Vendredi 20 décembre 5 20 /12 /Déc 14:13

Jour 6

Lorsque je commence les manoeuvres pour quitter le ponton où nous sommes amarrés, il est près de 10h. Et aucune de mes trois passagères n'a encore émergé. Sans doute que la petite fête arrosée d'hier soir demande plus de temps de récupération. Surtout pour des jeunes filles peu habituées à l'alcool. Mais revenons quelques instants à cette soirée.

Après avoir pris la décision d'accepter la proposition de mes filles, je suis resté sur le pont une petite dizaine de minutes. Je voulais faire le vide avant de rejoindre Meggh.
Je suis descendu ensuite vers les cabines. Alors que j'étais sur le point d'entrer dans celle que je partage avec ma jeune maitresse, j'ai entendu des gémissements provenir de la cabine des jumelles. Il n'y avait aucun doute à avoir sur leur origine. Hésitant un long moment, j'ai fini par ouvrir très légèrement la porte. Les lumières étaient éteintes. La pénombre ne me permettait que d'apercevoir deux silhouettes enlacées. Impossible d'en voir plus. Mais c'était quand même extrêmement excitant. Mon érection en était la preuve. J'imaginais plus que je ne voyais le visage de Julie enfouis entre les jambes de sa soeur, totalement nue. J'ai vraiment eu envie d'entrer pour les rejoindre. Mais encore une fois, je me suis dit que si je devais accéder à leur envie, cela devrait se faire en pleine possession de nos moyens et non pas grisés, comme nous l'étions, par le champagne.
J'ai donc refermé la porte et je suis entré dans ma cabine. J'y ai trouvé une charmante jeune fille à la peau mate, en tenue d'Eve, totalement endormie. L'alcool ayant eu raison d'elle.
Tout comme nos premières nuits, je pris plaisir à regarder Meggh dormir. Toujours excité par ce qui se passait dans la cabine d'à côté, j'admirais ses formes, son sexe. Je repensais à nos premiers gestes sensuels.
Je me suis dévêtu et je me suis allongé à ses cotés. Meggh ouvrit les yeux un instant et se plaça dans mes bras avant de sombrer définitivement dans un sommeil agité. Mon excitation finit par s'estomper, me laissant m'endormir à mon tour.

C'est donc seul sur le pont que je quitte le port de La Corogne. Et même si le ciel est particulièrement chargé et la mer un peu agitée ce matin, la météo indique une tempête de ciel bleu plus au sud. J'ai donc l'intention de rejoindre les côtes portugaises d'ici deux ou trois jours, sans faire escale.
Les parois des cabines étant parfaitement insonorisées, le moteur ne réveille pas les filles. Et je dois admettre que j'apprécie ce moment de solitude à la barre de mon bateau. Je ne pense plus à rien, si ce n'est à la mer. Pour quelques instants, les démons de la tentation et de la luxure cèdent le pas à Neptune et aux éléments.

Lorsque Julie paraît, une bonne heure plus tard, elle vient me déposer le traditionnel baiser sur la joue du matin.
"Qu'est ce qui te fait sourire ainsi?" me demande-t-elle.
"La mer. J'adore quand elle est légèrement agitée comme aujourd'hui."
"Toi peut-être, mais Alix, avec sa gueule de bois, a l'air de moins apprécier que toi. Et Meggh n'a pas l'air de péter la forme non plus. Je suis passée lui faire un bisou et je l'ai trouvée bien pâle."
"Ah ces filles, ça ne tient pas l'alcool et pourtant elles éclusent plus vite qu'un vieux loup de mer."
"Eh! Moi je vais bien! Ne généralise pas mon petit Papa."
"Je te nomme donc second de notre vaisseau. Tiens la barre quelques instants. Je vais apporter de l'aspirine à nos deux malades."

Julie m'ayant appris que sa soeur avait rejoint Meggh dans notre cabine, je m'y rend avec le nécessaire pour les soulager. Mes deux jeunes malades sont allongées sur le lit. Simplement vêtues de leur bas de maillot de bain. En d'autres circonstances j'aurai savouré la vue de ces deux poitrines appétissantes, mais là, je focalise mon attention sur leur visages blêmes.
Je leur tend les deux verres, et tente de les réconforter.
"Restez couchées pour le moment. D'ici une heure ou deux, la mer sera calme et vous vous sentirez mieux. Et ce soir, au mouillage, vous serez les premières à piquer une tête."
N'obtenant que des sourires peu convaincants, je les embrasse chacune à la commissure des lèvres et je les laisse récupérer.

De retour au poste de pilotage, je laisse Julie à la barre, pour m'installer sur une banquette à proximité.
Dès l'âge de 12/13 ans, j'ai initié mes filles aux plaisirs de la navigation. Julie, toujours plus curieuse que sa jumelle d'apprendre de nouvelles choses, s'était montrée la plus réceptive. Si bien qu'au printemps dernier elle a passé son permis bateau hauturier (pour la navigation à moins de 11 km des côtes). C'est donc sans crainte que je lui confie le gouvernail. J'en profite pour l'observer.

Après une semaine au soleil ses cheveux se sont éclaircis. Sa peau est devenue dorée. De temps à autre, elle m'adresse un large sourire.
Je sais qu'elle est heureuse de naviguer. Cela se lit dans ses grands yeux verts. N'est-elle pas ma fille après tout? Je lui ai, au moins, transmis cela. Comme mon père l'avait fait avec moi, et comme son père avec lui auparavant . La tradition ne s'éteindra pas avec moi.
Mais à cet instant, ce n'est plus le père qui regarde sa fille. C'est l'homme qui admire une ravissante jeune fille. Presque une jeune femme. Des jambes élancées, une paire de fesses peu volumineuse mais musclée, parfaitement mise en valeur par un shorty blanc qui fait ressortir son bronzage. Par instants, son débardeur largement échancré dévoile ses petits seins. Avec ses cheveux courts et faussement en pagaille, elle a un petit air garçon manqué.
"Pourquoi tu me regardes ainsi?" me questionne-t-elle.
"Je trouve que toi, comme ta soeur, vous êtes devenues de très jolies jeunes femmes."
"Oh... C'est vraiment très gentil." répond Julie en rougissant, "De ta part, c'est touchant."
Je me lève de la banquette et je me place derrière elle, pour la serrer dans mes bras. Son parfum, à la fois fruité et épicé, emplit mes narines. Je dépose un baiser dans son cou. Elle frissonne.
"Encore un, s'il te plait..." me dit-elle dans un murmure.
Je lui accorde ce baiser. Puis un troisième. Un quatrième. Ma fille bascule légèrement la tête en arrière, les yeux mi-clos. Elle se saisit d'une de mes mains, et la place sur sa poitrine. Par dessus le tissus, je ressens ses tétons qui durcissent et se dressent après quelques caresses. De toute évidence, Julie a une petite poitrine très sensible aux caresses. Je glisse ma main sous son débardeur pour avoir un contact direct avec elle. Ma fille, emportée par son excitation grandissante, cambre ses fesses pour que celles-ci viennent appuyer contre mon bas ventre. Inutile de vous préciser l'effet que cela a pour moi.
Avec mes deux mains, je palpe ces deux globes délicats. Non sans une certaine précipitation, Julie retire son haut. Elle peut ainsi regarder ses tétons rouler sous mes doigts, ou apprécier l'emprise de mes mains pendant que je lui malaxe doucement la poitrine.
Elle tourne son visage vers le mien. La bouche ouverte. Souriante. J'ai l'impression qu'elle a envie de me dire quelque chose mais que les mots ne parviennent plus à sortir. Comme lorsque une belle surprise vous coupe le souffle et la parole.
J'embrasse à nouveau son cou et ses épaules. Elle se retourne pour me faire face. Je fais descendre mes lèvres sur le haut de sa poitrine. Ma bouche n'est plus qu'à quelques centimètres de son téton droit saillant. Son aréole rose s'est bombée. Julie passe une main dans mes cheveux. Je sens qu'elle effectue une légère pression pour que ma tête descende plus bas et que ma bouche atteigne cette extrémité sensible. Je cède avec plaisir.
Mes premiers baisers, mes caresses du bout de la langue lui soutirent des petits gémissements de plaisir. Je me régale en passant d'un sein à l'autre.
Après deux ou trois minutes, je sens les doigts de Julie s'activer sur le bouton et la fermeture éclair de mon bermuda.
"Que veux tu faire?" dis-je, tout en sachant très bien ses intentions.
"Je veux la revoir et la toucher..."
Le ton quasi fiévreux de sa voix m'apprend beaucoup de son état d'excitation. D'un geste rapide j'enclenche la navigation automatique du bateau et j'attire ma fille sur les banquettes. Elle s'assoit et je me met face à elle.
Ses mains tremblent un peu quand elle fait descendre mon bermuda, dans un premier temps, puis mon boxer. Sans attendre une seconde, le rouge aux joues, elle entoure mon sexe dressé de ses doigts fins. Avec une certaine brusquerie, elle entreprend à les faire aller et venir.
"Plus doucement ma chérie..."
La main de Julie ralentit mais les douces sensations augmentent. Et tandis qu'elle me masturbe, je joue avec ses mamelons. J'ose même faire glisser main sur son ventre pour me diriger vers l'intérieur de son shorty de bain. Hélas elle me fait comprendre que ce n'est toujours pas possible. Je me contente donc, mais avec joie, de sa poitrine.
Je me surprend à espérer qu'elle ouvre la bouche et qu'elle y glisse mon sexe. Mais je garde pour moi cette envie de peur de la brusquer. J'ignore jusqu'où elle est capable d'aller et je ne tiens pas à tout gâcher avec une malencontreuse initiative.
Tandis que la main droite de ma Julie poursuit ses cajoleries, la gauche, elle papillonne sur mes fesses, mon ventre, mes hanches puis mes testicules.
Quand je me sens sur le point d'éjaculer, j'en informe ma fille pour ne pas qu'un jet de ma semence ne l'atteigne si elle n'en a pas envie. Mais cela ne semble nullement la déranger car elle continue sans rien changer. Et c'est avec un «oh» de demi-surprise qu'elle accueille le premier jet de sperme, qui vient terminer sa course sur sa poitrine.
Affichant un sourire radieux, Julie continue de me masturber jusqu'à ce que mon fluide cesse de s'écouler et que mon sexe décline. Elle retire alors sa main et vient, sur ses seins, récolter du bout des doigts, le fruit de ses caresses. Cela semble l'amuser. Puis, un peu hésitante, elle en teste la saveur avec le bout de sa langue. Enfin elle se lève, la main toujours couverte de sperme, et après un rapide bisou sur les lèvres, elle se dirige vers les cabines, en me laissant seul.
C'est en remontant mon boxer et mon bermuda que je prend conscience réellement que je viens de partager un moment dès plus intimes avec ma fille. Et le plaisir immoral que j'éprouve, me fait douter un peu de moi. Mais très vite je me dis que nous étions deux à vouloir partager cet instant et mes scrupules s'estompent petit à petit. De plus, si mes filles ne s'étaient pas aussi clairement montrées intéressées hier soir, jamais je n'aurai agit ainsi.

Lorsque Julie revient une demi-heure plus tard, toujours aussi rayonnante, elle ne porte plus qu'un mini-short, sans rien d'autre pour couvrir le haut.
Elle m'informe que sa soeur et sa cousine ne nous rejoindrons pas pour déjeuner et que donc nous mangerons en tête à tête.

Durant le déjeuner et une grande partie de l'après midi nous discutons tous les deux, comme un père et sa fille, sans jamais faire allusion à ce que nous avons partagé. Je lui laisse la barre de temps à autres. Puis vers 17h, après avoir repéré une zone de mouillage autorisée, je décide de faire escale pour la nuit.
Comme l'avait prévu la météo au départ de La Corogne, le ciel s'est entièrement découvert, et l'Atlantique est simplement effleuré par une légère brise marine. Meggh et Alix nous rejoignent enfin, apparament en meilleure forme. Et tandis que les jumelles se mettent à papoter entre elles, Meggh vient se blottir contre moi.
"Alors comme ça, en plus d'être un oncle très coquin avec sa jeune nièce sans défense, tu deviens un papa plus qu'affectueux avec ses filles?" se moque-t-elle.
"Si tu veux, je ne ferai plus rien avec les jumelles."
"Hmm non, c'est pas que je veux. Tu as toutes les vacances pour t'amuser avec elles. Je veux juste que tu gardes des forces pour moi tous les soirs."
"Oh vous n'avez guère plus de morale que moi jeune demoiselle sans défense..."
"Vous m'avez perverti Monsieur. Et c'est tellement bon d'être immorale dans vos bras."

