma nièce entreprend de m'embrasser la poitrine. Sa langue effleure mes aréoles. La sensation, nouvelle pour moi (on apprend à tout âge), n'est vraiment pas désagréable... Pour une fille qui doutait de ses capacités à me satisfaire, quelques instants auparavant, elle ne s'en sort vraiment pas mal. Malheureusement, elle quitte trop rapidement cet endroit pour continuer à descendre ses lippes passionnées. Toutefois, l'intervention d'une main timide à proximité de mon sexe efface immédiatement tout regret.
Meggh cesse ses baisers au moment même où ses doigts saisissent mon sexe. Cela suffit pour parfaire mon érection. Très attentive à chacun de ces gestes, elle me masturbe lentement. Son visage s'approche. D'après ce qu'elle m'a déjà raconté de son passé, je sais que ce qu'elle s'apprête à faire est une première pour elle. Ses lèvres entrent en contact avec mon gland. Pour un simple baiser pour commencer. Puis elles s'écartent pour laisser passer le bout de la langue. Je m'aperçois qu'elle tente de reproduire des choses vues dans des vidéos coquines. Tout cela se déroule avec un peu d'hésitation. Mais Meggh gagne en enthousiasme et en assurance. Mon sexe finit par être enveloppé par ces lèvres gourmandes. Évidemment il y a un peu de maladresse, mais sa tendresse compense largement. Et les sensations aussi. Me délectant de la situation, je referme les yeux quelques instants et je souris de satisfaction.
De temps en temps, lorsque Meggh se montre encore plus adroite dans ses faveurs, je laisse échapper des petits soupirs. Elle en prend conscience, et découvre ainsi ce qui me convient le plus. J'apprécie volontiers ses coups de langues sur mon gland, ses baisers sur mes testicules... De temps à autre elle interrompt son jeu de bouche pour me sucer à nouveau. Petit à petit, elle cesse de vouloir faire comme dans les pornos, pour jouer avec mon sexe dressé comme bon lui semble. Elle comprend à ce moment que le plaisir est dans l'échange entre les deux partenaires, bien plus que dans la simple mécanique sexuelle.
Les regards qu'elle me lance parfois ne sont plus ceux d'une «post-ado» hésitante, mais bien ceux d'une jeune femme sensuelle et terriblement attirante, pleinement consciente du plaisir qu'elle procure.
Ne souhaitant pas être en reste, je profite d'un moment où Meggh me masturbe pour lui faire changer de position afin que nous ayons mutuellement nos sexes à portée de bouche. Ainsi, lorsque ma troublante nièce se remet à me sucer, je peux également lui titiller le sexe avec ma bouche et mes doigts. Bien évidemment, je m'attarde plus longuement sur son clitoris. Chaque petit gémissement qu'elle émet est une grande fierté pour moi.
Tout à mon plaisir de lui faire du bien, je ne me rend pas immédiatement compte qu'elle a stoppé sa petite plume... Tout juste se contente-t-elle de garder mon sexe dans une main. L'autre main, se situant sur un de ses seins, qu'elle malaxe allègrement. Elle me regarde lui caresser son bouton alors que deux de mes doigts vont et viennent en elle. Je la devine prête à jouir. Sans attendre je m'installe dans la bonne position pour introduire directement ma queue en elle.
Nous nous livrons alors à un corps à corps endiablé. Ses mains aggripent mes hanches. Ses doigts labourent mon dos. Chaque coup de reins nous arrache des râles de plaisirs. Je suis à peine conscient du vacarme que nous sommes en train de faire. Il y a bien longtemps que je n'ai plus fait l'amour avec une telle force. Mais là, à cet instant, c'est ce dont nous avons envie, ce dont nous avons besoin. La sueur coule sur nos deux corps. Malgré sa peau mate et la faible lumière de notre cabine, je vois bien que le visage de Meggh est rouge.
Elle est la première à jouir. Je la suis quelques secondes plus tard. Un orgasme total. De ces orgasmes qui vous coupent les jambes. Comme si toute votre énergie s'écoulait avec les deux ou trois premiers jets de sperme...
Extènué, je m'allonge à côté de ma nièce. Le souffle encore haletant de notre étreinte...
"Oh quel pied!" ne puis-je m'empêcher de dire. "J'ai cru que mon coeur allait exploser..."
Meggh éclate de rire.
"Eh te moque pas! J'ai plus l'habitude de ces choses là moi."
Cette fois, Meggh reprend place contre moi. Elle est moins essoufflée que moi.

Lorsqu'après cinq bonnes minutes, ma poitrine cesse de monter et descendre à toute vitesse et que ma respiration a ralenti, Meggh m'embrasse. Sur le torse tout d'abord, puis sur les lèvres.
"C'est vrai que c'était pas mal du tout..." me dit-elle.
"Quoi? Pas mal?! Mais j'ai frisé l'infarctus moi!"
"Mais non, c'était fabuleux mon ange. Sincèrement... Et tu penses pouvoir remettre ça quand?"
Sans attendre que je lui réponde, ma nièce, particulièrement insatiable ce soir, fait de nouveau descendre sa tête vers mon bas ventre. Nul doute que sur mon sexe au repos elle retrouve la saveur de nos deux fluides. Cela ne semble guère la déranger car elle s'empresse de le sucer avec gourmandise. Je regagne lentement toute ma vigueur. Meggh s'installe à califourchon sur moi, mon sexe happé par le sien. Cette fois tout se déroule en douceur, tout n'est plus que caresses, baisers et volupté.
Il y a tellement de manières de s'aimer. Toutes aussi belles du moment que cela se déroule dans une parfaite osmose.
Nous jouissons une dernière fois avant de nous laisser emporter par la fatigue. Ma dernière pensée est une question: depuis quand n'avais-je pas joui trois fois dans la journée? Je n'ai pas le temps de chercher la réponse, le pays des songes m'ayant attiré dans ses douces contrées.

Par intales - Publié dans : Croisière
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Vendredi 20 décembre 5 20 /12 /Déc 14:13

Jour 6

Lorsque je commence les manoeuvres pour quitter le ponton où nous sommes amarrés, il est près de 10h. Et aucune de mes trois passagères n'a encore émergé. Sans doute que la petite fête arrosée d'hier soir demande plus de temps de récupération. Surtout pour des jeunes filles peu habituées à l'alcool. Mais revenons quelques instants à cette soirée.

Après avoir pris la décision d'accepter la proposition de mes filles, je suis resté sur le pont une petite dizaine de minutes. Je voulais faire le vide avant de rejoindre Meggh.
Je suis descendu ensuite vers les cabines. Alors que j'étais sur le point d'entrer dans celle que je partage avec ma jeune maitresse, j'ai entendu des gémissements provenir de la cabine des jumelles. Il n'y avait aucun doute à avoir sur leur origine. Hésitant un long moment, j'ai fini par ouvrir très légèrement la porte. Les lumières étaient éteintes. La pénombre ne me permettait que d'apercevoir deux silhouettes enlacées. Impossible d'en voir plus. Mais c'était quand même extrêmement excitant. Mon érection en était la preuve. J'imaginais plus que je ne voyais le visage de Julie enfouis entre les jambes de sa soeur, totalement nue. J'ai vraiment eu envie d'entrer pour les rejoindre. Mais encore une fois, je me suis dit que si je devais accéder à leur envie, cela devrait se faire en pleine possession de nos moyens et non pas grisés, comme nous l'étions, par le champagne.
J'ai donc refermé la porte et je suis entré dans ma cabine. J'y ai trouvé une charmante jeune fille à la peau mate, en tenue d'Eve, totalement endormie. L'alcool ayant eu raison d'elle.
Tout comme nos premières nuits, je pris plaisir à regarder Meggh dormir. Toujours excité par ce qui se passait dans la cabine d'à côté, j'admirais ses formes, son sexe. Je repensais à nos premiers gestes sensuels.
Je me suis dévêtu et je me suis allongé à ses cotés. Meggh ouvrit les yeux un instant et se plaça dans mes bras avant de sombrer définitivement dans un sommeil agité. Mon excitation finit par s'estomper, me laissant m'endormir à mon tour.

C'est donc seul sur le pont que je quitte le port de La Corogne. Et même si le ciel est particulièrement chargé et la mer un peu agitée ce matin, la météo indique une tempête de ciel bleu plus au sud. J'ai donc l'intention de rejoindre les côtes portugaises d'ici deux ou trois jours, sans faire escale.
Les parois des cabines étant parfaitement insonorisées, le moteur ne réveille pas les filles. Et je dois admettre que j'apprécie ce moment de solitude à la barre de mon bateau. Je ne pense plus à rien, si ce n'est à la mer. Pour quelques instants, les démons de la tentation et de la luxure cèdent le pas à Neptune et aux éléments.

Lorsque Julie paraît, une bonne heure plus tard, elle vient me déposer le traditionnel baiser sur la joue du matin.
"Qu'est ce qui te fait sourire ainsi?" me demande-t-elle.
"La mer. J'adore quand elle est légèrement agitée comme aujourd'hui."
"Toi peut-être, mais Alix, avec sa gueule de bois, a l'air de moins apprécier que toi. Et Meggh n'a pas l'air de péter la forme non plus. Je suis passée lui faire un bisou et je l'ai trouvée bien pâle."
"Ah ces filles, ça ne tient pas l'alcool et pourtant elles éclusent plus vite qu'un vieux loup de mer."
"Eh! Moi je vais bien! Ne généralise pas mon petit Papa."
"Je te nomme donc second de notre vaisseau. Tiens la barre quelques instants. Je vais apporter de l'aspirine à nos deux malades."

