Samedi 15 novembre 6 15 /11 /Nov 00:02

Mon nom est Benjamin R. À 21 ans, je peux me considérer comme un jeune homme privilégié. Alors que je suis toujours étudiant en fac de Lettres Modernes, j'ai publié un livre d'héroic fantasy qui a véritablement cartonné: 100 000 exemplaires vendus en quelques mois.

Ma maison d'édition s'est empressée de me faire signer un contrat d'exclusivité pour mes trois prochains livres, à sortir dans les cinq ans qui viennent. De plus, comme l'histoire de mon livre se déroule sur une île, mon éditeur m'a offert un mois de vacances, tout frais payés, sur l'île de Majorque, aux Baléares. Bon, pour celles et ceux qui ne sont pas doués en géographie, les Baléares sont un groupe d'îles en Méditerranée, à 80 km des côtes espagnoles. Et bien sur, l'endroit le plus connu de l'archipel est IBIZA!!!

Ah je vois que cela vous parle davantage! Sans doute êtes vous en train de vous dire que ce mois sera synonyme de fêtes, boites, alcool et autres divertissements en tout genre. Et bien détrompez vous. Eh oui, désolé! Je suis ici pour travailler et rédiger les premiers chapitres de ma nouvelle histoire. À la grande déception de ma petite amie qui m'accompagne. Elle aimerait que nous sortions davantage, mais malheureusement pour écrire j'ai besoin d'avoir une vie parfaitement réglée. Ici, par exemple, mon emploi du temps est assez strict. Tout d'abord lever à 7h30, puis 45 minutes de footing sur la plage et retour à l'appartement. Douche puis petit déjeuner. Ensuite à 9h, je prend mon ordinateur, mon ipod et je m'installe, chaque jour, à la terrasse du même bar avec vue sur la mer où je travaille jusqu'à 13h (sympa le bureau non?). Enfin je rentre à l'appartement. Je déjeune puis je pars à la plage ou alors je me ballade avec ma chérie, Jeanne.

Et aujourd'hui, comme tous les autres jours,rien ne me fera changer mes habitudes. Rien sauf une certaine Mathilde...

 

 

Voila donc près d'une semaine que je vis à ce rythme.

Je finis de relire les dernières pages que j'ai écrites. Satisfait du travail accompli ce matin, je ferme mon ordinateur portable et regarde pendant, quelques minutes, le paysage paradisiaque qui s'offre sous mes yeux. Au large, on devine les formes mouvantes de petits bateaux de tourisme. J'imagine ces familles effectuant une croisière des plus agréable.

L'agitation grandissante autour de moi me fait prendre conscience de l'heure. Il est temps de rentrer à l'appartement.

Je salue Roger, le patron du bar. Cet anglais si amical est un ancien hippy, comme il y en a tant ici. Lorsque ses illusions sur la vie en communauté et le «power flower» se sont envolées, il est resté sur l'île et a ouvert ce bar-restaurant avec son compagnon. Ils m'ont accepté dès le premier jour, lorsque je cherchais un endroit où travailler.

 

- À demain Roger!

- A la mañana Ben! Et embrasse ta petite Jeanne pour nous! me répond-il avec son accent british toujours aussi présent malgré 40 ans de présence sur l'île.

 

Jeanne, tiens justement. Je lui envois un sms pour l'avertir que je rentre. Elle m'explique qu'elle est partie faire les magasins dans le centre et qu'elle mangera sur place. Nous nous donnons alors rendez-vous pour 15h, près d'un marchand de glace que nous fréquentons régulièrement.

 

Tranquillement, mes pas m'entraînent sur le chemin qui mène à notre résidence. Une brise venant du large tempère les effets d'un soleil déjà haut dans le ciel. Mes pensées se tournent vers ma Jeanne.

 

Voilà deux ans déjà que nous sommes ensemble, même si je la connais depuis l'enfance. Nous avons grandi l'un à côté de l'autre puisque nous sommes voisins depuis toujours. D'abord amis, nous nous sommes rapprochés au décès de son frère (qui était mon meilleur ami). On s'est soutenu durant ces jours difficiles. Et lorsque la douleur s'est estompée pour laisser de nouveau place à la vie, Jeanne était devenue bien plus qu'une amie. Et un soir d'été, voyant un garçon tenter sa chance auprès d'elle, j'ai compris que je l'aimais et que je voulais bien plus que ce qui nous rapprochait. Je me rappellerai toute ma vie de cet instant.

Nous étions à une fête organisée par quelques-uns de mes camarades. J'avais obtenu l'autorisation de ses parents (elle avait 15 ans à l'époque) pour que celle-ci m'accompagne. Un des invités s'était rapidement intéressé à elle, faisant naître en moi un sentiment d'intense jalousie. À un moment, ce garçon s'est mis à lui murmurer des choses au creux de l'oreille, à passer son bras autour de sa taille. C'en était trop pour moi. Je me suis rapproché d'eux. Sans un mot, j'ai pris la main de Jeanne, je l'ai attiré vers moi et, sans attendre une seconde de plus, je l'ai embrassé devant ce pauvre garçon qui affichait un air médusé. Par la suite, ma chérie m'avoua qu'elle aussi était amoureuse de moi. Et à écouter mon entourage, lorsque notre relation devint officielle, j'étais le seul à ne pas avoir vu son amour pour moi.