À suivre


Ami(e)s lecteurs et lectrices
Puisque je reçois pas mal de messages très sympathiques, j'aimerai que vous en profitiez pour me parler des personnages de Croisière. Quel est votre avis sur chacun d'entre eux? Essayez de ne pas limiter vos réponses avec un simple mot.... Merci et à très bientôt.

Par intales - Publié dans : Croisière - Communauté : histoires coquines sans tabous
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Jeudi 5 septembre 4 05 /09 /Sep 13:22
Allongé sur mon lit depuis un long moment, je ne fais que penser à ce que nous venons de partager. Il suffit que je ferme les yeux, pour que la vision de la mignonne petite chatte rose de Candice me revienne à l'esprit. Tout comme le capuchon de son clitoris, ses seins appétissants... Je ne cesse de me tourner dans un sens ou dans l'autre. Mon sexe alternant repos et érections...
Tout en frappant deux coups brefs à la porte, ma soeur jumelle entre dans ma chambre. Elle me ramène ma lotion. Si, pour ma part, j'ai substitué la serviette de bain pour un boxer, Candice est toujours en peignoir. Elle se rapproche de mon lit, et me demande si elle peut s'y installer, à mes côtés. Comme je l'ai déjà fait un million de fois, je me décale pour lui laisser de la place.
Dès qu'elle est allongée à côté de moi, elle me saisit la main. Je connais bien cette manie: quand elle est inquiète ou tendue, ma jumelle attrape ma main et se met à jouer avec, comme si c'était son anti-stress.
"Alex..."
"Oui?"
"C'était maladroit de ma part, non?"
"Tu veux parler de quoi au juste?"
"Tout à l'heure, quand j'ai touché ta bite avec mon pied!"
Je rigole et attire Candice vers moi pour l'embrasser sur le front.
"Mais non, ne t'inquiète pas, il n'y a pas de mal à ça."
"Ça m'a soulagé de voir qu'il n'y avait pas que moi qui étais excitée."
"C'est vrai que je l'étais énormément."
"Tu sais, t'es le premier garçon à qui je me suis montrée."
"J'en suis flatté. Même si c'était pour une raison presque médicale."
"Et tu bandes encore depuis tout à l'heure?"
"Euh oui. Par moment ça se calme, mais ça finit toujours par revenir."
Candice marque un long moment de silence, tout en continuant de triturer mes doigts. Bien que ma soeur ait l'habitude de venir dans mes bras, pour discuter et trouver du réconfort, et parfois parler de sexe, je perçois qu'aujourd'hui tout est devenu différent.
"Tu sais, Pauline m'a souvent raconté qu'elle aimait te faire bander..."
"Ah... Elle te racontait ce genre de chose?"
"Oui. En réalité, elle me racontait quasiment tout. Tu ne m'en veux pas, hein?"
"Mais bien sur que non. Même si c'est un peu bizarre, je ne t'en veux pas. J'avoue que je trouve ça excitant de savoir que ma soeur et mon ex parlaient de ma bite entre elles."
"Moi j'adorai ça... Une fois, elle m'a raconté qu'elle s'était débrouillée pour que tu bandes pendant tout un film au cinéma. Tu t'en rappelles?"
Bien évidemment que je me souviens de ce jour. Dès que les lumières de la salle se sont éteintes, Pauline avait déboutonné mon pantalon et s'était mise à me masturber, tout en prenant soin de ne pas me faire éjaculer. Elle me caressait, puis quand elle jugeait que j'étais bien dur, elle arrêtait, tout en gardant ma queue dans la main.Et lorsque mon érection faiblissait, elle recommençait ses mouvements de poignet. Je peux vous dire qu'à la fin du film, je n'avais qu'une envie: m'isoler avec elle et la prendre sans plus attendre!
"Oh oui je me souviens... Et surtout je me rappelle qu'à peine sortis du ciné, elle a reçu un appel de sa mère qui avait besoin qu'elle rentre immédiatement. Et donc, elle m'a laissé en plan, excité comme un fou!"
Candice éclate de rire.
"Oh pauvre petit frère chéri! Et du coup, comment tu as fait?"
"Je suis rentré à la maison et avec un paquet de kleenex et la main que tu tiens actuellement, je me suis soulagé tout seul."
Surprise, ma soeur fixe ma main qui se trouve entre les siennes, et sans que je m'attende à cela, elle dépose un baiser délicat dans ma paume.
"Tu te masturbes toujours avec cette main?"
La question est plutôt directe. Décidément, cette conversation prend une drôle de tournure. Mais je me laisse porter par le flot des événements.
"Oui oui. C'est toujours avec la même main. Et toi? Tu dois bien te caresser aussi?"
"Bien sur. Quand je joue avec mon clito, c'est toujours avec la main gauche. Mais quand je caresse mes seins, ou que je glisse des doigts en moi, j'utilise les deux mains."
"Et avec les garçons?"
"Comment ça?"
"Et bien qu'as tu fait avec tes copains? Après tout Pauline t'as fait partager beaucoup de nos expériences, mais moi je ne sais pas grand chose sur ce que tu as vraiment fait. J'aimerai beaucoup savoir."
"Tu sais, comme je te l'ai dit tout à l'heure, je n'ai jamais montré mon sexe à personne, ni même le laisser toucher. J'ai juste fait des trucs avec Arnaud."
"Des trucs? Comme quoi?"
"Je l'ai pris dans ma main et dans ma bouche..." me confie-t-elle d'une petite voix. "Mais ce n'est arrivé que trois ou quatre fois. C'est tout. Et lui ne m'a rien fait. Je te le jure."

Parler de sexe aussi ouvertement avec ma soeur jumelle, après ce qu'il s'est passé plus tôt dans la journée, m'excite terriblement. Mon sexe a repris sa taille maximum. Et sous mon boxer, mon érection est clairement visible. Ce qui n'échappe pas à Candice. Tout en discutant, nous changeons de position. Allongés sur le côté, nous nous faisons face. Elle n'a qu'à baisser les yeux pour voir la forme de ma bite sous le tissus du boxer. Elle finit par me demander:
"Alex... s'il te plait, J'aimerai la voir."
Cette demande ne me surprend guère, tant cela semble découler logiquement de tout ce que nous vivons depuis ce matin. Je reconnais qu'au fond de moi j'espérais même qu'elle me le demande.
Je ne lui répond pas. J'avance simplement mon visage contre le sien. J'effleure ses lèvres avec les miennes. Une fois. Deux fois... La main de Candice vient se placer derrière ma nuque. Au troisième contact, nos lèvres s'écartent et nos langues se rejoignent. Ce baiser se prolonge. Pour notre grande satisfaction à tous les deux.
Lorsque je me redresse pour me placer à côté du lit, mon coeur bat la chamade. Il tape si fort dans ma poitrine que j'ai la sensation qu'il va s'en échapper.

Debout devant le lit, je baisse mon boxer. Mon sexe, tendu comme jamais, se dresse vers le haut, comme pour remercier les dieux d'être enfin libéré et d'avoir son rôle à jouer. Candice se positionne sur le bord du lit pour être au plus près de moi. Je la laisse examiner mon sexe autant qu'elle le désire. Je ne pense pas être particulièrement exhibitionniste, mais là, j’admets que je prend un réel plaisir de permettre à ma soeur jumelle de me regarder en érection.
Sans rien dire, elle l'enveloppe de sa main douce et chaude. Mon sexe coulisse plusieurs fois dans sa main avant qu'elle n'approche le visage, et que mon gland ne disparaisse entre ses lèvres.
J'ai l'impression de rêver: ma soeur jumelle est en train de me sucer!!! Je n'en reviens pas. J'ai peur de ne pas pouvoir me retenir trop longtemps, tant la situation m'excite. Avec de charmants petits grognements, elle fait coulisser ma queue dans sa bouche. Par moment, elle la fait entrer du gland jusqu'à la base. Je la contemple pendant que sa tête va d'avant en arrière, et qu'elle recouvre ma tige de salive. Lorsque ses yeux rencontrent enfin les miens, elle m'adresse un clin d'oeil complice. J'ai l'impression que tout mon corps est sous tension.
Quand elle fait sortir ma bite de sa bouche, c'est pour pouvoir la parcourir avec la langue. Sa main droite se pose délicatement sur mes testicules, tandis que la gauche complète l'action de sa bouche. Pour une fille qui prétend n'avoir sucé que trois ou quatre fois avant aujourd'hui, je la trouve sacrément douée. Bien plus que mes ex. Lorsque l'extrémité de sa langue titille mon gland et son orifice, je suis transporté dans un monde de plaisir.
Je lui caresse la joue, les cheveux. Ma main passe sur son cou, descend entre son peignoir et son dos. Je vais jouir. C'est trop bon. Depuis ce matin, je suis en état d'excitation permanente. Je ne peux me retenir plus longtemps. Par respect pour ma soeur je la préviens:
"Candice... Je vais jouir..."
"Jouis dans ma bouche, s'il te plait. je veux savoir ce que ça fait."
Aussitôt mon sexe disparait de nouveau dans la bouche de ma jumelle. Je vois bien qu'elle met tout son coeur. Cela me plaît. Cela me touche. Elle accélère. Je suis aux portes du Paradis. Et lorsqu'elle palpe une nouvelle fois mes couilles, je suis emporté par un orgasme extraordinaire. Le plaisir est si fort que mes jambes fléchissent.
Mon sperme jaillit dans la bouche de ma soeur, qui s'efforce de l'avaler au fur et à mesure qu'il s'écoule. Elle laisse échapper quelques petits « Hmmmm »
Candice poursuit sa délicieuse caresse buccale jusqu'à ce que la dernière goutte de ma semence soit extraite.
Quand elle a fini, elle retire ma bite de sa bouche, et s'essuie les lèvres sur la manche de son peignoir. Avec son visage enfantin, elle a l'air d'une petite fille qui vient de terminer un dessert qu'elle a adoré.

"C'était génial!"
C'est la seule chose que je trouve à dire en m'agenouillant devant elle.
"Moi aussi, j'ai adoré. Mais attends ce n'est pas fini..."
Candice ouvre son peignoir et le retire. Nous sommes à peu près dans la même position que lorsque je l'ai soigné. Elle est assise sur le bord du lit, moi sur le sol, juste devant elle. Mais à présent elle est nue. Totalement nue. Je parcours son corps du regard. Vraiment, je ne comprendrai jamais pourquoi elle complexe. Certes, elle n'est pas mince. Mais elle est loin d'être grosse non plus. Son corps est parfaitement proportionné. Elle me plaît. Terriblement. Je la désire. Oui, je la désire plus que tout.
Ses jambes sont encore serrées l'une contre l'autre, mais pour le moment je me régale de pouvoir admirer ses seins. Ces deux merveilleux globes de chair ronds, ornés de mamelons roses, aux tétons pointant vers le haut.
"T'as fini de regarder?"
Ma soeur me regarde avec un petit sourire moqueur. Bien qu'elle soit vierge, et moi expérimenté, j'ai l'impression qu'à cet instant les rôles sont inversés, et que je suis le plus déstabilisé des deux.
Je m'approche enfin d'elle. Je pose mes lèvres sur son sein gauche, et je palpe le droit. Avec gourmandise, j'entreprends de la sucer, la lécher, l'embrasser. Je me détecte de la fermeté de sa poitrine. Je me réjouis de ses soupirs.
Mon sexe s'éveille à nouveau.