Julie m'ayant appris que sa soeur avait rejoint Meggh dans notre cabine, je m'y rend avec le nécessaire pour les soulager. Mes deux jeunes malades sont allongées sur le lit. Simplement vêtues de leur bas de maillot de bain. En d'autres circonstances j'aurai savouré la vue de ces deux poitrines appétissantes, mais là, je focalise mon attention sur leur visages blêmes.
Je leur tend les deux verres, et tente de les réconforter.
"Restez couchées pour le moment. D'ici une heure ou deux, la mer sera calme et vous vous sentirez mieux. Et ce soir, au mouillage, vous serez les premières à piquer une tête."
N'obtenant que des sourires peu convaincants, je les embrasse chacune à la commissure des lèvres et je les laisse récupérer.

De retour au poste de pilotage, je laisse Julie à la barre, pour m'installer sur une banquette à proximité.
Dès l'âge de 12/13 ans, j'ai initié mes filles aux plaisirs de la navigation. Julie, toujours plus curieuse que sa jumelle d'apprendre de nouvelles choses, s'était montrée la plus réceptive. Si bien qu'au printemps dernier elle a passé son permis bateau hauturier (pour la navigation à moins de 11 km des côtes). C'est donc sans crainte que je lui confie le gouvernail. J'en profite pour l'observer.

Après une semaine au soleil ses cheveux se sont éclaircis. Sa peau est devenue dorée. De temps à autre, elle m'adresse un large sourire.
Je sais qu'elle est heureuse de naviguer. Cela se lit dans ses grands yeux verts. N'est-elle pas ma fille après tout? Je lui ai, au moins, transmis cela. Comme mon père l'avait fait avec moi, et comme son père avec lui auparavant . La tradition ne s'éteindra pas avec moi.
Mais à cet instant, ce n'est plus le père qui regarde sa fille. C'est l'homme qui admire une ravissante jeune fille. Presque une jeune femme. Des jambes élancées, une paire de fesses peu volumineuse mais musclée, parfaitement mise en valeur par un shorty blanc qui fait ressortir son bronzage. Par instants, son débardeur largement échancré dévoile ses petits seins. Avec ses cheveux courts et faussement en pagaille, elle a un petit air garçon manqué.
"Pourquoi tu me regardes ainsi?" me questionne-t-elle.
"Je trouve que toi, comme ta soeur, vous êtes devenues de très jolies jeunes femmes."
"Oh... C'est vraiment très gentil." répond Julie en rougissant, "De ta part, c'est touchant."
Je me lève de la banquette et je me place derrière elle, pour la serrer dans mes bras. Son parfum, à la fois fruité et épicé, emplit mes narines. Je dépose un baiser dans son cou. Elle frissonne.
"Encore un, s'il te plait..." me dit-elle dans un murmure.
Je lui accorde ce baiser. Puis un troisième. Un quatrième. Ma fille bascule légèrement la tête en arrière, les yeux mi-clos. Elle se saisit d'une de mes mains, et la place sur sa poitrine. Par dessus le tissus, je ressens ses tétons qui durcissent et se dressent après quelques caresses. De toute évidence, Julie a une petite poitrine très sensible aux caresses. Je glisse ma main sous son débardeur pour avoir un contact direct avec elle. Ma fille, emportée par son excitation grandissante, cambre ses fesses pour que celles-ci viennent appuyer contre mon bas ventre. Inutile de vous préciser l'effet que cela a pour moi.
Avec mes deux mains, je palpe ces deux globes délicats. Non sans une certaine précipitation, Julie retire son haut. Elle peut ainsi regarder ses tétons rouler sous mes doigts, ou apprécier l'emprise de mes mains pendant que je lui malaxe doucement la poitrine.
Elle tourne son visage vers le mien. La bouche ouverte. Souriante. J'ai l'impression qu'elle a envie de me dire quelque chose mais que les mots ne parviennent plus à sortir. Comme lorsque une belle surprise vous coupe le souffle et la parole.
J'embrasse à nouveau son cou et ses épaules. Elle se retourne pour me faire face. Je fais descendre mes lèvres sur le haut de sa poitrine. Ma bouche n'est plus qu'à quelques centimètres de son téton droit saillant. Son aréole rose s'est bombée. Julie passe une main dans mes cheveux. Je sens qu'elle effectue une légère pression pour que ma tête descende plus bas et que ma bouche atteigne cette extrémité sensible. Je cède avec plaisir.
Mes premiers baisers, mes caresses du bout de la langue lui soutirent des petits gémissements de plaisir. Je me régale en passant d'un sein à l'autre.
Après deux ou trois minutes, je sens les doigts de Julie s'activer sur le bouton et la fermeture éclair de mon bermuda.
"Que veux tu faire?" dis-je, tout en sachant très bien ses intentions.
"Je veux la revoir et la toucher..."
Le ton quasi fiévreux de sa voix m'apprend beaucoup de son état d'excitation. D'un geste rapide j'enclenche la navigation automatique du bateau et j'attire ma fille sur les banquettes. Elle s'assoit et je me met face à elle.
Ses mains tremblent un peu quand elle fait descendre mon bermuda, dans un premier temps, puis mon boxer. Sans attendre une seconde, le rouge aux joues, elle entoure mon sexe dressé de ses doigts fins. Avec une certaine brusquerie, elle entreprend à les faire aller et venir.
"Plus doucement ma chérie..."
La main de Julie ralentit mais les douces sensations augmentent. Et tandis qu'elle me masturbe, je joue avec ses mamelons. J'ose même faire glisser main sur son ventre pour me diriger vers l'intérieur de son shorty de bain. Hélas elle me fait comprendre que ce n'est toujours pas possible. Je me contente donc, mais avec joie, de sa poitrine.
Je me surprend à espérer qu'elle ouvre la bouche et qu'elle y glisse mon sexe. Mais je garde pour moi cette envie de peur de la brusquer. J'ignore jusqu'où elle est capable d'aller et je ne tiens pas à tout gâcher avec une malencontreuse initiative.
Tandis que la main droite de ma Julie poursuit ses cajoleries, la gauche, elle papillonne sur mes fesses, mon ventre, mes hanches puis mes testicules.
Quand je me sens sur le point d'éjaculer, j'en informe ma fille pour ne pas qu'un jet de ma semence ne l'atteigne si elle n'en a pas envie. Mais cela ne semble nullement la déranger car elle continue sans rien changer. Et c'est avec un «oh» de demi-surprise qu'elle accueille le premier jet de sperme, qui vient terminer sa course sur sa poitrine.
Affichant un sourire radieux, Julie continue de me masturber jusqu'à ce que mon fluide cesse de s'écouler et que mon sexe décline. Elle retire alors sa main et vient, sur ses seins, récolter du bout des doigts, le fruit de ses caresses. Cela semble l'amuser. Puis, un peu hésitante, elle en teste la saveur avec le bout de sa langue. Enfin elle se lève, la main toujours couverte de sperme, et après un rapide bisou sur les lèvres, elle se dirige vers les cabines, en me laissant seul.
C'est en remontant mon boxer et mon bermuda que je prend conscience réellement que je viens de partager un moment dès plus intimes avec ma fille. Et le plaisir immoral que j'éprouve, me fait douter un peu de moi. Mais très vite je me dis que nous étions deux à vouloir partager cet instant et mes scrupules s'estompent petit à petit. De plus, si mes filles ne s'étaient pas aussi clairement montrées intéressées hier soir, jamais je n'aurai agit ainsi.

Lorsque Julie revient une demi-heure plus tard, toujours aussi rayonnante, elle ne porte plus qu'un mini-short, sans rien d'autre pour couvrir le haut.
Elle m'informe que sa soeur et sa cousine ne nous rejoindrons pas pour déjeuner et que donc nous mangerons en tête à tête.

Durant le déjeuner et une grande partie de l'après midi nous discutons tous les deux, comme un père et sa fille, sans jamais faire allusion à ce que nous avons partagé. Je lui laisse la barre de temps à autres. Puis vers 17h, après avoir repéré une zone de mouillage autorisée, je décide de faire escale pour la nuit.
Comme l'avait prévu la météo au départ de La Corogne, le ciel s'est entièrement découvert, et l'Atlantique est simplement effleuré par une légère brise marine. Meggh et Alix nous rejoignent enfin, apparament en meilleure forme. Et tandis que les jumelles se mettent à papoter entre elles, Meggh vient se blottir contre moi.
"Alors comme ça, en plus d'être un oncle très coquin avec sa jeune nièce sans défense, tu deviens un papa plus qu'affectueux avec ses filles?" se moque-t-elle.
"Si tu veux, je ne ferai plus rien avec les jumelles."
"Hmm non, c'est pas que je veux. Tu as toutes les vacances pour t'amuser avec elles. Je veux juste que tu gardes des forces pour moi tous les soirs."
"Oh vous n'avez guère plus de morale que moi jeune demoiselle sans défense..."
"Vous m'avez perverti Monsieur. Et c'est tellement bon d'être immorale dans vos bras."

À suivre


Ami(e)s lecteurs et lectrices
Puisque je reçois pas mal de messages très sympathiques, j'aimerai que vous en profitiez pour me parler des personnages de Croisière. Quel est votre avis sur chacun d'entre eux? Essayez de ne pas limiter vos réponses avec un simple mot.... Merci et à très bientôt.