Après avoir permis à nouveau à nos langues de s'entrelacer, le temps d'un baiser fougueux, je fais descendre ma bouche le long de son corps. Candice s'est allongée sur le dos, et ses jambes se sont écartées. Une nouvelle fois je suis en tête à tête avec sa vulve. Sur ses lèvres intimes, déjà bien humide, je peux constater que sa blessure a diminué. J'avance mon visage, et je fais courir ma langue sur son sillon rose. Ma soeur se cambre.
"Hummm... Continue!"
Oh oui je vais continuer! Pas question de m'arrêter en si bon chemin. Ma jumelle s'est légèrement redressée. Elle me regarde lui manger son joli petit abricot. Je veux lui donner tout le plaisir dont je suis capable. Je repense à tout ce que j'ai appris à faire avec mes anciennes partenaires et je m'applique à donner le meilleur à ma soeurette. Elle a d'ailleurs l'air de bien apprécier. Basculant parfois la tête en arrière, ouvrant la bouche pour chercher de l'air.
"Ooooh que c'est bon... C'est bon..."
Après quelques minutes de jeux de langue, son corps se tend. Ses mains agrippent la couette.
Elle jouit pour la première fois sous ma langue. Je pourrai la laisser savourer son orgasme, mais je préfère continuer à la lécher amoureusement. D'ailleurs elle n'a guère l'intention de me laisser m'éloigner de sa vulve. Ainsi, alors que je cherche à lui embrasser l'intérieur des cuisses, elle déplace son bassin pour replacer son sexe dans la trajectoire de ma bouche. Elle place également ses mains sur mon crâne, aussi bien pour éviter que je dévie, que pour accentuer la pression de ma bouche sur son intimité.
Mes lèvres virevoltent de bas en haut sur ses petites lèvres. Ma langue effleure son clitoris - auquel je réserve un traitement plus savoureux dans un moment. Je m'introduis dans sa chatte. Je butine ce fruit d'amour. J'en récolte le nectar, dont le parfum trouble intensément mes sens. Candice mouille abondamment, pour ma plus grande satisfaction. Son sexe est parfaitement lubrifié. Par instant, je recule ma bouche de quelques millimètres, et délicatement je souffle sur ses lèvres intimes, sur son clitoris, sur son anus serré... D'un souffle léger, pour attiser le feu qui lui consume les entrailles. Je sais que cela faisait beaucoup d'effet à Pauline. Je découvre que ma soeur n'est pas en reste. Elle n'est plus que soupirs et gémissements. Mes lèvres, ma langue, puis mes doigts sont autant de possibilités pour lui faire l'amour et lui donner du plaisir. Je veux que cette première fois lui laisse un souvenir impérissable.
Je replonge ma langue le plus profondément possible dans son entrejambe. Puis son clitoris devient mon centre d'intérêt numéro un. Du bout de la langue, je le caresse, je tourbillonne autour avant de la lécher plus intensément. Il ne faut que quelques caresses pour que les hanches de Candice s'associent à mon effort. Je la sent proche d'un nouvel orgasme. Je lui glisse alors mon index et mon majeur dans son vagin. Tout en lui suçant son bouton, je commence à la doigter. Ma soeur se cambre de plus en plus. Elle malaxe ses seins merveilleux. Les gémissements laissent place à des petits "Aah" qui me motivent encore plus, si besoin est. Mon bas de visage est maculé de cyprine.
Un coup d'oeil me permet de voir sa tête dodeliner de droite à gauche. Ses yeux sont fermés. Sa main droite sur un sein, la gauche sur ma tête. D'ailleurs sa pression sur mon crâne augmente, son bassin se plaque encore plus fort...
Elle jouit dans un râle qui se mêle à un rire nerveux. Cela dure quelques secondes. Un moment de plaisir intense pour ma désirable jumelle.
Son corps se relâche, et j'en profite pour m'allonger contre son corps. Elle saisit l'occasion pour m'embrasser avec passion.

"Wouah! C'était... J'avais jamais imaginé que ça puisse être aussi bon!" me confie-t-elle.
"J'avais tellement envie de te donner du plaisir..."
"Hummm c'est très réussi."
"Tu veux qu'on arrête là?"
"Non... non... continuons! J'ai trop envie de toi."
Je me place au dessus de Candice, qui écarte les jambes pour rendre la position plus confortable. Durant nos baisers tendres et nos éteintes, je sent mon gland se couvrir de cyprine à chaque contact avec son minou.
Je me redresse un peu pour attraper ma queue. Je caresse son clito quelques instants avec mon gland. Je le place devant son vagin, puis je plonge mon regard dans celui de Candice. Nous ne nous parlons pas, mais je perçois son émotion dans son regard. Je l'embrasse encore. Lentement, je pousse jusqu'à ce que l'extrémité de mon sexe disparaisse entre les parois humides de son vagin. Ma jumelle grogne doucement. Je fais entrer et sortir ma bite. À chaque coup de rein, je m'introduis un peu plus profondément.
Je perçois le franchissement de son hymen, son corps qui se crispe, ses yeux qui brillent. J'accélère mes va-et-viens. Le plaisir remplace la gène. Ma soeur finit par s'abandonner totalement aux douces sensations de l'amour physique.
Coup par coup, poussée par poussée, j'enfonce ma queue jusqu'à la garde dans son vagin étroit et abondamment lubrifié. Je n'avais jamais pensé qu'une fille puisse mouiller autant.
Je veux profiter du spectacle de son corps, je veux voir ma bite entrer en elle et ressortir, luisante de son jus. Je change donc de position, mais je reste bien face à elle pour la contempler. Ma soeur jumelle est si belle lorsque ses seins sont gonflés de désir, quand sa peau se couvre d'une mince pellicule de sueur, quand son visage rosit de plaisir.
"Hmm... Hmm ... Han..."
Son halètement et ses gémissements sont autant d'encouragements. À présent, chaque poussée de ma queue dans son fourreau est ponctuée d'un petit cri de plaisir. Ses mains se promènent sur mon torse, mes épaules; agrippent mes hanches.
"Tu es trop belle!"
"Oh continue... continue... Je t'aime petit frère."
Entre deux assauts passionnés, je fais sortir mon sexe pour le réintroduire. De plus en plus fort.
Je me met à genoux, puis je soulève le bassin de ma Candice. Seules ses épaules et sa tête sont en contact avec le lit. Je la prend avec force. Ses seins rebondissent follement au rythme de mes coups de rein. Son visage affiche un masque d'extase totale. Ma soeur me regarde droit dans les yeux, mais je ne sais pas si elle me voit vraiment.
Je pilonne sa jolie petite chatte. Je lui fais l'amour avec une passion dont j'ignorais l'existence. Elle accompagne mon étreinte en titillant fougueusement son clitoris.
Lorsqu'elle entoure ma taille de ses jambes, que son dos s'arque, et que ses muscles se contractent, elle cesse de respirer et laisse échapper une longue vocalise, quasi bestiale.
Puisque ma soeur a joui, je peux me libérer à mon tour. Je sais qu'elle prend la pilule, je n'ai donc aucune crainte à avoir lorsque mon sperme gicle en elle. Mon plaisir est intense. J'ai l'impression que tout ce qui me reste d'énergie, s'écoule avec ma semence.

Allongés dans les bras l'un de l'autre, nous prenons le temps de récupérer. Je me sent heureux et détendu comme jamais. Candice est la première à parler:
"Je ne sais pas si ce qu'on vient de faire est très moral, mais putain qu'est ce que c'était bon!"
J'éclate de rire. Un rire aussitôt étouffé par les baisers de ma soeur. Je me laisse faire avec plaisir, et quand elle est rassasiée, j'approche ma bouche de son oreille, et dans un murmure je lui dis:
"J'espère que les prochaines fois seront aussi belles..."
Le bonheur de ma jumelle se lit dans ses yeux.
"C'est vrai? Tu veux bien qu'on le refasse?"
"Aussi souvent que tu voudras, ma chérie."
"Alors promet moi que nous le ferons tous les jours de notre vie. Quoiqu'il arrive!"
"Je te le promet."



Par intales - Communauté : histoires coquines sans tabous
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Jeudi 5 septembre 4 05 /09 /Sep 13:21
Lorsque j'ouvre les yeux, un rayon de soleil illumine ma chambre. Il est près de 11h. C'est ma première grasse matinée des vacances. Les épreuves anticipées du bac sont passées, je n'ai plus qu'à savourer les deux mois de vacances qui s'annoncent.
Dans la salle de bain, qui sépare ma chambre de celle de ma soeur, j'entends l'eau de la douche qui s'écoule. Tout comme moi, Candice à l'air d'avoir profité de sa matinée pour traîner au lit. Mais peut-être voudriez vous que je fasse une présentation rapide.

Je m'appelle Alexandre, je viens de finir ma première S. Candice, dont je viens d'évoquer le prénom, est ma soeur. Ma soeur jumelle pour être précis. Arrivée 20 minutes avant moi sur cette Terre, elle adore jouer de ce "droit d'ainesse". Mais il s'agit juste d'une boutade entre nous. Si chez les jumeaux il y a fréquemment un dominant et un dominé, je ne pense pas, en toute objectivité, que ce soit notre cas. D'ailleurs, je peux affirmer sans trop me tromper, qu'aucun de nous deux n'a cherché un jour à avoir l'ascendant sur l'autre. Sommes nous plus unis qu'un frère et une soeur classique? Je vous laisse juger par vous-même. Nous avons nos propres amis, des loisirs indépendants, des goûts musicaux différents. D' un autre côté, il est impossible de nous séparer, ne serait ce que 24 heures. Si nous nous disputons souvent, il n'y a jamais de fâcherie qui ne dépasse la demie-heure. Nous nous confions nos secrets et nos chagrins. Quand nous sortons avec quelqu'un, nous avons toujours besoin que l'autre donne son feu vert. D'ailleurs, à bien y réfléchir, je me rends compte que mes petites copines sont toujours des camarades de Candice, et inversement.
Avec ma soeur, nous partageons le 1er étage de la maison familiale. C'est notre domaine. Nul ne peut y pénétrer sans y avoir été invité. Même nos parents ne montent à l'étage qu'avec notre permission. Hormis la traditionnelle inspection du dimanche soir, afin de veiller à la bonne tenue des lieux. Et chez nos amis actuels, seule une poignée d'entre eux ont eu ce privilège.
Que vous dire de plus? Je pourrais vous expliquer que Candice et moi sommes extrêmement beaux, que nous sommes les plus convoités du lycée, mais ce serait vous mentir. En réalité, je suis assez grand, et ma pratique du VTT en compétition me permet de m'entretenir physiquement. Mais en dehors de ça, je suis d'un aspect banal. J'arrive à avoir des petites amies! Alors pourquoi m'en faire?
Candice est un peu plus grande que la moyenne des filles. Même si je lui répète régulièrement qu'elle n'a pas à rougir de son physique, que je trouve très agréable, ma soeur est hyper complexée par quelques légères rondeurs. Tous les ans, à l'arrivée du printemps, elle se lance dans les derniers régimes à la mode pour ne plus avoir à porter son 38 habituel.
Si je me permet de vous dire qu'elle a un physique des plus agréables, à mon goût, c'est parce que j'ai souvent l'occasion de la voir en sous-vêtements. Comme elle peut me voir en boxer également. Je peux même vous dire que, plus jeunes, nous avions l'habitude de nous promener nus, l'un devant l'autre. Mais à la puberté, cela c'est arrêté.
Bon, je vous confesse que quelques fois, j'ai joué au voyeur. Observant ma soeur jumelle, dans le plus simple appareil, par le trou de serrure de la porte reliant ma chambre à la salle de bain. Ses seins furent les premiers qu'il m'ait été permis de voir en vrai. Son pubis duveteux, m'apparut à l'époque trop furtivement pour que je puisse l'admirer.
Depuis, j'ai eu l'occasion de voir d'autres seins, et d'admirer pleinement d'autres pubis. Je pense qu'avec les filles, j'ai eu le même parcours que beaucoup de garçons. D'abord j'ai eu une copine qui m'a permis de toucher et de voir sa poitrine, puis une autre qui m'a autoriser à aller plus loin en me laissant glisser une main dans sa petite culotte. Cette même fille, me faisant découvrir plus tard, les douces sensations de la fellation. Et enfin, mes deux dernières petites amies furent mes premières vraies partenaires. Surtout la plus récente, car elle avait un gros appétit en la matière.
Sur ce sujet, je crois savoir que Candice est encore vierge. J'en suis même tout à fait certain, car j'ai déjà eu l'occasion d'entendre certains de ses ex se plaindre de ne pas arriver à leur fin. Et puis, je pense qu'elle me l'aurait dit, tout comme je l'avais fait. Toutefois, je pense qu'avec l'un d'eux, elle a été jusqu'à pratiquer quelques gâteries buccales... Si j'ai des doutes à ce sujet, c'est qu'un soir, alors que nous papotions dans mon lit, elle m'avait interrogé sur le plaisir que nous, garçons, éprouvons quand nous nous faisons sucer. Je lui avais expliqué comme je pouvais et lui avais demandé si c'était une chose qu'elle pratiquait. Ce jour là, elle m'avait répondu non, mais je me doutais bien qu'elle prévoyait de le faire...
Voilà ce que je peux vous apprendre sur Candice et moi.