Par intales - Publié dans : Croisière - Communauté : histoires coquines sans tabous
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Jeudi 6 juin 4 06 /06 /Juin 14:23

Jour 5

En me réveillant ce matin, les tendres instants vécus avec Meggh me reviennent en mémoire. Ses baisers, sa peau, nos étreintes. D'autant plus que le corps de mes désirs dort à quelques centimètres de moi. Que je suis injuste de résumer Meggh à un corps! Elle est plus que ça. Plus une enfant et pas une femme encore. Une personnalité admirable, douce, intéressante, intelligente comme je les aime. Oui, j'en suis amoureux.
L'envie de lui faire l'amour me reprend. Là, tout de suite. L'envie de lui offrir un réveil tout en plaisir. De l'entraîner une nouvelle fois dans un voluptueux corps à corps. Mon sexe dressé est prêt à passer à l'offensive.
Mais en jetant un coup d'oeil sur ma montre je constate que la matinée est déjà bien avancée et que mes trois passagères vont rater le rendez-vous téléphonique prévu avec leurs mères. En toute hâte, nous nous préparons, puis j'accompagne les filles à un cybercafé, faisant office de taxiphone, que m'ont indiqué d'autres plaisanciers. Pendant que les filles s'acquittent de leurs obligations, je consulte mes mails.

Le reste de la journée est consacré au tourisme. C'est notre première journée sans navigation. Tous les quatre, nous apprécions cette parenthèse. Au fil des jours, notre complicité se renforce. Et grâce à des étapes comme celle-ci, nous rompons l'isolement qui pourrait être source de tensions. Avec Meggh, évidemment un lien nouveau s'est tissé. Mais avec mes filles aussi, je me sent plus proche. Elles me paraissent plus matures, plus responsables, plus... femmes en quelque sorte, depuis notre départ. Certes, elles restent les pitres que j'ai toujours connu, mais je vois bien qu'une partie de leurs personnalités a grandi. Peut être est-ce leur ouverture d'esprit face à ma relation naissante avec leur cousine? Je repense soudain aux derniers mots que Meggh a prononcé hier soir en s'endormant: "Même quand on se caresse, avec les jumelles, on ne jouit pas aussi fort..."
Ces mots m'étaient sortis de l'esprit. Pourtant ils sont si surprenants. La découverte de leurs jeux érotiques me trouble. En père responsable, je devrais être fermement opposé à cela. Et pourtant... Que suis-je en droit de dire, moi qui ai défloré ma propre nièce? Moi qui est si souvent regardé mes trois passagères, avec gourmandise, quand elles se promènent sur le bateau avec leurs maillots de bain minuscules! À vrai dire cette découverte nourrit ma curiosité. Cette envie d'en savoir plus, de partager leurs secrets. J'aimerai savoir jusqu'où vont leurs jeux. Et à ma grande surprise, je me découvre le désir de vivre un de ces moments avec elles. Cette pensée m'aurait heurté il y a peu encore, mais aujourd'hui elle m'excite incroyablement. Être l'étalon de ces trois jeunes beautés... quel plaisir! J'ai l'impression de basculer dans un autre monde, où le désir l'emporte.

Le soir venu, je m'éclipse un moment pour faire une course pendant que les filles préparent le diner. À mon retour, sans qu'elles ne m'aperçoivent, je tombe sur les filles en grande conversation.
"Et tu as eu mal?" demande Julie dont je reconnais la voix.
"Non, pas une seule seconde! Il a été très doux, très attentionné ." lui répond sa cousine. "C'était cent fois mieux que je l'imaginais."
"Mais vous avez fait quoi au juste?" insiste Alix.
"À vrai dire, moi je n'ai pas eu à faire grand chose. Paul à tout pris en main!"
"Tu m'étonnes! Avec la paire de seins que t'as, il a du vraiment en avoir plein les mains!" s'esclaffe Alix.
"Oh arrête tes bêtises Alix, laisse la raconter!"
"Il m'a juste demandé de me laisser aller, et qu'il me guiderait plus tard."
"Et ensuite?"
"Bah on l'a fait..."
"Oui mais quoi exactement? Comment il s'y est pris?" relance une Julie, bien plus curieuse que je ne la connais habituellement.
"Oh quand ma Juju est aussi insistante c'est qu'elle est grave excitée." la taquine sa jumelle.
"Bah ouai ça m'excite de savoir ce que Meggh et Papa ont fait. Et te connaissant, je suis sûre que toi aussi, alors arrête un peu."
"Pour commencer, il m'a embrassé en descendant sur mes seins, il les a sucé. Ensuite, il m'a caressé."
"Tu mouillais?"
"Oh oui! Et comme jamais j'ai mouillé de ma vie je crois."
Les questions fusent, Meggh explique tout avec force détails. Je suis surpris d'entendre les filles se parler aussi crûment de sexe. Étonné devant la curiosité de mes filles. Excité d'éveiller leur désir. Flatté d'entendre Meggh évoquer notre plaisir partagé de manière si flatteuse...
Toutefois un éclair de morale, émergeant de je ne sais où, me frappe. Je fais quelques pas en arrière, et décide de manifester mon arrivée à bord en étant un peu plus bruyant.
Lorsque je rejoins les filles, leur conversation est arrêtée. Cependant, l'air de rien, je les observe du coin de l'oeil. Meggh a les joues rouges. Alix, fidèle à elle même, semble retenir un fou-rire. Quant à Julie, elle s'est retournée à mon entrée et je ne peux donc pas voir sa réaction.
"Qu'y a t-il? Pourquoi ce silence quand j'arrive? Vous vous racontiez des choses que je ne dois pas connaître? Dois je craindre une mutinerie?"
"Au contraire! Il n'y avait rien que tu ne saches déjà mon petit Papa..." me rétorque Alix.
"Ah, et bien vous allez pouvoir reprendre votre conversation en ma présence! Puisque je n'ignore rien..."
"Oh des bouteilles de Champagne!" intervient Julie, découvrant ce que je tiens dans les mains et trouvant là un prétexte pour couper court à la conversation. "Tu as quelque chose à fêter?"
"À moins que ce soit Meggh qui est envie de fêter son dép..."
Julie plaque sa main sur la bouche de sa soeur pour l'empêcher de poursuivre.
D'abord très mal à l'aise, Meggh se détend lorsque je me met à rire des propos de ma fille.
"Non non, le Champagne est pour un évènement qui me concerne moi seul. Pendant que vous appeliez vos mères, j'ai consulté mes mails, et j'ai appris que les droits de mon dernier livre avaient été achetés pour une série documentaire. Une coproduction européenne, et en plus d'un gros chèque, j'en serai le conseiller technique et historique."
Les filles exultent, et m'embrassent chaleureusement.
"On est vraiment fières de toi."
Sur ces mots je débouche la première bouteille de Champagne.

Le repas se déroule dans la joie. Et les filles, grisées par l'alcool, deviennent plus volubiles. Je décide d'en profiter.
"Bon, et si vous repreniez votre petite conversation de tout à l'heure!"
"Euh laquelle?"
"Celle que mon arrivée a interrompu."
Les filles éclatent de rire. L'alcool a fait son effet plus que je ne le pensais.
"Allez je vous dis tous mes chéries. Je vous ai entendu. Je sais que vous parliez de notre nuit avec Meggh."
"Oh Papa, tu nous en veux pas, hein?" supplie Julie, mi-sincère, mi-joueuse.
"Non bien sur Juju. Mais pourquoi vouliez vous tant savoir?"
"Bah parce que c'est génial. Meggh en rêvait depuis si longtemps."
"Peut être, mais de là à lui demander de raconter tous les détails..."
Julie avale une nouvelle gorgée de Champagne puis se lance:
"En fait moi je voulais savoir comment tu t'y prenais. D'abord parce que je l'ai fait une fois et c'était pas super super. Et puis je dois dire que ça me fais des choses de t'imaginer en train de... Enfin tu vois quoi!"
Oui, effectivement je vois. Mais découvrir que ma Julie n'est plus vierge me donne un choc. C'est un moment étrange pour un père.
"Tu as couché avec un garçon?!"
"Euh... Oui. Mais une seule fois. Et ça n'a pas duré longtemps."
"Et toi Alix?"
"Ah non pas moi, je suis toujours vierge. Et même que l'autre jour, quand je suis entrée dans votre cabine et que Meggh était sur toi, c'était la première fois que je voyais le truc d'un homme en vrai."
"Hum, et pourquoi voulais tu avoir des détails sur ce qui s'est passé hier entre ta cousine et moi?"
"Parce qu'on aurait bien aimé être à sa place, avec toi."
"Mais Alix, vous êtes mes filles!"
J'ai beau joué le père choqué, j'ai l'impression que mes paroles sonnent faux. Je n'entend pas la réponse d'Alix. À la vitesse de l'éclair, je commence à m'imaginer en train de faire l'amour avec mes filles. Mon sexe enfle. Mon sang et mon esprit s'échauffent. Je revis la soirée d'hier, mais le visage de Julie ou d'Alix se substitue à celui de Meggh...