Mais tiens! Le silence règne dans la salle de bain depuis cinq bonnes minutes au moins. La place étant libre, je vais pouvoir enfin y accéder.
J'entre dans la salle de bain. Mon élan est stoppé lorsque je vois que Candice occupe toujours les lieux. Simplement vêtue de son peignoir de bain, elle est assise sur le bord de la baignoire, les jambes largement écartées, penchée vers l'avant, elle semble inspecter son entrejambe. Elle ne m'a pas entendu entrer. Je reste figé un bref instant, puis préférant ne pas passer pour un pervers aux yeux de ma propre soeur, je manifeste ma présence.
"Oups! Désolé! Je pensais que la place était libre."
Instantanément Candice referme les jambes en les faisant claquer. Elle se redresse, tandis que je fais un pas en arrière pour retourner dans ma chambre. Mais je réalise que ses yeux sont larmoyants. Je déteste voir du chagrin dans son regard. Sans doute mon côté ultra protecteur avec ma jumelle. Avec ses cheveux mouillés, tirés vers l'arrière, et son visage empourpré, elle est pourtant mignonne. Les jambes repliées, se dissimulant derrière ses bras ramenés sur son bas ventre, elle ressemble à une petite fille prise en faute. Mais il y a ce regard triste qui gâche tout.
"Qu'est-ce qu'il y a petite soeur? Ça n'a pas l'air d'aller." lui dis je, avec beaucoup de douceur.
Elle hésite quelques secondes avant de m'apprendre, un peu honteuse:
"J'ai une douleur... mal placée!"
Soulagé que ce ne soit qu'un petit souci, je m'agenouille devant elle, tout en posant une main sur ses genoux. Je lui propose de m'expliquer de quoi il en retourne.
"Toutes les filles que je connais se rasent ou s'épilent intégralement. Pas moi. J'ai voulu essayer l'autre jour. Je me suis rasée entièrement. Mais je sais pas pourquoi, ce matin je me suis réveillée avec une douleur. Et quand je passe la main, je sent une zone enflée. C'est super gênant, et douloureux."
"Essaye de tenir jusqu'à ce que Maman rentre du boulot. Elle t'aidera surement à soigner ça."
"Surtout pas. Il ne faut surtout pas que Maman l'apprenne. C'est l'engueulade assurée et la leçon de morale qui va avec. Elle m'a souvent répété que je ne devais jamais le faire, car selon elle, ce sont les filles faciles qui font ça. Alors si elle découvre que je l'ai fait..."
Il est vrai que nos parents sont très conservateurs sur certaines choses, je comprend donc la réaction de Candice.
"Écoute, c'est sans doute pas grand chose. À mon avis c'est simplement un poil qui repousse mal. Tu devrais aller voir l'esthéticienne. Elle saura surement quoi faire?"
"Cette vieille curieuse?" proteste ma soeur "Avec sa langue bien pendue, entre le moment où je quitterai son salon et celui où j'arriverai à la maison, ma mésaventure aura fait trois fois le tour du quartier. Si tu as d'autres idées de ce genre, tu serais gentils de te les garder..."
En plaisantant, je lui reproche de faire la difficile.
"Mais rigole pas! C'est super désagréable. J'arrive à peine à marcher!"
"En tout cas, il va falloir que tu fasses les quelques mètres qui te séparent de ta chambre pour me laisser la place, pour que je me brosse les dents et que je prenne ma douche. J'en profiterai pour réfléchir et chercher une solution."
Candice quitte donc la salle de bain, d'une démarche peu élégante, mais qui trahit son embarras.

Quelques minutes plus tard, après m'être séché et entouré la taille avec un drap de bain, je frappe à la porte donnant accès à la chambre de ma soeur depuis la salle de bain. Sans attendre, je franchis la porte. Candice est allongée sur le lit, son visage dissimulé sous un oreiller. Mon coeur se serre de la voir si mal.
"Pourquoi ne demandes tu pas à Pauline de venir t'aider?"
Pauline est l'une des meilleures amies de ma soeur. Et comme elle est, accessoirement, ma dernière petite amie en date, je suis bien placé pour savoir qu'elle est intégralement épilée également.
"J'y ai bien pensé, mais depuis que tu l'as quitté, elle n'est plus vraiment la même avec moi. Et puis c'est vachement gênant de lui demander... Tu demanderais à tes potes de venir voir si t'avais un problème sur le sexe?"
"Mouai. T'as pas tort, mais tu peux constater que je cherche à t'aider."
"Oui je vois ça. Comme toujours tu fais tout ce que tu peux pour moi. T'es adorable."
"Oh mais je sais que je suis toujours adorable. Tu ne mérites pas un frère jumeau comme moi." dis je, moqueur, en m'installant près d'elle. "Mais tout adorable que je sois, je n'ai plus d'idées."
D'une voix timide, Candice murmure:
"Je crois que j'en ai une. C'est un peu embarrassant, mais tu voudrais pas regarder toi?"
Mon coeur fait un bon, un frisson me parcourt. J'éprouve une sensation inconnue jusque là. Un mélange de curiosité, ainsi que de grande excitation, mais chose inhabituelle, tout cela s'accompagne d'un grand embarras. Les mots ont du mal à sortir de ma bouche.
"Euh... C'est que nous... Enfin je veux dire... Tu es ma..."
"J'ai confiance en toi, plus qu'en quiconque. Tu es mon meilleur ami, en plus d'être mon frère jumeau. Tu es un autre moi. Rappelle toi! Nous nous sommes vus nus des tas de fois déjà." m'explique Candice, en oubliant de préciser que cela fait des années que ce n'est plus arrivé. "En plus comme tu fais du vélo, tu as l'habitude de te raser, tu dois donc savoir quoi faire. S'il te plait grand frère!"
Il faut vraiment qu'elle est un immense besoin de moi pour m'appeler ainsi. Et puis avec toutes ces gentillesses et son air suppliant, comment lui résister? Elle sait me parler et abattre mes réserves. Je respire profondément et je me lance:
"Bon ok! Trouve une pince à épiler pendant que moi je vais chercher un gant de toilette. Je dois avoir une lotion désinfectante et cicatrisante qui devrait faire l'affaire."
Candice pousse un soupir de soulagement. Une vraie joie illumine son visage. Elle m'embrasse sur la joue avant que chacun parte de son côté, en quête du nécessaire utile à la libérer de sa gène.
Dans ma tête, c'est un véritable feu d'artifices. Je n'arrive pas à réaliser, que dans quelques instants, Candice, ma propre soeur jumelle, va me permettre de voir son sexe de très très prés. Je suis euphorique et intimidé en même temps. Mon excitation croît. Pourvu qu'une érection intempestive ne vienne pas effrayer ma soeur. Avec ma seule serviette de bain autour de la taille, il ne sera pas facile de la dissimuler. Mon coeur bat vraiment très fort.

Lorsque je retrouve ma soeur dans sa chambre, elle est assise sur le bord du lit. Elle bouge les jambes avec nervosité. Les croisant, les décroisant. Elle a rapproché sa lampe de chevet. Avec un petit sourire elle m'explique:
"J'ai pensé que tu voudrais plus de lumière pour..."
"Oui, bonne idée."
Je m'approche d'elle, et je m'assois sur le sol, juste devant ses jambes, jugeant l'emplacement plus adapté pour agir.
"Tu es certaine de vouloir que ce soit moi qui te le fasse?"
"Oui. C'est vraiment une faveur que je te demande. Et puis je ne suis pas la première à te montrer son minou. Tu en as vu d'autre."
"Peut-être... mais là, c'est ma soeur qui va me montrer la sienne. Et c'est différent.
"Je sais... Allez, on y va?!"
Je lui donne le gant de toilette imbibé d'eau chaude.
"Passe le sur toi. Le gant à un effet exfoliant, et l'eau chaude va dilater les pores."
Je sais que mes explications sont inutiles, mais elles me permettent de rompre un silence gênant. Candice saisit le gant et le fait disparaître sous les pans de son peignoir. Pendant quelques instants, elle frotte son intimité. Ce simple geste quotidien perd totalement son côté anodin dans ces circonstances, pour revêtir un aspect érotique. Ma soeur a le visage qui rosit. Est ce la gène de se frotter devant moi? Ou bien est ce l'effet de ce frottement? Bien sur je l'ignore, mais pour ma part, je sent mon sexe qui commence à durcir. Mais assis comme je lui suis, je pense que Candice ne voit rien de mon état. En tout cas, ni elle, ni moi osons nous regarder dans les yeux.
Pour me donner de la contenance, et ne pas rester à rien faire pendant que ma soeur se frictionne, j'approche d'avantage la lampe de chevet, et j'installe les affaires que nous avons rassemblé.
"Je pense que tu peux arrêter."
Quand Candice me redonne le gant, je lui demande si elle est prête. D'un petit geste de la tête, elle me fait signe que oui.
"Très bien. Alors allons y!"
Candice dénoue la ceinture de son peignoir, et en écarte les pans. Je ne peux m'empêcher de la regarder dans sa quasi-nudité. Elle ne porte rien sous son peignoir. Le haut de son corps et sa poitrine sont toujours un peu couverts, mais en dessous de ses seins, son corps est entièrement exposé à ma vue. Mes sens s'échauffent. Elle ouvre les cuisses lentement. Son sexe m'apparaît dans toute sa beauté. Ses lèvres intimes sont fines, son clitoris, délicat petit bouton, est d'un rose pâle, tout comme le reste de sa vulve.
"Pfou!"
Bien involontairement, je ne peux retenir ce soupir d'admiration. Mais Candice se méprend sur sa signification, et resserre immédiatement les jambes.
"Qu'est ce qu'il y a? C'est si grave que ça?"
Elle semble à deux doigts de paniquer. D'un geste d'apaisement, je pose ma main sur son genoux.
"Non, non! Pas du tout! C'est juste que je... la trouve très belle."
"Oh..." repond-elle, toute embarrassée par ce compliment inattendu. "C'est gentil."
De nouveau, ses jambes s'écartent. Je me concentre sur ma tâche. Lorsque la fente de ma soeur jumelle est bien ouverte, je remarque une petite boule irritée sur l'une de ses lèvres. Vu l'emplacement, je comprend très bien, à présent, la gène qu'elle doit ressentir. Il s'agit bien d'un poil qui n'arrive pas à percer le peau. Une simple manipulation avec la pince devrait suffir à l'extraire et la soulager.
"Ok, ce n'est rien de méchant. Tu aurais eu du mal à le faire toute seule. Tu vas voir, dès que je l'aurai ôté, ce poil ne sera plus qu'un mauvais souvenir. Et dans une heure, je suis même certain que la douleur aura disparu."
"C'est vrai? Tant mieux!" souffle-t-elle.
"Par contre il faudrait que tu avances ton bassin plus vers moi, et que tu écartes bien les jambes que je puisse faire ça plus facilement."
Candice s'exécute.
Placée comme elle est, la zone inflammée ne me laisse pas le choix: avec mes doigts, je vais devoir écarter les lèvres intimes de ma soeur. J'avance donc une main tremblante, ainsi que mon visage, qui se trouve à quelques centimètres à peine de cette magnifique petite chatte. Habituellement, quand je me trouve à une telle proximité, je m'adonne à des activités plus agréables. Mais rien avant ce jour ne m'a paru plus excitant. L'envie de me laisser aller à des caresses plus sensuelle me traverse l'esprit.
Avec le pouce et l'index, j'entrouvre ce fruit défendu. Le vagin de ma soeur est entièrement dévoilé. Au contact de mes doigts, je sent la chaleur de sa peau.
"Concentre toi sur ce que tu as à faire, et rien d'autres!"
C'est ce que me répète ma bonne conscience. Toutefois, face à ce spectacle, cela s'avère difficile. Juste avant de retirer l'objet du tourment, j'appuis un peu plus fermement sur la lèvre meurtrie.
Je jette un regard au visage de Candice. Elle me fixe également. Son visage est rouge. Elle se mord la lèvre inférieure. Le haut de son peignoir s'est écarté, me révélant une partie non négligeable de sa poitrine.
"J'y vais!"
"Ok"
D'un geste que je souhaite assuré, je retire le poil indélicat d'un coup sec. Candice se raidit, et pousse un petit "Ah"
Satisfait de mon travail, j'explique à ma soeur que c'est terminé. Immédiatement, ma jumelle saisit son petit miroir à maquillage et, tout en gardant les jambes largement écartées, elle inspecte sa chatte.
"Tu as vu? Tu es toute mouillée, petite coquine."
Avec un large sourire, elle glisse son pied sous la serviette de bain, qui est mon seul vêtement, et vient effleurer mon sexe. Elle ne peut que constater mon érection, présente depuis un long moment.
"Oui! Et toi tu es tout dur..."
Lorsqu'elle s'est penchée pour observer sa vulve, le peignoir s'est ouvert largement. Si bien, qu'en plus de son sexe, je peux pleinement observer ses seins aux aréoles gonflées et aux tétons saillants. Je ne suis pas de bois, et je devine que la situation peut déraper. Pour l'éviter, je tend à Candice la lotion apaisante et je me relève pour quitter la chambre. Le regard de ma jumelle se pose sur la proéminence que forme mon sexe sous la serviette.
Je suis sur le point de quitter la pièce, lorsque Candice m'interpelle:
"Tu es vraiment le frère le plus génial dont une fille peut rêver!"
"Et toi tu es la plus craquante des soeurs."
Une dernière fois je la regarde, le peignoir ouvert, les jambes écartées, les seins gonflés...
Puis je regagne ma chambre, tremblant, n'arrivant pas à réaliser ce qu'il vient de se passer...