"Papa? Ça ne va pas?"
"Si... Si si ça va. Désolé mais ce genre de chose, ça surprend quand même."
Julie m'adresse un sourire plein de compassion. Tandis que sa soeur m'explique:
"Nous, ça nous plairait vraiment beaucoup. Tu es l'homme parfait. Alors c'est normal qu'on ait envie. Et oui tu es notre père, et pour nous, ça ne fait qu'augmenter notre désir."
"Tu sais que ça n'est pas moral et que cela est condamnable?"
"On s'en fout des autres, et nous on en meurt d'envie. Et pour moi, c'est en permanence dans ma tête. Et encore plus depuis que je vous ai surpris avec Meggh. En plus j'ai pas envie de rester la seule pucelle du bateau!"
"Je... je ne sais pas quoi répondre à ça!"
"Franchement, admet qu'il y a une partie de toi qui en a envie!"
"Oui... C'est vrai." dis-je, peu dépité d'avoir à me dévoiler.
"Alors où est le problème si nous sommes tous d'accord?" déclare Julie.
"Parce que tous les fantasmes ne sont pas fait pour être vécus. Certains doivent rester des rêves. .. Ce n'est pas une décision à prendre à la légère, et surement pas après avoir bu."
"De toute façon, Julie n'étant pas en état, tu as le temps de réfléchir à ça. Pour elle, comme pour moi, c'est une vraie envie, pas un simple fantasme pour pimenter notre désir." précise Alix.
"On verra... Mais vous avez l'air de partager beaucoup de secrets intimes toutes les trois. Cela se limite aux mots, ou bien cela se transforme-t-il parfois en actions plus concrètes?"
Je profite de la conversation pour éclaircir la situation sur leur relation et sur la phrase que Meggh a laissé échapper. La question surprend mes trois jeunes passagères. Elles se regardent les unes les autres, cherchant laquelle prendrait la parole. Même Alix, toujours prompte à prendre la parole avec franchise, semble hésiter. Et à ma grande surprise, Meggh, jusque là silencieuse, se décide.
"Ils nous arrivent parfois de faire plus que discuter de sexe entre nous."
"J'ai le droit de savoir ce que vous faites? J'avoue que je suis très curieux de connaître toute cette histoire. Et ne craignez rien, c'est juste pour mon plaisir que je veux savoir, et non pour une leçon de moral."
Meggh et Julie se tournent toutes les deux vers Alix. Instantanément, je me demande si c'est pour son éloquence ou si c'est en raison d'un rôle d'instigatrice.
Celle ci hausse les épaules puis me demande:
"Tu veux que je t'explique tout depuis le commencement?"
"Si tu le veux bien, et si cela ne dérange pas ta soeur et ta cousine."
Après un accord de la tête de leur part, Alix cherche un instant ses mots puis se lance.
"À vrai dire, tout a commencé entre Juju et moi. Tu es bien placé pour savoir que nous avons une relation extrêmement fusionnelle toute les deux. Comme beaucoup de jumelles. Même en grandissant nous n'avons jamais réussi à faire chambre à part, malgré vos efforts à maman et à toi. Nous avons toujours été habitué à la nudité de l'autre. Nos corps se sont toujours ressemblés. Quand nous avons commencé à prendre des formes, nous examinions les changements. Aussi bien sur notre propre corps que sur celui de l'autre. Avec le temps nous avons compris que nous regarder provoquait souvent un drôle d'effet. Et plus nous prenions conscience de cela, plus l'effet était fort.
Un jour que l'on se regardait sur le lit, les jambes écartées, j'ai eu envie de toucher le sexe de Juju. Enfin pas le toucher, plutôt le caresser. Je voyais bien qu'elle mouillait tout comme moi. Sans se le dire, nous avions commencé à jouer, chacune dans notre coin, avec notre clitoris. Jamais nous n'avions osé partager ce genre de moment. Mais ce jour là, mon envie a été plus forte que tout. J'ai donc passé mes doigts sur les lèvres intimes de Juju. Elle m'a laissé faire. Je suis remontée vers son clitoris, sans qu'elle ne me retienne. Au contraire, elle a commencé à tripoter ses seins dont les bouts étaient durs. Je passais d'abord le bout d'un doigt sur cet endroit, qui sur me moi faisait tellement d'effet. Puis j'ai osé le caresser plus intensément. Comme j'avais appris à me le faire toute seule. C'était super excitant de lui donner du plaisir. Quand Julie a jouis, elle a voulu me le faire à son tour. Certes, nous étions un peu hésitante mais c'était tellement bon, tellement différent que lorsque nous nous doigtions toutes seules. À partir de ce jour, nous nous sommes faites jouir presque tous les jours où cela était possible. Dans les premiers temps, nous nous limitions à jouer avec nos doigts sur nos clitoris. Puis nous avons glissé nos doigts dans nos chattes.
Il nous arrivait de chercher des vidéos de filles entre elles sur internet, pour voir ce qu'elles se faisaient. Nous, on n'osait pas aller jusque là. Et puis un soir où nous étions couchées Julie a posé sa main sur mes seins. Je l'ai attiré vers moi, et on s'est embrassée. Ce n'était pas la première fois que nous nous embrassions puisque c'est entre nous qu'on avait appris "à rouler des pelles". Mais c'était toujours un jeu ou un exercice. Ce soir là, ce fut beaucoup plus intense.
Nues, l'une contre l'autre on s'embrassait avec une intensité différente. En même temps nos jambes s'entrelaçaient, nos mains allaient partout où c'était possible d'aller, nos seins frottaient entre eux. Quand nous avons cessé de nous embrasser, Julie est venue m'embrasser les seins, le ventre, et logiquement elle est arrivée sur ma chatte. C'était une sensation si différente. Si douce et agréable. Pourtant ses gestes étaient tâtonnants mais j'étais si excitée que j'ai eu un orgasme simplement après quelques coups de langue. Bien sur je lui ai fait la même chose. J'ai immédiatement adoré ça. Avoir ses bouts de seins entre mes lèvres, ou bien lui caresser le clitoris avec ma langue, la sentir gémir, onduler, mouiller grâce à ma bouche... C'est tellement génial. C'était, et c'est, toujours un plaisir très intense. Cette nuit là, je peux dire que c'est la première où nous avons fait l'amour. Entre soeurs."
Alix stoppe un instant son récit pour regarder sa jumelle. Mes deux filles échangent un sourire plein de tendresse, et, à cet instant je n'en doute pas, d'amour sincère. J'éprouve une certaine honte d'être en érection, tant j'ai l'impression que ce réflexe quasi animal est déplacé. Puis Alix reprend.
"Depuis cette nuit là, nous n'avons guère cessé de faire l'amour. Plusieurs fois par jour parfois. Bien sur, nous ne sommes plus hésitantes, nous avons appris à nous donner tout le plaisir possible. Nous avons appris quel geste, quelle caresse faisait le plus d'effet à l'autre. Si tu veux vraiment tout savoir, ce que nous aimons le plus, c'est de nous mettre en 69, et de tenter de nous faire jouir en même temps. Ce n'est pas évident d'y parvenir, mais c'est fantastique quand ça arrive. Voilà pour notre relation entre Julie et moi. J'espère que nous restons toujours tes filles chérie."
"Évidemment que vous le restez."
"Et tu en penses quoi maintenant?"
"Et bien puisque tu as été honnête, je vais l'être aussi: la manière dont tu m'as expliqué votre histoire est très belle et très excitante. Et même si je ne devrais pas, je ne peux que vous encourager à continuer... Par contre, je ne sais pas où viens se placer Meggh dans votre relation?"
Alix réfléchit un instant avant de me dire en souriant:
"Hum je te raconte la suite à une condition: J'aimerai revoir ton sexe!" m'annonce-t-elle avec une franchise désarmante.
"Oula! Carrément... Je t'ai dit que ce n'était pas une décision à prendre en ayant bu ma chérie."
"Oui j'ai bien compris. Mais je veux juste la voir. Et je suis certaine que Juju le veut aussi. Meggh pourra en profiter autant que possible dans votre cabine, alors que nous... Allez s'il le plait Papa chéri."
Tour à tour, je regarde Julie, dont le visage c'est empourpré, puis Alix qui me donne son autorisation d'un hochement de tête. Après un instant de réflexion, je décide d'accepter. Toutefois, la situation m'excite tant, que j'ai peur d'envie perdre le contrôle.
"Bon d'accord, mais pas question d'aller plus loin que de toucher des yeux!"
Les filles rayonnent de satisfaction. Je me lève, et, un peu intimidé tout de même, je fais descendre pantalon et boxer. Mon sexe gonflé se révèle à ses spectatrices. Dressé, il danse légèrement au rythme de la pression sanguine. Pour la première fois de ma vie, je m'exhibe, bandant, devant trois jeunes femmes à la fois. Et qu'elles soient mes filles et ma nièce, renforce l'excitation.
"Bon, et maintenant quand est ce que Meggh apparaît dans votre relation?"
Sans quitter ma queue du regard, Alix reprend son explication.
"Eh bien, comme Meggh vient dormir régulièrement à la maison, et que nous avons l'habitude de partager quelques secrets, nous lui avons confié jusqu'où notre complicité de jumelles allait. Elle a fini par nous avouer qu'elle aussi aimait se faire des choses, et qu'une personne de la famille l'inspirait beaucoup dans ces moments là. Tu te doutes bien que cette personne c'était toi. On a adoré cette idée. D'autant plus que Meggh semblait être sincèrement et passionnément folle de toi. Enfin passons. Quand nous lui racontions ce que nous faisions entre nous, nos jeux sexuels, Meggh nous racontait ses envies, ses fantasmes, ses masturbations où tu avais toujours une place importante, même lorsqu'elle avait un copain. Cela nous excitait de plus en plus. Un jour que nous discutions, nous avons décidé de nous soulager de ce désir qui nous faisait tant d'effet. Les premières fois, nous nous doigtions nous même, de peur de choquer Meggh. Ensuite, c'est elle qui a voulu voir comment nous nous y prenions, Juju et moi pour nous faire jouir mutuellement. Sa curiosité satisfaite, nous l'avons entraîné entre nous et nous lui avons fait partager certaines de nos caresses. Et plus le temps passait, plus tu étais présent sans le savoir. Pour Meggh, il était presque suffisant de prononcer ton prénom, quand on la masturbait, pour la faire jouir. Pour nous, l'idée de faire l'amour avec toi devint évidente. Même quand Meggh n'était pas avec nous. Par la suite, cette idée a toujours été là. Grandissant chaque jour. À présent Meggh y est parvenue, et nous on espère avoir notre chance, si toutefois elle veut bien nous prêter notre Papa."
Sans me demander mon avis, ma nièce et amante donne son accord. Il me faut une volonté de faire pour ne pas craquer et accepter de leur offrir ce qu'elles désirent tant, dès à présent. Je me ressaisis et tout en remontant mon pantalon, j'annonce qu'il est tard et qu'il est l'heure de dormir.
Mes filles regardent mon sexe disparaître de leur champ de vision avec une moue de déception. Leurs yeux brillent. Je ne cherche pas à savoir si c'est en raison d'une consommation excessive de Champagne ou bien si c'est d'envies plus charnelles. Meggh, pour sa part file directement vers notre cabine, après avoir déposé un baiser sur la joue de ses cousines.
Julie et Alix m'embrassent chacune leur tour, en me serrant dans leurs bras. Sans qu'elles ne se soient concertées, toutes les deux plaquent leur bassin contre le mien. Nul doute qu'ainsi elles sentent ma queue tendue à l'extrême. Elles partent se coucher en se parlant à voix basses.

Je reste seul un instant. Durant quelques minutes, je monte sur le pont pour prendre l'air et faire baisser la fièvre qui a pris possession de mon corps. Je ne peux m'empêcher de penser à ces trois jeunes filles qui ne demandent qu'à s'offrir à moi. Je suis certain qu'à cet instant même, leurs pensées et leurs désirs me sont consacrés.

Ma décision est prise.

 

Je serai leur homme.

 

 

 

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Par intales - Publié dans : Croisière - Communauté : histoires coquines sans tabous
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Mercredi 22 mai 3 22 /05 /Mai 15:23

Jour 4 - Suite

Le soir venu, lorsque nous regagnons nos cabines. Une boule de trac se ballade dans mon ventre. J'ai l'impression d'être un gamin qui va avoir sa première relation sexuelle.
Meggh est allongée sur le lit. Nue. Belle comme un ange. Je prend place à côté d'elle. Ma bouche vient se poser sur la sienne. Mes mains caressant ses hanches, remontent vers sa poitrine ferme et généreuse.
Lorsque je détache mes lèvres des siennes, je lui demande si ça va.
"J'ai un peu peur..." me dit-elle.
"Si tu veux, on peut attendre. Rien ne presse, ma puce."
"Non je veux le faire ce soir, avec toi."
De nouveau nous nous embrassons.
"Tout va bien se passer mon amour."
Je ne sais pas si c'est le fait de l'appeler "mon amour", mais le visage de Meggh semble subitement s'illuminer. Ses yeux brillent. Un sourire immense la rend encore plus belle.
"Tu as déjà fait des choses avec des garçons?"
Meggh hésite un instant avant de me répondre puis me dit:
"Avec mon dernier copain, j'ai fait quelques trucs... Et j'ai fait un peu plus de choses avec des filles."
"Ah bon? Tu aimes aussi les filles?"
"Disons que j'ai eu des occasions de m'amuser avec des copines. C'était juste pour s'amuser..."
Immédiatement j'imagine ma douce nièce enlacée dans les bras d'une fille. Ses seins frolant d'autres seins... Sa bouche embrassant la vulve d'une de ses amies... Il n'en faut pas plus pour que mon sexe s'éveille.
"Hummm je vois ça."
"Et moi je vois que cette idée te plait beaucoup." se moque-t-elle en désignant mon érection naissante.
"Oui j'adore cette idée."
J'étouffe le petit rire taquin de ma princesse par un baiser langoureux.
"Et avec ce garçon, tu as fait quoi au juste? Enfin si tu veux bien m'en parler."
"Je ne veux rien cacher à celui qui m'appelle mon amour. Tu veux que je te raconte tout?"
"Oui. Enfin ce dont tu as envie."
"Ok. Mais je te préviens à l'avance ce n'est ni très poussé, ni très joyeux!
Début janvier, j'ai rencontré un garçon. En fait c'est le frère d'une fille de ma classe. Plutôt beau gosse. On s'est bien entendu. On se voyait souvent en potes. Puis une chose en entraînant une autre, nous avons fini par sortir ensemble. Je n'étais pas vraiment amoureuse, mais j'aimais être avec lui, tout en sachant que cette histoire ne durerait pas."
Meggh marque un instant de silence. Une de ses mains caressant mon torse.
"Au bout de quelques semaines, il est devenu plus entreprenant. Les bisous ne lui suffisaient plus. Il voulait que l'on couche ensemble. Moi, je ne savais pas trop. Certes il était mignon, mais je n'imaginais pas perdre ma virginité avec lui. J'espérais plutôt quelqu'un dont je serais totalement dingue. Chaque fois que l'on se voyait il tentait de me convaincre."
Nouvel instant de silence.
"Et puis un jour que nous étions chez lui, en train de nous embrasser, il a défait son pantalon et a sorti son engin. Il bandait. Là, il m'a dit « regarde dans quel état tu me mets! Tu peux plus me laisser comme ça. S'il te plait suce moi ou branle moi au moins»... J'ai accepté de le branler. Même si cette façon de me le demander ne me plaisait pas."
La main qui se trouvait sur mon torse quelques instants auparavant, descend sur mon ventre, avant d'effleurer, comme à son habitude, mon sexe à demi gonflé.
"À partir de ce jour là, chaque fois que nous nous retrouvions tous les deux, il fallait que je lui tripote la queue. Si je refusais, il devenait désagréable. Tant qu'il ne me demandait que ça, je ne disais rien. Parfois, moi, je lui laissais mettre mes seins à l'air, ou glisser sa main dans ma culotte. C'était juste pour lui faire plaisir car moi ça ne m'excitait pas vraiment. Il était brusque, maladroit, sans aucune douceur... Évidemment, il cherchait régulièrement à aller plus loin. Et chaque fois je lui disais que je ne me sentais pas prête. Je n'osais pas lui dire que je savais très bien que je ne serai jamais prête avec lui.
À vrai dire, je pensais de plus en plus à mettre fin à notre histoire car je voyais bien qu'une seule chose l'intéressait vraiment. Parfois je le retrouvais, avec dans l'idée de rompre. Mais c'était comme s'il le savait. Et il devenait plus doux, plus tendre. Alors je lui laissais encore une chance.
Ça a duré ainsi jusqu' en Mai."
Ma nièce marque un silence prolongé. Inquiet, je lui demande si ça va.
"Oui mon amour. Moi aussi je peux t'appeler ainsi?"
"Bien sur que tu peux."
"Tu vois, je n'aurai jamais dit ces mots à lui. Bon où j'en suis? Ah oui.
Donc ce jour de Mai, je le retrouve chez lui. Comme à chaque fois, ça commence par des bisous. Mais ce jour là, il se déshabille entièrement. Il me demande de le branler, ce que je fais. Quand il bande bien, il me demande de le sucer. Chose que je ne lui ai jamais faite. J'avoue qu'essayer une fois me tentait bien, mais je savais que dire oui une seule fois signifierait devoir le faire à chaque fois. Et ça, c'était pas ce dont j'avais envie. Il n'a pas attendu ma réponse. Il s'est alors penché pour attraper un paquet sous son lit. Il me l'a tendu en souriant. Il m'a dit «Tiens, c'est pour toi. Je sais que tu me feras pas la pipe que j'attends, alors à la place j'aimerai que tu essayes ça devant moi.»
Dans le paquet, il y avait un ensemble string et soutien-gorge en dentelle blanche. Bon vu la marque, je savais qu'il ne s'était pas ruiné, mais j'étais super touchée de recevoir un cadeau. Même si c'était un geste intéressé de sa part. J'ai donc accepté de faire cet essayage devant lui. C'est lui qui me guida par la voix sur ce que je devais d'abord retirer. Je prenais ça comme un jeu. Tout en me faisant faire un strip-tease, lui se masturbait. Bien sur, est arrivé le moment où je me suis retrouvée nue. Il était rouge. Il se branlait à toute vitesse. Il me demanda de tourner sur moi même. De desserrer les jambes. Là, je me suis dit qu'il en avait rien à faire que je porte son ensemble. Me voir à poil lui convenait très bien. C'était la première fois que j'étais nue devant un mec, et ce n'était pas aussi beau et romantique que je l'avais imaginé. J'ai donc enfilé le string et aggrafé le soutien-gorge. Il m'attire sur le lit. Plaque sa bouche sur la mienne. Et me colle sa bite dans la main. Tout en l'embrassant, je le masturbai. Ses mains moites me tripotaient partout à la fois. Ses gestes, encore une fois, étaient brusques. Là, je me suis mise à douter de toutes ses expériences avec les autres filles qu'il prétendait avoir eu. En fait, je crois qu'il était aussi vierge que moi."
Meggh se tait. Pousse un soupir dont je ne saisis pas si c'est un soupir de déception ou d'autre chose. Puis elle reprend.
"À un moment il me dit qu'il a grave envie de moi. Il veut que je me remette nue, que l'on fasse l'amour. Je refuse. Il me demande de le sucer. J'hésite. Il continue et me demande d'accepter au moins de lui embrasser le bout et ses couilles. J'ai accepté en lui expliquant que je n'irai pas plus loin que des bisous, ce qu'il a accepté lui aussi.
Au moment où je me suis penchée sur sa queue, il a glissé sa main dans mon string. Je n'ai pas eu le temps de poser ma bouche sur son engin que je sens qu'il glisse violemment un doigt en moi. J'ai eu vraiment mal. Et là, il a perdu la tête.
Quand je lui ai dit qu'il m'avait fait mal et que je ne voulais plus continuer, il s'est jeté sur moi, m'a arraché le string. Il était comme fou. Heureusement, je suis plus leste que lui et j'ai pu me libérer de son pétage de plomb. Je me suis habillée à toute vitesse et je suis partie sans attendre une seconde de plus. Le temps que je remette mes vêtements, il n'a pas bougé mais il m'a insulté. J'ai eu droit à toutes les insultes de son répertoire. La dernière chose qu'il m'ai dite, c'est qu'il en avait assez de sortir avec une fille aussi chaude qu'un congélateur.
Voilà, mon homme, tu sais tout... J'ai jamais eu aussi peur."
"Quel con ce mec! Et c'est donc pour ça que tu n'allais pas bien ces derniers temps?"
"Oui entre autre. Surtout, c'est qu'ensuite il n'arrêtait pas de me harceler. D'abord pour s'excuser, ensuite pour m'insulter. À la fin, il a essayé de me faire une réputation au lycée. C'était vraiment l'enfer. Maman voulait que l'on fasse quelque chose contre lui. Mais ça s'est arrêté. Et maintenant je t'ai toi."
"Oui ma puce, je suis là. Plus personne ne te fera de mal."
"Embrasse moi!"
À cette injonction, je ne peux que répondre favorablement. Je serre ma nièce entre mes bras,  et je l'embrasse langoureusement.
Allongés sur le lit, Meggh vient se positionner sur moi. Étendue sur moi, comme ce matin même, elle couvre mon visage, mon cou, mes épaules et mon torse de baisers.
De mon côté je lui caresse le dos du bout des doigts, provoquant un frisson sur sa peau soyeuse.
"J'ai peur de ne pas être à la hauteur..." me confie-t-elle dans un murmure.
"Tu es déjà à la hauteur, bébé. Et ne t'inquiète pas, je te guiderai. Mais ce soir, c'est moi qui vais tout faire. Toi, n'auras qu'à te laisser aller."