À suivre


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Par intales - Communauté : histoires coquines sans tabous
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Jeudi 5 septembre 4 05 /09 /Sep 13:13

C'est d'un pas décidé que Marjorie quitte la salle de bain. L'Homme a tenu parole et ne l'a pas obligé à faire quoique ce soit d'irrémédiable. Certes, elle a du la masturber et à présent elle doit rester nue devant lui, mais c'est bien moins grave que ce qu'il aurait pu lui faire subir. Elle ne pense plus qu'aux bras de son père et à leurs bienfaits. Et lorsque l'Homme ouvre la porte de la buanderie, Marjorie se précipite à l'intérieur.

Pierre a juste le temps de réagir pour écarter les bras et la recevoir contre lui.

"Oh mon Papou..."

Choqué de voir sa fille le rejoindre totalement nue, il s'adresse à leur geôlier avec véhémence:

"Salaud! Que lui avez vous fait?"

"Du calme Meyer! T'inquiète pas, je lui ai rien fait à ta gamine. Et si tu veux tout savoir, elle a toujours sa petite fleur. Et si elle est aussi légèrement vêtue c'est juste par goût de la beauté. Un plaisir d'esthéte en quelque sorte." répond l'Homme avant de refermer la porte derrière lui et de laisser Marjorie et son père seuls.

La jeune fille se doute bien que son père hésite à refermer ses bras sur elle. Elle comprend que sa nudité en est la cause.

"S'il te plait, serre moi fort..." demande-t-elle.

Les bras paternels enveloppent ses reins, et l'étreignent pour son plus grand soulagement. Toutefois, si elle trouve dans ce geste le même réconfort, si les gestes de son père sont aussi affectueux et chastes que toutes les nombreuses fois où cela a eu lieu, Marjorie éprouve, à cet instant précis, un trouble particulier. Être nue contre lui. Plaquer ses seins libres contre son torse. Sentir le contact des mains de son père sur sa peau, au creux de ses reins. Tout cela lui procure un trouble délectable .

Si seulement les circonstances pouvaient être différentes...

"Qu'est ce que ce monstre t'as fait?" l'interroge son père, avec une douceur qui peine à masquer son inquiétude.

"Rien. Il ne m'a pas touché. J'ai juste du le laver et le... masturber."

"Oh non! Ma pauvre chérie."

"Ne t'inquiète pas. C'est pas si grave. J'ai fermé les yeux et je n'ai plus pensé à lui. Ok, il avait ma main, mais il n'a rien pris d'autre. Pas même mon esprit."

Lorsque l'étreinte se relâche, Pierre retire son t-shirt et le tend à sa fille pour qu'elle se couvre avec. Puis les minutes se mettent à défiler sans que l'Homme ne vienne les chercher. Des heures peut-être. De temps à autre, son pas se fait entendre. Un claquement de porte. Un raclement de gorge. Suffisamment pour que Marjorie n'oublie pas cette présence intrusive dans le cocon familial.

Durant toute l'attente, elle reste collée à son père. Sans qu'elle ne puisse le maîtriser, elle se remémore le trouble qu'elle a ressenti lorsqu'elle était nue contre lui. Elle s'interroge sur les pensées qui lui sont venues quand, sous la douche, elle masturbait l'Homme. Et que dire de son attirance pour le sexe de son père? Si, jusqu'à aujourd'hui, elle ne s'est jamais posée de question sur la signification de ce désir, la confrontation au danger paraît lui faire prendre conscience que son attachement pour son père dépasse le simple lien filiale. Tout s'emboite dans son esprit: ces garçons qui ne l'attirent pas trop, ce besoin d'être avec son père aussi souvent et aussi près que possible, ces fantasmes où il n'est que le seul homme à intervenir...

Mais avant qu'elle ne finisse par s'avouer l'indiscutable vérité, le bruit de la clé dans la serrure la rappelle à la réalité de la situation.

"Allez! Dans le... Eh mais c'est quoi ça? Qui t'as autorisé à te couvrir?" gronde l'Homme en levant son arme.

"C'est moi qui lui ait donné mon t-shirt pour qu'elle ne reste pas nue."

L'Homme pointe alors son arme en direction de Pierre et le regarde avec intensité. Comme s'il était en train de réfléchir au sort qu'il allait lui réserver. Marjorie prend peur. Sans attendre, elle retire le vêtement et le jette aux pieds de l'Homme.

"Regardez, je n'ai plus rien maintenant. Ne lui faites pas de mal, je vous en supplie!"

L'Homme baisse son revolver, puis d'une voix sèche et décidée annonce:

"Meyer c'est la dernière fois que tu prends des initiatives de la sorte. Encore une erreur et je t'envois faire un séjour au Boulevard des Allongés. Je ne te préviendrai plus. En attendant, puisque je ne veux pas que tu lui donnes également ton pantalon dès que j'aurai le dos tourné, tu vas te foutre à poil toi aussi. Illico!"

Comprenant qu'il n'est guère utile de négocier, Pierre se déshabille. L'Homme leur ordonne ensuite d'aller dans le salon.


 

Sur la table basse, devant le canapé, se trouvent quelques sandwiches sur une assiette.

"J'ai pas envie que la gamine meurt de faim, alors je me suis permis de réquisitionner les provisions que vous aviez prévues pour votre petite virée. Mangez."

Bien qu'elle ait l'estomac noué, Marjorie avale sa part sans rien dire. L'atmosphère est pesante. L'Homme les dévisage à tour de rôle. L'air bonhomme qu'il affichait au sortir de la salle de bain, il y a presque trois heures de cela, s'est envolé. Quand il ne reste plus rien à manger, il ordonne au père de Marjorie de ramener l'assiette dans la cuisine et de leur apporter à boire.

"Que voulez vous que je vous ramène? Je dois avoir des bières dans le réfrigérateur."

Le visage de l'Homme s'éclaire.

"T'es vraiment un petit malin Meyer... Tu t'es dit quand m'offrant quelques mousses pour m'hydrater l'oesophage, j'allais peut-être me piquer la ruche et t'en aurais profité pour prendre le dessus... Bah tu vois, quand je suis en cavale, je suis aussi sobre qu'un chameau en plein désert. Rapporte nous de l'eau. Ça sera suffisant. Ensuite tu poseras sur la table basse les deux cartons à chaussures que j'ai laissé sur la table de la cuisine."

Marjorie demande la permission d'aller aux toilettes.

"Ok, dès que ton paternel est de retour. Mais attention! T'endors pas sur le trône, Princesse! Sinon je vais te chercher..."


 

Lorsque la jeune fille retourne dans le salon, son sang se glace. Elle reconnaît ce que contiennent les deux boites que l'Homme a fait mettre sur la table basse: ses journaux intimes.

Ce goût d'écrire sa vie sur des carnets à spirale lui est venu à l'adolescence. Comme beaucoup de filles. Mais si la plupart d'entre elles abandonnent rapidement cette activité, Marjorie, pour sa part, ne s'en est jamais lassée.

"Allez ma jolie, vient t'assoir."

L'Homme sourit. Entre ses mains, la jeune fille reconnaît l'un de ses carnets les plus récents. Une vague de honte la submerge. À bien y réfléchir, elle préfère être nue devant lui plutôt que laisser cet Homme lire ses secrets. Tous ses secrets...

"S'il vous plait, ne lisez pas mes carnets..."

L'Homme éclate de rire.

"Vu les quelques passages sur lesquels je suis tombé, je comprend pourquoi... Mais bon, après la petite douche de tout à l'heure, nous sommes presque devenus des intimes tous les deux."

Puis il se replonge dans sa lecture, qu'il ponctue de temps à autre par un rire, un oh moqueur, ou simplement par un regard appuyé vers Marjorie.

Pour une fois, la main de son père, qui vient de se poser sur sa jambe, ne lui apporte aucun réconfort. Jamais elle n'a eu autant envie de disparaitre.

Après quelques minutes de lecture, l'Homme relève le visage pour s'adresser à sa jeune victime.

"Tu fais de la danse depuis longtemps?"

"Depuis mes 5 ans."

"Et tu continues encore?"

"Oui. De la danse classique, et un peu de modern jazz."

"Hmm... Je sais pas si c'est vrai, mais j'ai entendu dire que chez les filles qui font de la danse, c'est comme celles qui font l'équitation: leur berlingot cède avant l'heure... C'est vrai?"

"Je ne sais pas. Ça doit dépendre des filles..." répond timidement Marjorie.

"Mouais... En tout cas, quand je te vois, et quand je lis ce que tu écris, ça me donne envie d'aller vérifier par moi même."

La jeune fille perçoit la crispation qui vient de parcourir son père. Elle cherche discrètement à le calmer, de peur que la situation dégénère.

"Dis moi Meyer, tu savais que le petit abricot de ta gamine était toujours intacte? C'est pas banal pour une donzelle de son âge. Mais en lisant son journal, on découvre qu'elle n'est pas si innocente que ça ta gamine! Il semblerait que tout à l'heure je n'ai pas été le premier homme qu'elle ait vu dans toute sa vigueur, et que les plaisirs solitaires ne lui soient pas inconnus..."

"Ça ne regarde qu'elle." rétorque le père de Marjorie.

Mais sans se soucier de ce qu'il vient d'entendre, l'Homme feuillette le carnet qu'il a entre les mains, cherchant apparemment un passage précis.

"Ah là! Ce passage, j'adore... Tiens ma jolie, lis nous le à voix haute..."

La jeune fille saisit le carnet à la page en question, et commence à lire en silence. Un sentiment proche de la panique prend possession de tout son être. Elle jette un regard implorant à son bourreau. Mais celui ci semble se délecter de la situation.

"Allez, allez ma jolie! Je suis sûr que ton «Papou» va se régaler en découvrant cet aspect là de sa petite fille chérie."

Marjorie se tourne vers son père et s'excuse avant de commencer la lecture à voix haute.