Je fais alors basculer Meggh sur le lit. En partant de son visage, j'entreprends la découverte de son corps avec mes lèvres. Après son cou, je fais étape sur sa poitrine. Ses mamelons gonflés deviennent un moment mon centre d'intérêt. Ma langue titille ses tétons. Je les suce avec gourmandise. Je palpe ces globes fermes et appétissants. Je vole de l'un à l'autre. Meggh me caresse les cheveux et la nuque. Entre mes lèvres et sous ma langue ses tétons deviennent durs. Avec gourmandise, je tète ces seins juvéniles. Ma nièce laisse échapper quelques petits gémissements.

Ma seconde main, inactive jusque là, entre à son tour en action. Je lui caresse la hanche. Descend sur sa cuisse, jusqu'à son genou. Puis je remonte pour venir saisir une de ses fesses. Quelque soit l'endroit où je pose ma main et ma bouche, je ne trouve que douceur et chaleur. Doucement, je ramène ma main baladeuse sur le ventre de Meggh. Connaissant son expérience malheureuse avec son ex petit ami, je me fais aussi doux que possible. Je fais glisser ma main en direction de son pubis glabre. Puis vers son entrejambe. Dans un geste réflexe, elle referme les jambes. Mais pas plus d'une seconde. De nouveau elle s'ouvre à mes caresses. Je délaisse ses seins pour replacer mes lèvres sur les siennes.
"Je t'aime ma puce!"

Au même instant où je prononce ces mots, ma main vient se poser sur son sexe. Celui ci ruisselle de cyprine. Mon index trouve son clitoris. Meggh gémit à ce contact. Tout doucement, je fais glisser mon doigt sur son bouton. Puis progressivement, j'imprime un mouvement plus rapide. Le visage de mon ange trahi son plaisir. Je devine rapidement quel rythme lui procure le plus de plaisir. Parfois, je fais descendre un doigt dans sa fente. Les premières fois, seuls quelques millimètres de mon doigt entrent dans son vagin. Puis la première phalange. Enfin, j'introduis mon doigt véritablement. Meggh semble apprécier car ses petits gémissements se poursuivent.
"Tu es si doux."
Ces mots confortent mon sentiment.

Après être retourné sucer sa magnifique poitrine, je viens placer mon visage entre les jambes de ma jeune nièce. Je dépose des baisers sur l'intérieur de ses cuisses, là où la peau est la plus fine. Descendant, à chaque bisou, plus prêt de son intimité.
Le premier contact de ma bouche sur son sexe humide est un véritable bonheur. Je suis tout à mon plaisir. Oubliant que Meggh est ma nièce, qu'elle n'est encore qu'une ado, et qu'elle est toujours vierge... En fait non, tout ça reste présent à mon esprit et mon plaisir s'en trouve multiplié par 10. Par 100. Par 1000. Être l'initiateur de ma nièce me comble de fierté. L'interdit me fait bander encore plus fort.

Ma langue passe sur ses lèvres intimes. Je recueille le liquide parfumé qui s'écoule de sa fente virginale. J'embrasse sa vulve. J'introduis ma langue dans son vagin. Je m'abreuve à la source du plaisir. Le sexe de Meggh est si mouillé qu'il macule mon menton et ma bouche de cyprine. Je me sers de ma langue comme d'un sexe. Je la fais glisser autant que possible en elle. Faisant des va-et-viens en elle.
Les petits "han" de plaisir de ma nièce me ravissent. Son corps se tortille sur la couchette. Sa main gauche fourrage ma chevelure, alors que la droite malaxe allègrement ses seins aux mamelons saillants.

Quittant à regret l'intérieur de son vagin, mes lèvres viennent sur son clito. Dès les premiers mouvements de ma langue sur son bouton, Meggh se met à balancer son bassin d'avant et arrière. Comme si à chaque mouvement, elle cherchait à plaquer d'avantage son entrejambe contre ma bouche.
Et lorsque mes lèvres enserrent son bouton pour l'aspirer et le sucer, tout en le caressant avec la pointe de ma langue, Meggh décolle le bassin du lit, et appuis avec force contre ma bouche.
"Ooooh ouiii! Ohh ouuiiiiii!" râle-t-elle. "Je vais jouir!"
J'en profite pour faire entrer deux doigts dans son vagin et la pistoner.
Cette fois, les deux mains de Meggh appuient sur ma tête. Son corps se crispe d'un coup. Elle saisit l'oreiller qui se trouve à côté d'elle et s'en sert pour étouffer le long râle de plaisir que lui provoque son orgasme. En aucun cas, je ne stoppe ma sucion sur son clitoris. Je veux tellement que son plaisir se poursuive... Moins d'une minute après ma nièce jouis à nouveau.
Je décolle enfin ma bouche, un peu engourdie par l'activité, de sa chatte.
"Tu manques d'entraînement mon vieux Paulo!" me dis-je intérieurement.

Si le bas de mon visage est couvert de mouille, il en est de même pour les fesses, et le sillon de Meggh. Je me fais un devoir, pour le moins agréable, de récolter ce nectar. Et quand ma langue vient frôler son anus, ma jeune amante pousse un petit ah de surprise.
Mais comme je le souhaitais, son sexe ne cesse de libérer son jus d'amour. Signe de son excitation continue. Je remonte vers son visage. Ma bouche se colle une nouvelle fois sur la sienne. Meggh semble adorer mes baisers au goût de son minou. Elle me prend dans ses bras et m'étreint fortement.

Lorsque nos lèvres et nos langues se séparent, elle approche de mon oreille:
"C'est tellement bon..." me murmure mon ange.
"Bébé, ce n'est que le début de notre histoire. De notre nuit..."

Je me défais un instant de sa douce emprise pour saisir les préservatifs qui se trouvent dans la table de nuit. Mais quand Meggh voit ce que j'ai en main, elle m'apprend:
"Tu n'es pas obligé, je prend la pilule..."
"Tu es sûre que tu veux sans?"
Sans rien ajouter, Meggh m'étreint à nouveau et m'embrasse. Cette réponse me convient parfaitement.

L'instant unique se fait proche. Je lui adresse des mots tendres. La couvre de doux bisous. Puis après l'avoir guidé de ma main pour qu'elle écarte les jambes suffisamment, je me place entre ses cuisses.
Sans quitter son regard, je lui caresse la joue, descend sur sa poitrine. Je sens son coeur battre fort. Peut-être aussi fort que le mien. Pour la première fois de ma vie, et sans doute la dernière, je vais prendre la virginité d'une jeune fille. Et quelle jeune fille! Ma nièce! Une adolescente belle à damner tous les saints.