 

"Vendredi soir, le sommeil n'a pas voulu de moi. Je me suis tournée et retournée sans cesse dans mon lit. Et, comme cela s'est si souvent produit, je me suis mise à penser à son sexe. Je m'imaginai le prendre entre mes mains. Je l'imaginai en train de grandir grâce à mes caresses, ou mieux encore: grâce à mes baisers. Cela fait si longtemps que j'ai envie de jouer avec. Il n'aurait plus besoin de le faire tout seul, en cachette. Il m'aurait moi. Mes mains. Ma bouche. Et s'il le demandait, il m'aurait toute entière. Pour notre plus grand plaisir à tous les deux...

Penser au sexe de Papou, le revoir en mémoire, me rappeler les fois où je l'ai vu se caresser suffit à me donner envie. Et ce soir là, j'ai eu très envie. De mon sexe, naissait cette chaleur qui s'écoule toujours en moi et qui me rend fiévreuse quand je suis excitée. Ce feu qui rend mon corps si demandeur de caresses. C'était tellement fort, que contrairement à d'habitude, je n'ai pas pris le temps de me toucher les seins, ou de palper mes fesses, ni même d'effleurer les autres endroits qui me font de l'effet. Vendredi soir, j'ai simplement relevé ma nuisette et je me suis mise à caliner mon clitoris, tout en glissant deux doigts en moi. J'étais déjà toute mouillée avant même de commencer. Il faut dire que cela faisait plus d'une semaine que je n'étais pas faite jouir. Je crois que mon corps était comme en manque. Combien de temps a-t-il fallut pour que mon orgasme m'extirpe un râle de plaisir? Je n'en sais rien, mais ce fut très rapide et très intense. Trop rapide même. Alors je n'ai pas cessé de faire jouer mes doigts, jusqu'à ce que je jouisse une seconde fois.

Mon corps était alors apaisé. Je me suis endormie presque aussitôt.

Je sais que fantasmer sur mon père n'est peut-être pas très normal. Mais je meurs d'envie de partager de tels moments avec lui. Mais à qui en parler? Mes amies? Trop risqué. À Papou? S'il me rejette, j'en mourrai de honte. Et s'il acceptait, comment pourrai-je être à la hauteur puisque je n'ai aucune expérience. Comment est ce que je vais faire pour gérer ces drôles d'envies?"


 

Marjorie cesse sa lecture. Les yeux fermés, elle cherche à canaliser la honte qui la frappe. Son secret le plus intime vient d'être livré en pâture. À présent, c'est certain, son père va la rejeter. Il doit sûrement éprouver du dégoût à son égard.

Elle s'isole si intensément en elle même, qu'elle n'entend pas l'échange entre son père et l'Homme.

"Alors Meyer! Je suppose que tu ne te doutais pas de ça... Ta fille qui fantasme sur toi. C'est pas banal!"

"Je n'ai rien à vous dire. Ça ne vous regarde pas!"

"En tout cas, tu devrais être plus discret quand tu te fais du bien. Car la gamine, elle est jamais bien loin pour se rincer l'oeil. À moins que tu t'en sois déjà rendu compte et que cela augmente ton plaisir... La prochaine fois, demande lui de t'aider. J'ai pu en juger sur pièce: elle a la main douce."

Le rire tonitruant de l'Homme explose. Envahit la pièce. Abat les barrières que Marjorie cherche à installer entre ses émotions et le monde extérieur.

Lorsqu'elle ose enfin relever la tête, ses yeux se tourne vers l'intrus. Celui-ci est de nouveau plongé dans la lecture des carnets, un rictus de satisfaction aux lèvres. Puis la jeune fille dépasse sa crainte et se tourne vers son père. Immédiatement, il lui adresse un sourire, dont elle perçoit toutefois le petit air gêné, tout en lui prenant la main. D'ailleurs, il la porte à sa bouche pour l'embrasser.

"Ne t'inquiète pas ma chérie, tout ira bien." lui murmure-t-il.

À moitié rassurée, Marjorie se replie une nouvelle fois derrière ses paupières closes. Petit à petit, grâce au contact de la main de son père sur la sienne, elle retrouve ce bienfait que cela lui a toujours apporté. Elle finit presque par être soulagée que son père connaisse enfin le désir qu'il lui inspire.

Dans son fauteuil l'Homme lit chacun des carnets. Il alterne les réflexions moqueuses, les allusions salaces ou les longs moments de silence. Le temps semble s'étirer à n'en plus finir. Marjorie, comme son père, sont emportés par une sorte de léthargie. Si bien qu'à un moment, la jeune fille finit par s'assoupir quelques minutes sur l'épaule paternelle.


 

Lorsqu'elle refait surface, elle se rend compte que son père parcourt discrètement son corps du regard. Elle sent son regard errer sur ses jambes, son ventre puis ses seins. Surpris en flagrant délit, il rougit instantanément. Marjorie ne peut s'empêcher de lui adresser un large sourire et d'éprouver une certaine satisfaction à susciter l'intérêt de celui qui l'attire tant.

"Si seulement ce type pouvait partir et nous laisser tous les deux..." se dit-elle.


 

Le dernier carnet achevé, l'Homme s'étire avant de regarder l'heure.

"Bon, il va être l'heure de faire dormir nos yeux. Vous deux, vous allez passer la nuit dans le camping-car. N'ayez crainte, j'ai fait en sorte que vous ne puissiez pas me fosser compagnie en sécurisant le garage. Et les gars de mon espèce ont le sommeil léger... C'est vital. Alors si vous tentez quoique ce soit, je serai toujours plus rapide que vous."

L'Homme se relève et leur fait signe de prendre la direction de la cuisine, où se trouve la porte du garage.

Au moment de laisser Marjorie et son père entrer dans le camping-car, l'Homme saisit la jeune fille par le bras.

"Prends des forces ma belle, car demain ton petit abricot sera mon dessert... Allez, bonne nuit les Meyer! Et pas de mauvaise blague sinon... Couic!"


 

C'est avec soulagement que la jeune fille voit la porte du camping-car se refermer. Pour quelques heures, elle ne sera plus en présence de son geôlier. Et si les derniers mots qu'il a prononcés ne présagent rien de bon pour le lendemain, elle tient à profiter de ces instants de répit.

Toutefois l'ambiance dans le véhicule est étrange. Ni Marjorie, ni son père n'osent parler, ni même se regarder. Leur nudité ainsi que les révélations des carnets imprègnent l'atmosphère d'un désir interdit. Chacun s'installe dans la couchette qu'il a l'habitude d'occuper durant leurs voyages.


 

Durant près d'une heure, Marjorie tourne dans tous les sens, à la recherche d'un sommeil qui refuse de l'emporter dans ses limbes. Trop de choses encombrent son esprit.

"Papou... tu dors?" demande-t-elle d'une voix à peine audible.

"Non."

"Je peux venir dans tes bras?"

Durant quelques secondes, son père ne répond pas. Pour la première fois, il semble hésiter. Jamais auparavant il n'avait fait preuve d'hésitation.

"Papa... s'il te plaît..."

Papa! Depuis quand ne l'a elle plus appelé ainsi? Elle n'utilise ce mot qu'en cas de situation grave. Comme pour rappeler le lien paternel et le ramener aux devoirs qu'incombent ce rôle.

"Viens..." finit-il par céder.

Marjorie saisit la lampe de poche qu'elle conserve en permanence sous le matelas et se dirige vers le lit de son père, puis elle se glisse sous le drap. Elle pose la lampe allumée près d'eux.

Après un long moment de silence, elle vient se blottir contre le flanc nu de Pierre.

"Je suis désolée..." dit-elle doucement.

"C'est pas grave ma chérie."

"J'aurais préféré que tu ne l'apprennes pas de cette manière."

"Tu sais, je ne te juge pas. C'est juste surprenant pour un père de découvrir ce genre de chose.Et cela fait longtemps que tu... penses à ça?"

"Depuis assez longtemps oui. En fait, depuis qu'un soir je t'ai vu te masturber dans ta chambre..."

"Ce mec a raison, je devrais être plus prudent."

"Non! Il n'aura jamais raison!" proteste Marjorie.

Un nouveau silence s'installe. La jeune fille pose sa main sur le torse de son père.

"J'aime beaucoup te regarder faire..."

"Tu m'as souvent vu?"

"Oui... enfin assez souvent."

"Pourtant je ne le fais que lorsque je pense que tu dors..." dit Pierre, comme pour s'excuser.

"Et toi... Il ne t'est jamais arrivé de... penser à moi, en le faisant?"

Mal à l'aise, le père de Marjorie ne sait comment lui répondre, et elle comprend la signification de cette gêne.

"Donc c'est oui!" murmure-t-elle.

Intérieurement, la jeune fille jubile. Enfin, elle sait que son désir est partagé. Rien ne saurait la rendre plus heureuse. Mais les circonstances gachent toutefois son plaisir.

Sans vraiment s'en rendre compte, sa main est descendue du torse vers le ventre de son père. Une de ses jambes est venue recouvrir les siennes. Son pubis est contre la hanche droite de Pierre. Dans sa tête, il n'y a plus qu'une seule idée...

"Papou... Tu as entendu ce que cet Homme a dit qu'il me ferait demain?"

"Oui j'ai entendu. Mais je ne le laisserai pas te toucher."

"Mais comment pourras tu faire? Il est armé! On ne peut pas lui résister."

Marjorie voit bien que son père cherche une solution, mais que cela ne vient pas. Elle se jette à l'eau après avoir pris son inspiration:

"Je ne veux pas qu'il me touche. Mais on a pas les moyens de s'opposer à lui. Alors puisque je n'ai pas ce choix là, je peux quand même décider qu'il ne sera pas le premier..."

Comme pour illustrer son propos, Marjorie déplace sa main et vient saisir le sexe de son père. Celui-ci, dans un geste qui tient plus du réflexe qu'autre chose, pose également sa main sur celle de sa fille.

"Ma chérie, tu es ma fille..."

"Oublie le, le temps d'une nuit s'il le faut. C'est à toi que j'offre ma virginité. À toi et à personne d'autre. Et certainement pas à ce monstre." réplique-t-elle, avant de couvrir les lèvres de son père avec les siennes.

Pierre ne marque qu'un instant d'hésitation avant de succomber, pour le plus grand bonheur de sa fille.

C'est le coeur battant qu'elle reçoit la langue de son père contre la sienne. C'est fiévreuse qu'elle sent les mains de Pierre l'attirer contre lui, lui caresser le dos, lui enlacer les reins, l'étreindre avec passion.

Dans sa propre main, qui lui entoure toujours la queue, elle le sent se gonfler de désir. Elle, qui a si souvent rêver de cet instant, peut enfin faire monter et descendre ses doigts sur ce sexe désiré.

Tout son corps et toute son âme se sont embrasés. Sa peau est en feu. Son sexe irradie d'une bien agréable fièvre. Et lorsque Pierre délaisse ses tendres baisers pour faire voyager ses lèvres sur son corps, elle bascule dans un univers d'immense désir.

Tout est plus intense que dans ses rêves les plus fous, ou que dans ses moments de plaisirs solitaires. Jamais ses seins n'ont été aussi sensibles qu'à cet instant où il les prend à pleines mains, qu'il les suce. Ses tétons semblent être plus saillants que d'habitude. Et puis... Et puis... Non, Marjorie cesse de penser, de comparer. Elle se laisse simplement guider par son plaisir et par le trajet que suit son père pour atteindre son pubis. Et quand il y parvient, elle s'entre-ouvre volontiers pour lui laisser l'accès.

Elle n'a nul besoin de placer sa main entre ses cuisses pour savoir que son sexe est couvert de cyprine. La tête légèrement relevée, elle regarde le visage de son père approcher de sa vulve.

"Hmmmm..."

Le contact de la langue de son "amant" sur son clitoris la fait gémir. Cette étrange pulsation qui émane de ce petit bouton magique lui procure un plaisir grandissant.

Elle est prête à jouir quand son père glisse un doigt en elle. C'en est trop. La langue et le doigt associés lui procure un orgasme. Une explosion de plaisir qui la fait se cabrer sur le lit.

Mais son père n'a de cesse de poursuivre ses caresses. Et très rapidement, elle se retrouve transportée une nouvelle fois. C'est à cet instant qu'elle voit Pierre se redresser et venir placer son bassin entre ses jambes écartées.

Elle comprend que c'est le moment. Dans un instant son père fera d'elle une femme. Elle ressent une étrange sensation lorsque le gland paternel s'introduit dans son vagin. Elle perçoit clairement le cheminement de la queue gonflée en elle. Elle n'a pas mal. Ce que disait l'Homme est surement vrai: la longue pratique de la danse l'a certainement libéré d'un moment douloureux.

Marjorie est heureuse de sentir son père adoré aller et venir en elle, de sentir cette queue désirée la remplir. Tout n'est que plaisir et volupté. Une sensation nouvelle.

À chaque va-et-vient, elle ne pense qu'à son propre plaisir. Égoïstement. Mais elle sait que son père est tout aussi comblé qu'elle. Il suffit de voir avec quelle énergie et quelle passion il lui fait l'amour et qu'il l'embrasse.

Tous les deux se livrent sans retenues. Même si elle se laisse plutôt porter. Marjorie prend la pilule depuis longtemps, il n'y a donc aucun risque. Et pendant que son père accélère ses coups de rein, elle glisse une main sur son clitoris pour renforcer son plaisir.

Elle est sur le point de jouir une seconde fois.

"Oh ouiiii.... Continue..."

Et de nouveau, un bel orgasme la traverse. Quasiment au même instant, elle sent le sperme de son père se répandre en elle.


 

Cinq minutes après qu'ils aient jouis, Marjorie est toujours dans les bras de son père. Comblée, heureuse, elle en oublie presque que dans la même maison qu'eux, se trouve un fugitif. Une douce torpeur, accompagnée par de tendres câlins suffisent à faire sombrer la jeune fille dans un profond sommeil.

Demain sera un autre jour.


 
 

Marjorie et son père se réveillent en sursaut. Derrière la porte du camping-car, une voix répète en boucle:

" Levez-vous, je suis parti!... Levez-vous, je suis parti!..."

Pierre Meyer est le plus prompt à se lever. Il se précipite vers la porte. En l'ouvrant, il trouve son smartphone sur le marche-pied baissé. La voix de l'Homme fait office de réveil.

Marjorie se tient derrière lui.

"Reste là ma chérie. Je vais vérifier."

Il tend son téléphone à sa fille et se dirige à l'intérieur de la maison.

Lorsqu'il reparait un long moment après, il affiche un immense sourire. Il tend une feuille à sa fille.

"Il est vraiment parti! Tiens, lis ça."


 

«Salut les Meyer.

Je profite de la nuit pour lever le camp. J'espère que vous ne m'en voudrez pas trop d'être parti sans vous dire au revoir. Mais que voulez-vous, les adieux larmoyants c'est pas mon truc.

Trêve de plaisanterie, je vous invite fortement à m'oublier. Un mot de vous à la volaille et je reviens m'occuper de vous... À commencer par la gamine. Bien moins gentiment que ces dernières heures.»


 

Marjorie souffle un long soupir de soulagement. Le cauchemar a donc pris fin. Elle se précipite dans les bras de son père et se met à pleurer à chaudes larmes. Pour la première fois depuis le début de cette mésaventure.

Lorsqu'elle est calmée, père lui demande:

"Tu veux qu'on aille porter plainte?"

"Non! C'est trop dangereux. Je veux l'oublier pour toujours. La seule chose que je veux garder c'est ça..."

Elle approche sa bouche de celle de son père et l'embrasse langoureusement. Son corps est tellement collé à lui, qu'elle devine l'érection naissante de son Papou.


 

ÉPILOGUE


 

Il est près de 9h quand Pierre quitte le camping-car pour faire quelques achats. Marjorie dort encore. Il faut dire que leurs nuits sensuelles sont parfois épuisantes. Mais si agréables.

Une semaine déjà que Pierre et sa fille sont en Italie. La journée, ils sont père et fille en vacances, mais dès la nuit tombée, ils deviennent deux amants insatiables...

Alors qu'il s'apprête à entrer dans une épicerie, Pierre reçoit un sms.

«Appelle moi quand tu es seul»

En regardant l'expéditeur, il ne peut s'empêcher de sourire. Il appuit sur l'icône Appel.

"Oui?" fait une voix grave.

"C'est Pierre."

Un rire tonitruant éclate à l'autre bout du combiné.

"Alors mon ami, comment se passe ces vacances en Italie?"

"Chaudes. Très chaudes!"

"Ah tu vois. Je te l'avais bien dit. Notre petit plan n'avait aucune faille." s'exclame la voix

"Tu avais raison. Mais franchement tu m'as bluffé. Je ne te connaissais pas aussi bon comédien."

"Oh j'avais potassé un peu le rôle... Enfin je me suis bien amusé. Et ta gamine ne s'est doutée de rien?"

"Non apparemment. Ou elle n'en laisse rien paraître. En tout cas merci pour le coup de main..."

"Bah de rien... Tu vois tu as bien fait de te confier à moi quand tu as découvert ses carnets."

"Oui. Encore merci..."

"Allez je te laisse profiter de tes tendres vacances avec ta fille. Depuis le temps que vous aviez envie l'un de l'autre... Et reviens nous en forme au boulot, les dossiers s'accumulent sur ton bureau. Au fait, ton secret sera bien gardé. Ciao Pierrot!"

"À bientôt"

Le sourire aux lèvres Pierre entre dans l'épicerie. Pour lui, la vie est vraiment belle.


 

Fin


Merci à mon étoile pour ses conseils et ses encouragements. Cette histoire est pour elle.

Par intales - Communauté : histoires coquines sans tabous
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Jeudi 5 septembre 4 05 /09 /Sep 13:08