D'une main, je dirige ma queue dressée depuis nos premières étreintes. Avec mon gland, j'effleure son clitoris à plusieurs reprises. Meggh gémit et mordille sa lèvre inférieure. Sa vulve humide est prête à m'offrir le plus beau des cadeaux. J'introduis lentement mon gland. Il disparait entre les chairs roses, luisantes et chaudes de cette chatte vierge. Ma queue glisse lentement. L'hymen de Meggh n'oppose que peu de résistance. Bien moins que je ne me l'étais imaginé. Le visage de Meggh ne laisse apparaître aucun signe de douleur. Soulagé, je peux me libérer et laisser cour à notre plaisir.
À petits coups de reins, je fais aller et venir ma bite. Puis petit à petit, mes mouvements prennent de l'ampleur et de la force. Les parois serrées du vagin de ma nièce épousent parfaitement mon sexe. Hummm quel plaisir. Pour cette première fois, je ne cherche guère à prendre des positions originales. Je laisse Meggh sur le dos pour profiter du magnifique spectacle de son visage si expressif dans le plaisir. Ses yeux me fixent avec intensité. Sa bouche entre-ouverte laisse passer, entre deux gémissements, un souffle court. Pour profiter de ses seins qui bougent à chacun de mes coups de reins tout en conservant leur maintien.
Je passe un bras sous l'un de ses genoux pour lui relever une jambe. Que cette fille est belle! Lorsque j'accélère, le bruit de mes couilles qui claquent sur Meggh se fait bien entendre. Parfois je quitte du regard ma jeune nièce pour regarder mon sexe tendu coulisser dans son vagin étroit. Il brille de cyprine. Je prend plaisir à le faire sortir et le refaire entrer quand après une sortie accidentelle, j'ai réintroduis ma queue en provoquant un nouveau râle de Meggh. Avec un pouce, je caline son clitoris. Associé à mes coups de reins, Meggh semble au comble de l'extase. Son corps se cabre. Ses muscles se tendent. Son vagin se contracte autour de ma queue.
"Han!Han! Oh oui... Je... vais... jouirrr!"
J'accélère mon jeu de hanches afin de jouir au plus vite. Mon sperme jaillit alors dans l'intimité la plus douce de ma nièce. Plusieurs jets qui me transportent dans une jouissance comme j'en avais rarement connu. Meggh, dont les jambes s'étaient relevées pour m'entourer, me libère.

Je m'allonge à ses cotés. Nos souffles sont courts. Immédiatement, celle qui est à présent ma «maitresse» vient se blottir dans mes bras comme elle en a pris l'habitude. Elle embrasse mon torse. Revient sur mes lèvres. Retourne sur mon torse. Du bout de deux doigts, elle touche ma bite ramollie, mais toujours humide de nos deux liqueurs. Puis, pour la première fois depuis notre départ, elle la prend complètement dans sa main. La tenant comme si c'étais un petit oiseau blessé.
"Ton sexe est aussi épuisé que moi!" s'écrie-t-elle.
"Il a juste besoin d'un peu de repos. Mais si tu le gardes dans la main, il ne va pas tarder à se réveiller."
Le petit rire cristalin de Meggh me comble de joie.
"Jamais je n'aurais cru que cela soit aussi bon." me confie ma nièce. "J'ai toujours su qu'avec toi ça serrait beau. Mais que ce soit... aussi fort... Je peux te le dire à présent: j'ai toujours voulu que tu sois le premier. Je savais qu'il y avait peu de chance que ça arrive. Mais je t'aime tellement et depuis si longtemps..."
"Depuis si longtemps?"
"Oh oui. Je te l'ai déjà dit, tu es le père que je n'ai pas eu, l'ami que j'attends et à présent tu es l'homme avec qui je veux être. Pour toujours..."
Ces mots d'amour me touchent. Sa candeur m'émeut. Ignore-t-elle vraiment qu'en dehors de ce bateau, la Terre entière cherchera à nous juger?
"Faire l'amour te rend très amoureuse ma puce."
"Il y a longtemps que je le suis." précise-t-elle.
Son corps de rêve se blottit d'avantages contre moi. Après un moment de silence Meggh baille.
"Tu es fatiguée ma puce?"
"Jouir 3 fois aussi fort et en aussi peu de temps ça m'a tué. C'était vraiment trop bon."
Sa voix se fait de plus en plus faible. Meggh se faisant absorber par le sommeil. Elle ajoute cependant:
"Même avec les jumelles, quand on se caresse, on ne jouis pas aussi fort..."
"Tu veux dire que les filles avec qui tu as couché sont Alix et Julie?"
Mais je n'obtiens aucune réponse. Meggh s'est endormie.

 

 

 

À suivre , peut être

Par intales - Publié dans : Croisière - Communauté : histoires coquines sans tabous
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Mercredi 22 mai 3 22 /05 /Mai 15:21
Jour 4

Hier a été une journée sans vraiment de faits importants. Lorsque je me suis réveillé, Meggh était déjà dans la salle de bain. Je n'ai donc pas pu profiter de sa beauté. Toutefois je n'en ai ressenti aucun regret car je savais que le soir venu, j'aurai l'immense plaisir de serrer le corps nu de ma nièce entre mes bras.
Nous avons quitté Anglet dans la matinée pour prendre la direction de La Corogne, notre prochaine escale. Tout au long de la journée, mon regard croisa celui de ma nièce. Bien plus que d'ordinaire.
Alix et Julie, par leurs incessantes pitreries, m'ont permis de ne pas me focaliser uniquement sur Meggh. Après tout, je n'avais prévu cette longue croisière que pour passer du temps avec mes filles. Alors je me devais de leur consacrer du temps la journée, et réserver mes troublantes pensées pour Meggh pour la nuit.
Le soir venu, j'ai décidé de passer la nuit au mouillage quelque part entre Santander et Gijon. Puis après avoir dîné et discuté longuement tous les quatre, nous avons rejoint nos cabines. Le cœur battant, j'ai pris ma douche et laissé la place à ma nièce. Nous nous sommes ensuite allongés nus sur le lit, Meggh venant se blottir directement dans mes bras. Nous avons peu parlé. Je caressais simplement le dos, les reins et la naissance des fesses de ma jeune nièce. Elle, comme la veille, a laissé sa main sur mon ventre. Et comme la veille, elle a effleuré du bout des doigts mon sexe gonflé de désir pour elle, avant de me regarder partir pour les toilettes quand mon besoin de jouir a été trop fort.
Elle s'est ensuite endormie dans mes bras...


En ouvrant les yeux ce matin, j'ai la surprise de voir Meggh assise en tailleur, le haut du corps penché en avant, en train de me sourire.
"Bonjour Paul. Tu as bien dormi?"
"Bonjour ma puce. Oui j'ai bien dormi. Avec toi dans mes bras, la nuit ne peut être que douce et agréable."
Elle me remercie de ces paroles en accentuant son sourire.
"Mais qu'est ce que tu fais là, assise, à me regarder comme ça?"
"J'aime bien te regarder. C'est tout."
"Oh bah si c'est pour regarder les ravages du temps..."
Meggh vient alors prendre place dans mes bras. Je retrouve avec plaisir le contact de sa peau nue et chaude contre moi. Elle dépose un baiser sur ma joue et sur mon torse.
"Les ravages du temps... Vraiment tu dis n'importe quoi. Moi je te trouve extrêmement... séduisant."
"Oh comme c'est gentil ça. Ma nièce adorée sait me parler!"
À nouveau Meggh m'embrasse sur le torse. Je l’étreins un peu plus fort. Elle pivote sur moi et se retrouve allongée sur moi, entravant mes jambes entre les siennes.
"Serre-moi fort" me murmure-t-elle.
Meggh place son visage au creux de mon épaule. Mes bras se replient sur son dos. Ma main gauche caresse sa nuque. Descend le long de sa colonne vertébrale.
Elle m'embrasse dans le cou. Plusieurs petits baisers tendres.
"Tes mains sont si douces..." dit-elle dans un léger souffle.
"Tes lèvres le sont encore plus, ma puce."
Ma troublante nièce m'embrasse le cou à nouveau. Puis l'épaule, la joue. Inutile de vous préciser que mon sexe s'est dressé. Installée comme elle l’est- les jambes écartées au niveau de mon pubis - Meggh ne peut ignorer ma queue levée qui frotte contre sa fente et ses fesses. Je n'ai qu'une envie: entrer en elle. Si je ne doute pas une seconde qu'elle est pleinement consciente de ce que nous sommes en train de vivre, rien ne me dit qu'elle est envie que nous allions plus loin. Je veux lui laisser décider du moment.
Toutefois je me risque à pousser légèrement la limite de ce que nous avons déjà partagé ces derniers jours. Si durant les premiers jours je me suis toujours arrêté au commencement de ses fesses, cette fois ci, je ne m'arrête pas. Je pose même mes deux mains sur son magnifique postérieur. Écartant les doigts pour saisir pleinement ces deux globes de chair ferme recouverts par une peau extrêmement douce.
À mon geste, Meggh relève son visage, radieuse. Doucement je lui caresse les fesses. Je prends un plaisir immense à gentiment les pétrir. Depuis le temps qu'elles étaient offertes à ma convoitise...
"Oh oui tes mains sont vraiment les plus douces de la Terre!"
"Tu crois pas que nous sommes en train de faire une bêtise? Tu es ma nièce. Tu es si jeune."
"Je m'en fous. Je n'ai jamais été aussi bien de toute ma vie que depuis que... tu t'occupes de moi. Dans tes bras, je suis heureuse."
Son visage se trouve à quelques centimètres du mien. Nos regards se fixent sans plus se lâcher. Les yeux de Meggh sont légèrement rouges. Sa lèvre inférieure tremble un peu. Bon sang que cette fille me trouble! Que m'arrive-t-il? Je suis en train de tomber amoureux d'elle.
Comme si j'étais dans un film, je vois le visage de Meggh s'approcher du mien au ralenti. Je devrai tout arrêter maintenant. Stopper net ce qui semble se dessiner entre cette lolita et moi. Mais je n'en ai pas la force. Pas l'envie. Et tant pis si je suis damné pour cette folie.
Les lèvres de Meggh se posent alors sur les miennes. Très vite de simples baisers, nous passons aux baisers fougueux et passionnés. Comme si nous voulions, par ces embrassades, nous libérer de toute la tension sexuelle qui s'est accumulée depuis 4 jours. Sa langue a pris possession de ma bouche. Elle vient chercher la mienne. Parfois Meggh délaisse mes lèvres pour m'embrasser partout sur le visage, avant de revenir sur ma bouche avec encore plus d'envie.
Je me laisse faire. Quoi de plus beau que d'être le tendre défouloir d'un ange.
Quand ma nièce semble rassasiée, elle se redresse pour se retrouver assise sur moi. Au niveau de mon pubis. Ma queue gonflée à l'extrême se retrouve bloquer dans une position qui me fait atrocement mal. Je fais donc légèrement lever le bassin de Meggh et mon sexe se retrouve tendu en direction de mon ventre. Meggh se rassoit ensuite sur moi. Sans vraiment le vouloir, ma queue se retrouve plaquée entre mon ventre et sa fente.
À ce moment précis, je découvre que la chatte de ma petite Meggh est totalement mouillée. Bien que je n'avais aucun doute là dessus, j'ai la certitude qu'elle me désire autant que moi. Elle me désire tellement que je la vois commencer à faire bouger son bassin d'avant en arrière. D'abord par des petits mouvements à peine perceptible, puis progressivement par des mouvements plus amples. Son clito glisse sur ma queue. Sa cyprine humidifie mon sexe et mon bas-ventre. Meggh laisse échapper quelques gémissements. Ses yeux ne quittent rarement les miens que pour se poser sur mon sexe. Cette manière de caresser son bouton de plaisir sur ma queue paraît lui donner beaucoup de plaisir. Et à moi aussi par la même occasion. À 41 ans je découvre ce petit jeu. Meggh accélère encore ses mouvements. Elle bascule le haut du corps vers l'avant pour prendre appuis, les bras tendus, contre la tête du lit. Ses seins se trouvent à portée de ma bouche. Je prends le droit d'une main, alors que mes lèvres viennent envelopper le mamelon de gauche.
"Hummm" gémit ma tendre amante.
Je la tête, lui suce les tétons avec délectation. Meggh ne cesse de faire glisser son clito sur ma gaule.
Le souffle court, ma nièce me murmure:
"Ooooh je vais jouir. Je vais..."
"Papa! Désolée de te réveil... Oh pardon!"
Alix vient d'entrer dans la chambre. Le spectacle que sa cousine et moi lui offrons la coupe dans son élan. Tout comme son entrée nous fige sur place.
Meggh réagit la plus promptement en s'éclipsant rapidement dans la salle de bain me laissant seul avec ma fille, nu et le sexe dressé. Je me précipite sur mon boxer.
"Euh je crois que je vais t'attendre dans le couloir." me dit-elle en refermant la porte derrière elle.
Tout est allé si vite, que j'ai du mal à réaliser. Mais au bout de quelques secondes je prends conscience des tonnes d'emmerdement qui risquent de me tomber dessus si Alix vient à tout répéter.
Sans attendre davantage, mais les jambes tremblantes, je retrouve ma fille dans le couloir. Appuyée contre une cloison, elle pleure... de rire!
"Alix! Il n'y a rien de drôle!"
"Si tu avais vu vos têtes et le bon que vous avez fait, tu ne dirais pas pareil, je te jure."
"Alix!.."
"Bref. Julie a super mal au ventre, elle va surement avoir ses règles. Donc je venais te demander où est la trousse à pharmacie que maman t'a préparé car il y a ce qu'il faut dedans."
"Je vais la chercher, elle est dans ma salle de bain. J'arrive."
Alix retourne dans sa chambre tandis que moi je vais dans la salle de bain. Meggh y est assise sur les toilettes, en larmes.
Je ne sais quoi dire. Et lorsque d'une voix faible, elle me dit qu'elle est désolée, je lui réponds sèchement que ce n'est pas le moment. Je me reprends aussitôt et lui demande pardon. Mais les larmes inondent son visage. Je la laisse là, mal à l'aise, pour rejoindre la cabine des jumelles.

Je suis sur le point d'entrer, lorsque j'entends, par la porte légèrement entre-ouverte, la voix d'Alix:
"Si si! Je te jure! Ils étaient à poil tous les deux sur le lit... Papa allongé sur le dos et Meggh assise à califourchon sur lui. Elle bougeait sur lui, et lui, il avait un de ses seins dans la bouche."
"Ils étaient en train de... ?"
"En quelque sorte, mais pas vraiment. Quand Meggh c'est relevée à toute vitesse, j'ai vu qu'en fait la bite de Papa n'était pas dans Meggh, mais que elle, elle était assise dessus."
"Et t'as vu sa bite?"
"Ça pour la voir, je l'ai vu. Bien grosse et elle avait l'air toute mouillée... Elle devait être super excitée la cousine!"
En entrant dans la cabine, je stoppe leur bavardage. Mais leurs regards taquins parlent pour elles. Sans rien laisser paraître, je m'occupe de la santé de Julie.



Jusqu'à La Corogne je reste quasiment seul. Julie reste allongée dans sa cabine. Alix lui tient compagnie une partie de la matinée. Meggh ne se montre pas non plus. Je me sens coupable et mal à l'aise. Je sais que j'ai été injuste de lui parler sèchement. Je me dis aussi que je n'aurais jamais du laisser la situation dériver de la sorte. Et pourtant... Sa beauté. La douceur de sa peau. La chaleur de ses baisers reste fermement ancrée en moi. L'envie de la serrer dans mes bras est plus forte que jamais.
À midi les filles décident de déjeuner, toutes les trois, entre elles dans une cabine, me laissant seul avec mes doutes.

Il est presque 16h lorsque nous entrons dans le port de plaisance. Les filles refont surface. Pour ne rien laisser voir de mes états d'âmes, je leur demande préparer leurs affaires à laver que Meggh et Julie porteront à nettoyer. Pendant ce temps, j'irai avec Alix à la capitainerie.

Seule avec moi, ma fille fait le premier pas.
"Tu sais Papa, pour ce que j'ai vu ce matin..."
"Je... je... je suis désolé." dis-je en bafouillant.
"Écoute, d'après ce que j'ai vu, Meggh m'avait l'air totalement consentante. C'est la seule chose qui compte pour Julie et moi. Alors si vous vous éclatez tous les deux, y a aucun souci. Vous êtes assez grands pour savoir ce que vous faites. Ça ne sortira pas du bateau."
"Mais c'est votre cousine. Elle a votre âge!"
"Oui. Pour certains ça peut être choquant, mais que veux tu, tu nous as appris la tolérance, donc si vous êtes heureux dans votre relation, c'est bon pour nous."
"Je sais pas quoi dire... Je me sens si mal. Coupable d'un côté et de l'autre Meggh est si..."
"Te prend pas la tête Papa. Tu as le droit de t’éclater. Et Meggh n'attend que ça depuis si longtemps."
"Comment ça?"
"T'es tellement aveugle que tu n'as jamais vu à quel point elle est en admiration devant toi?"
"Et avec Julie, ça ne vous dérange pas? C'est pourtant un..."
"Un inceste? C'est ce que tu n'arrives pas à dire? Non ça ne nous dérange pas. Encore une fois, du moment que Meggh est consentante et qu'elle est consciente de ce qu'elle fait, pourquoi on la jugerait? Non, je te le redis, nous ça ne nous gêne pas. C'est même plutôt excitant."
"Excitant?"
"Oui... Enfin peu importe. Parle à Meggh tout à l'heure, car elle se sent vraiment mal depuis ce matin."
"Oui, je le ferai. C'est promis. J'ai vraiment des filles extraordinaires..."
"Oui! J'avoue que nous sommes parfaites. J'espère que tu l'oublieras pas si un jour on te demande quelque chose d'important." conclut Alix, tout sourire, avant que nous entrions dans la capitainerie.

Meggh et Julie nous rejoignent peu de temps après notre retour à bord. Je profite que Meggh se rende dans notre cabine pour ranger les vêtements, pour la retrouver, seul à seul.
"Tout c'est bien passé à la laverie?"
"Oui oui. Aucun problème."
Je me rapproche alors d'elle et je la prends par la taille.
"Ma puce, je suis vraiment désolé de t'avoir mal répondu ce matin. Même si j'étais stressé par ce qu'avait vu Alix, je n'aurais pas du être brusque avec toi."
"C'est pas grave." se contente de répondre ma nièce.
"S'il te plait, regarde moi dans les yeux et fait moi un sourire. Tu es si attirante quand tu souris."
Et elle me sourit. D'un sourire lumineux. Je ne peux m'empêcher de poser mes lèvres sur les siennes. Instantanément ce baiser devient fougueux. Nous basculons sur le lit. Nos lèvres soudées, nos langues mêlées, nos corps aimantés.
Entre deux baisers, j'avoue à ma Meggh que j'ai envie d'elle.
"Oh moi aussi. Je veux que tu sois le premier avec qui je le ferai."
"Tu ne l'as jamais fait?" dis-je un peu surpris.
"Je suis toujours vierge oui!"
Je l'embrasse un peu plus tendrement.
"Alors nous ferons ça comme il faut ce soir. Je ne veux pas que le cadeau que tu m'offres se fasse à la hâte. Tu mérites mieux que ça."



A suivre

Où Meggh offre sa virginité à son oncle



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