Samedi 21 Juillet 2012
Pour Pierre et Marjorie, sa fille, c'est le jour du grand départ. Durant l'année scolaire, Pierre avait promis à cette dernière, qu'en cas de mention au bac, ils partiraient tous les deux, pendant deux semaines dans le pays d'Europe qu'elle choisirait. En élève studieuse, Marjorie avait redoublé d'effort pour faire plaisir à son père et pouvoir partir avec lui pour ces vacances de rêve. Et le résultat fut à la hauteur de ses espérances puisqu'elle eut la mention Très Bien.
C'est pour cette raison que Pierre et Marjorie se préparent à partir, dans quelques minutes, pour une longue ballade en Italie.
La relation père/fille s'était renforcée après que la mère de Marjorie ait décidé de quitter le foyer familial pour un autre homme. Marjorie avait refusé de suivre sa mère car ne plus avoir son père près d'elle lui aurait été insupportable, tant elle voue à celui ci une admiration sans faille. Pierre avait traversé une période difficile à cette époque. Mais la présence de sa fille l'avait aidé à faire face, et depuis il consacre tout le temps libre que lui laisse son travail à sa fille et à son bonheur, sans chercher à refaire sa vie.
D'ailleurs, peu de monde vient s'immiscer dans leur petit cocon. Pierre, n'ayant pour toute famille qu'un frère, expatrié à Madagascar, ses relations se limitent à quelques collègues de travail. Marjorie, pour sa part, n'a que trois amies vraiment proches et les garçons ne sont pas sa priorité, leur préférant les livres et la danse, qu'elle pratique depuis l'enfance. Tous deux préfèrent passer du temps ensemble et entretenir leur relation fusionnelle.
Ding Dong. Ding Dong.
La carillon de la porte d'entrée retentit. Pierre, qui se trouve dans le garage lance de sa voix la plus forte:
"Ma chérie, tu peux ouvrir? Je suis en train de mettre les bagages dans le mobil-home!"
"Oui papou!"
Marjorie se dirige vers l'entrée. Un homme d'une cinquantaine d'année, souriant, apparaît derrière la porte. Il jette un coup d'oeil sur la sonnette pour y lire le nom inscrit.
"Bonjour Mademoiselle. Est ce que Monsieur Meyer est ici? J'ai une information à lui demander."
"Oui, un instant je l'appelle... Papou tu peux venir?! C'est un monsieur pour toi!"
À peine a-t-elle le temps de finir sa phrase que l'inconnu plaque sa main sur bouche et l'attire contre lui pour la maîtriser. Puis il l'entraîne à l'intérieur de la maison, refermant la porte d'un geste énergique du pied. Quelques secondes plus tard, alors que son père pénètre dans l'entrée, Marjorie sent le contact froid d'un canon de revolver contre sa gorge. Tout cela s'est passé si vite qu'elle n'a pas le temps de comprendre ce qui arrive et de prendre peur. C'est en voyant le visage décomposé de son père qu'elle devient consciente du danger.
"Toi, tu lèves les mains et tu restes sage ou je flingue la gamine!" ordonne l'inconnu d'un ton sec, n'autorisant aucune contestation.
Pierre obéit. Toutefois il interroge l'Homme.
"Qu'est-ce que vous nous voulez? Ne lui faites pas de mal. C'est ma fille..."
"Alors si tu veux que je lui fasse pas de mal à ta gamine, va falloir être bien sage et respecter les règles. Et la règle numéro 1 c'est qu'à partir de maintenant les questions c'est moi qui les pose, et règle numéro 2: vous ne parlez que lorsque je vous y autorise! Compris?"
Marjorie regarde son père acquiescer d'un mouvement de tête. Elle sent tout son corps trembler. Son coeur battre à pleine vitesse. Et si l'Homme ne la serrait pas contre lui, ses jambes se déroberaient sous elle.
"Y a qui d'autre dans cette baraque?"
"Personne. Nous vivons seuls tous les deux, ma fille et moi. Nous étions sur le point de partir en vacances..."
"Aah s'il te plait arrête les grandes phrases. J'aime pas les bavards, ça me rappelle mon abruti d'avocat... En tout cas je crois que j'ai frappé à la bonne porte, personne ne va s'inquiéter de pas vous voir. Allez conduis nous dans un endroit où on sera plus à nos aises pour discuter! Toi petite tu restes à un pas devant moi, et gare aux entourloupes... Je suis pas du genre patient."
Parvenus dans le salon, l'Homme ordonne à Marjorie et à son père de s'assoir dans le canapé, tandis que lui reste debout face à eux. D'un coup d'oeil, il repère la prise de téléphone qu'il débranche. Ensuite il leur confisque leur portable respectif.
"Très bien, comme ça on sera pas dérangés! Alors voilà le topo: je viens de me faire la belle, et j'ai de la volaille qui me colle aux basques. Mais comme je suis allergique aux plumes, j'ai besoin de me décontaminer et de laisser les poulets prendre leur envol. Donc on va passer un jour ou deux tous les trois, tranquille, en parfaite harmonie. Si vous vous tenez sage, il n'y aura pas le moindre soucis."
Il fait le tour du salon, jetant de temps à autre des coups d'oeil dans les couloirs comme pour chercher d'éventuelles issues en cas de besoin. Pour Marjorie, le stress ne diminue pas. Cet Homme, qui fait des aller-retour avec son arme à la main, l'effraie. Dans un réflexe enfantin, elle agrippe la main de son père. Pierre tente de la rassurer dans un murmure. Mais les mots ne l'apaisent guère. Seul le contact de leur deux mains la réconforte. Depuis toujours le contact physique avec son père a cet effet sur elle. Enfant, elle venait se blottir dans ses bras quand elle faisait un cauchemar, ou quand un orage grondait. Puis adolescente, c'est encore contre lui qu'elle venait chercher le calme après quelques disputes avec ses amis. Il n'y a que contre lui qu'elle se sent bien. Les deux ou trois garçons avec qui elle a eut une amourette et qui l'ont prise dans leurs bras ne lui ont nullement procuré ce bien-être.
"Dis moi Meyer, dans ta bicoque, y aurait pas une pièce sans fenêtre et qui ferme à clé?"
"La buanderie..." répond Pierre en indiquant la direction d'un geste du menton.
"Très bien, on va y aller. Ces cons de flics m'ont fait courrir et j'ai besoin de prendre une bonne douche, et je vais pas vous emmener tous les deux avec moi... Allez passez devant!"
Marjorie éprouve une certaine satisfaction à l'idée de ne plus avoir l'Homme et son arme sous ses yeux. Même être prisonnière dans une pièce sans fenêtre sera toujours mieux que d'être à proximité de ce monstre.
Arrivé devant la buanderie, l'Homme y jette un coup d'oeil afin de vérifier qu'il n'y a pas de possibilité de fuite, ni de quoi fournir à ses otages quelconque objet pour se défendre. Ceci fait, il fait signe à Pierre d'entrer. Quand son père est dans la buanderie, Marjorie lui emboite le pas. Mais l'Homme la retient par le bras.
"Ah non! Pas toi ma jolie... Toi, tu vas m'accompagner. Tu vas me frotter le dos..."
Dans un éclat de rire, qui glace encore plus le sang de Marjorie, l'Homme referme et verrouille la porte de la cellule improvisée. Ne tenant pas compte des cris de protestation et des appels à la pitié du père de la jeune fille. D'un geste de son calibre, il fait signe à cette dernière d'avancer.
"À la douche ma jolie!"
Résignée, Marjorie se dirige vers la salle de bain. Sur place, l'Homme ne met pas longtemps à se dévêtir devant elle. Autant que possible, elle détourne les yeux pour ne pas le regarder.
"Tu as quel âge ma jolie?" l'interroge l'Homme en prenant un ton plus doux.
"J'ai eu 18 ans le mois dernier." répond elle, tout en fixant le carrelage.
"Hummm à ton âge, tu as sûrement déjà vu le loup... Surtout quand on est une jolie petite poulette comme toi. Avec tout ce qu'il faut. Là où il faut."
"Je n'ai jamais rien fait avec un garçon...." avoue Marjorie dans un murmure à peine audible.
"Hein?! Rien?! Vraiment rien de rien?"
"Rien!"
"Ah bah la tu me troues le cul! Une gamine de 18 ans toujours pucelle! Moi je croyais que ça n'existait plus ces bêtes là. À part dans les contes de fée."
Marjorie n'écoute plus les commentaires de l'Homme. Elle ne pense qu'à son père, prisonnier dans la buanderie. Elle donnerait tout ce qu'elle a pour être dans ses bras protecteurs.
"T'as quand même déjà vu un mec à poil ma jolie?"
Ne pas répondre. Surtout ne pas lui faire l'honneur de se confier à lui.
Face au silence de la jeune fille, l'Homme renonce à ses questions. Mais uniquement à ses questions.
"Bon c'est bien joli de jouer les oies blanches, mais moi j'aime pas me retrouver dans la tenue d'Adam devant une jolie petite poulette toute habillée. Y a, comme qui dirait, un déséquilibre certain dans l'égalité des sexes. Alors va falloir que tu me retires tout ce que t'as sur le dos pour m'accompagner sous la douche. Et vite fait en plus!"
Le ton de l'Homme est sans appel, et les moulinets qu'il effectue avec son arme ne donnent nullement envie de résister. Pourtant, Marjorie ne parvient pas à bouger.
"Règle numéro 3: quand je demande quelque chose... ON M'O.BÉ.IT!!!!" s'emporte l'Homme.
"Qu'est ce que vous allez me faire?" ose toutefois la jeune fille.
"T'inquiète pas ma jolie. Je vais juste profiter du paysage. Ton pucelage n'a rien à craindre. Enfin pour aujourd'hui. Je me sent l'âme charitable... Par contre demain, je me vois bien te libérer de ton petit fardeau... Allez hop à poil! Moi j'ai besoin de cette sacrée douche, et c'est toi qui va me frictionner le dos."
Légèrement rassurée de ne pas avoir à supporter les assauts de l'Homme, Marjorie lui tourne le dos pour se dévêtir. Elle commence par son t-shirt, puis elle déboutonne son short et le laisse tomber de lui même le long de ses jambes fines de danseuse. Pas question de se pencher et que ses fesses se tendent en direction de l'Homme. Déjà qu'intérieurement elle se maudit d'avoir mis un string... Heureusement ce n'est pas le plus sexy de sa garde robe. Mais elle perçoit déjà le regard vicieux de l'Homme sur ses petites fesses musclées. Ces fesses que ses camarades de danse prétendent lui envier, mais qui à cet instant doivent éveiller de drôles d'envie à cet Homme. Ensuite elle dégraffe son soutien-gorge et le laisse tomber à terre. Tout son corps tremble.
Durant ses moments de plaisir en solitaire, elle a souvent fantasmé la première fois où elle serait nue devant un homme. Mais jamais il ne lui est venu d'imaginer une telle situation... Son désir le plus intense, même si elle sait très bien qu'il est impossible, est bien plus tendre.
"Retourne toi."
La voix de l'Homme a perdu toute agressivité.
Marjorie, dans un geste de pudeur, masque sa poitrine avec un bras avant de pivoter pour faire face à l'Homme.
"Ôte ton bras et retire ta culotte."
Rouge d'embarras, elle obtempére et dévoile sa poitrine. Habituellement, Marjorie est fière de ses petits seins ronds, aux tétons roses pâles, Elle admire régulièrement leur maintien dans le miroir de son armoire.
À présent, tout en continuant de fixer le sol du regard, elle retire son string. La dernière barrière qui séparait son sexe glabre du regard et de la convoitise de l'Homme est tombée. Elle redresse lentement la tête. À demie surprise, elle constate que le sexe de l'Homme, encore flasque quand il s'est déshabillé, semble s'éveiller. Au milieu d'un buisson broussailleux, l'engin prend du volume.
Marjorie ne sait pas si elle doit être gênée ou flattée d'être à l'origine de cette métamorphose. D'autant plus, qu'après une bonne minute de pose devant cet Homme, l'érection est totale.
Le temps semble s'être figé. Tous les deux restent ainsi sans bouger pendant un long moment. Une éternité pour la jeune fille, qui aimerait être dans les bras de son père.
Enfin l'Homme sort de son état hypnotique et invite sa captive à faire couler l'eau. Marjorie préfère s'activer plutôt que de rester immobile. Comme si ses mouvements lui permettaient de se draper d'un léger voile de pudeur. Même si elle sent toujours un regard scrutateur sur elle.
L'Homme finit par se glisser sous la pluie d'eau chaude qui s'écoule de la douche. Marjorie est comme aimantée par l'arme que celui-ci à déposer sur un meuble, à portée de main.
"N'y pense même plus. J'ai 15 ans de Légion derrière moi. Je t'aurai mise hors d'état de nuire avant que tu ais posé ta main dessus. Allez, viens me frotter. Ça sera plus raisonnable!"
N'ayant d'autre choix que d'obéir, la jeune fille entre aussi sous la douche. L'espace est si restreint qu'elle n'est plus qu'à quelques centimètres du corps nu de l'Homme. Seul le contact de l'eau lui fait du bien. Cette eau qui s'écoule sur elle. Imprègne sa longue chevelure chatain. Cette eau qui partiellement la purifie des contacts avec cet Homme.
Elle lui frotte le dos, les épaules. Lui, exprime sa satisfaction dans un grognement presque bestial. Sous ses mains, elle sent la musculature ferme et travaillée.
"Eh gamine! Ça doit faire 5 bonnes minutes que tu me masses les épaules... C'est pas que c'est désagréable, au contraire même, mais y pas que là qu'il faudrait que tu t'actives."
Marjorie descend alors ses mains sur ses reins. Elle s'accroupis pour atteindre le bas du corps. Elle penche la tête pour ne pas garder le fessier de l'Homme à hauteur de visage. Le plus rapidement possible, elle lui savonne et passe ensuite aux jambes. Quand il juge que c'est suffisant, l'Homme se retourne, sans laisser à Marjorie le temps de se relever.
"Et maintenant, le devant!"
Ce ne sont plus des fesses qui se trouvent, dés lors, face au visage de Marjorie. Mais un sexe dressé. Plutôt court mais large. Parcouru de petites veines saillantes. À l'extrémité cramoisie. Entouré d'une toison épaisse. Immédiatement, elle sait qu'elle rougit car son visage est en feu. L'Homme s'impatiente et lui ordonne de le nettoyer avec sa main et de n'arrêter que lorsqu'il le jugera nécessaire. Même si elle est vierge, Marjorie n'est pas stupide et comprend très bien qu'elle va devoir le masturber.
La sensation de ce sexe dans la paume de sa main la surprend. Elle n'avait jamais pensé que ce puisse être aussi dur. Ni que cela soit chaud.
Les deux ou trois premiers aller-retour elle les fait les yeux ouverts. Puis elle les ferme, et se rappelle...
Elle se rappelle de cette nuit où, nerveuse comme elle est parfois, elle ne trouve pas le sommeil. Elle se lève pour boire un verre d'eau et pourquoi pas, si la lumière de sa chambre est allumée, aller chercher du réconfort et de l'apaisement par une accolade entre les bras de son père.
Et justement, la lumière est allumée. Marjorie s'approche de la porte entrebaillée, et avant d'entrer, elle jette un coup d'oeil. Son père est allongé sur le lit. Entièrement nu. Son sexe gonflé dans sa main gauche. Avec ses copines, il lui est déjà arrivé de regarder des vidéos sur internet, d'y voir des hommes se caliner leur engin... Elle s'est même fait raconter à plusieurs reprises par son amie Lucie, la fois où cette dernière avait «branler» son copain... Donc elle comprend très bien ce que son père est en train de se faire. Et ce spectacle est bien plus troublant que tout ce qu'elle a pu voir sur écran. Plus excitant que les récits de Lucie, pourtant riches de détails. Non, là il s'agit de son père. En vrai. Devant ses yeux. Elle sent poindre en elle une douce chaleur que seules ses doigts, déjà experts, savent éteindre. Elle glisse alors sa main dans son short de nuit et entreprend d'accompagner à distance son Papou... Et lorsque ce dernier laisse échapper trois ou quatre jets de semence, Marjorie étouffe un petit cri de joie.
Profitant que son père saisisse du papier absorbant, elle regagne sa chambre discrètement. Sans perdre un instant, elle retire short et débardeur, puis s'allonge nue sur son lit, jambes écartées, et se livre sans retenue à la conquête de son propre plaisir. Celui ci arrivant très rapidement et avec une intensité qu'elle n'a jamais connue jusqu'ici.
Régulièrement Marjorie cherchera à être témoin des jouissances de son père, et les quelques fois où elle y parviendra, cela lui procurera le même plaisir. Le sexe de son père devenant, à partir de ce jour, la seule source de ses fantasmes.
Et c'est donc au sexe de son père qu'elle pense tout en faisant coulisser la queue de l'Homme dans sa main. C'est le sexe de son père qui est à l'origine de son désir grandissant.
Marjorie, totalement perdue dans ses souvenirs, n'entend pas l'Homme la prévenir. Et seul le premier jet de sperme sur son visage la ramène à la réalité. Suivi d'un autre. Les jets suivant sont moins puissants et laissent couler ce liquide chaud et épais le long de son poignet, avant d'être emporté par l'eau de la douche. Seuls les jets venus se perdre sur son visage mettent plus de temps à partir. Marjorie relâche le sexe décroissant de l'Homme pour se redresser et lever son visage vers le pommeau de la douche.
Marjorie est la première à sortir pour se sécher. Ensuite elle passe une serviette sèche sur tout le corps de l'Homme. Elle se hâte de le faire afin de quitter cette salle de bain et rejoindre son père.
Lorsque l'Homme est habillé, elle se dirige vers ses propres affaires. Et tandis qu'elle s'apprête à saisir son string la voix goguenarde de l'Homme lui lance:
"Eh du calme ma jolie... T'es très belle tu sais. Alors quel dommage de me priver d'un si beau spectacle... Tu vas donc rester toute nue."
"Mais je..."
"Shttt! N'oublie pas les règles. Tu fais ce que je te dis. Et ne crains rien, avec cette chaleur, tu ne vas pas avoir froid à ton joli croupion ma poulette!"
Puis s'approchant d'elle, il lui dépose une petite tape sur les fesses.
"Allez, on va rejoindre ton paternel. Si c'est un vrai homme, il sera ravi du spectacle lui aussi."
À suivre

Par intales - Communauté : histoires coquines sans tabous
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