Depuis, même si nous vivons toujours chez nos parents, nous passons la plupart de nos nuits chez l'un ou chez l'autre.

Deux ans déjà...

 

L'esprit rempli de ces souvenirs, je me suis à peine aperçu que mes pas m'ont conduit aux pieds de la résidence de tourisme où se trouve notre appartement. Une voix, toutefois, me ramène à la réalité.

 

- Monsieur! Monsieur!

 

Je lève la tête en direction du balcon d'où vient la voix.

 

- Excusez-moi, vous êtes français, non?

 

J'adresse un oui de la tête à la jeune fille qui m'interpelle.

 

- Je suis désolée de vous déranger, m'explique-t-elle, mais mes parents sont partis en excursion pour la journée et j'ai besoin d'aide. Peut-être que vous pourriez...

 

Cette fille a pourtant l'air très jeune, mais il se dégage d'elle une sensualité incroyable. Un visage d'ange. Une voix douce. Une silhouette ravissante.

Le vent qui caresse lentement la façade de la résidence soulève ses longs cheveux... Ainsi que la tunique qu'elle porte. Et vu de ma place au rez de chaussée, je ne peux ignorer que cette tunique est son seul vêtement. Par instant son pubis, dépourvu de pilosité, est parfaitement visible.

Consciente que mon regard se promène vers son intimité, elle rabat sa tunique et me dit en souriant:

 

- 1er étage, 2ème porte à gauche.

 

 

En grimpant les marches de l'escalier qui me conduit au 1er étage, toutes mes pensées se sont focalisées sur cette jeune fille désirable, sur ses formes aperçues, et sur ce violent désir qui naît en moi.

Devant la porte, je perd les derniers scrupules que je peux encore avoir. Je lève la main pour frapper à la porte, mais celle-ci s'ouvre déjà.

Ma charmante inconnue m'invite à entrer.

 

- Merci d'être venu. Moi c'est Mathilde.

- Benjamin... Quel est votre problème?

- Suivez moi, c'est par là.

 

Elle passe devant moi pour me conduire au salon. De plus prêt, la tunique se révèle presque transparente. Les formes de Mathilde sont parfaitement visible. Que ce soit son dos, sa chute de rein, ses fesses musclées. Mon Dieu, cette fille est la tentation incarnée! Sa démarche féline ne fait qu'attiser mon envie.

Parvenus au salon, elle me désigne du doigt un ordinateur portable sur une table basse.

 

- Je devais contacter ma meilleure amie sur Skype, mais ça ne veut pas marcher.

 

Je prend place sur le canapé et commence à chercher l'origine de cette panne. Il me faut toute ma détermination pour ne pas lever sans cesse les yeux de l'ordinateur pour regarder Mathilde qui vient de s'assoir en tailleur sur un fauteuil face à moi. En tailleur!!! Son sexe largement dévoilé!

Bon sang! J'ai l'impression que la température de la pièce vient de grimper en flèche. À vrai dire, il n'y a pas que la température qui grimpe... Dans mon boxer, mon sexe a atteint sa taille maximale, et prisonnier, il devient gênant.

 

- Alors c'est grave? me questionne la jeune fille.

- Euh non. Votre WIFI n'était pas paramétrée comme il faut. Maintenant ça fonctionne.

- Oh merci beaucoup. Sans vous je ne sais pas comment j'aurai pu faire.

 

Le ton de sa voix laisse percer comme une pointe d'ironie.

 

- Comment pourrai-je te remercier? ajoute-t-elle

 

Sa position devient de plus en plus provocante. Impossible de ne pas voir qu'elle joue avec mon désir.

 

- Ah si je sais! Un verre peut-être? Rhum-coca?

 

J'accepte d'un signe de tête. Mathilde disparait dans la cuisine, d'où me parvient des bruits de verres.

 

- C'est vraiment un coup de chance de tomber sur un français ici. Tu es en vacances sans doute. Tu fais quoi dans la vie? me lance-t-elle, de l'autre pièce.

- Je suis étudiant et écrivain.

 

Je l'entend revenir. Et lorsqu'elle pénètre à nouveau dans le salon, mon coeur est à deux doigts de s'arrêter: Mathilde est à présent totalement nue! Elle s'approche de moi. Son corps parfait n'est qu'à quelques centimètres de moi.

 

- Ça ne te dérange pas si je me met à l'aise? Il fait une de ces chaleurs ici...

 

Elle me tend mon verre et reprend sa place sur le fauteuil face à moi. J'avale une gorgée du liquide brun. La dose d'alcool y est très importante. Décidément cette Mathilde a décidé de me mettre le feu.

 

- Tes parents pourraient revenir. Et dans ta tenue...

- Non, ne t'inquiète pas, ils ne rentreront pas avant la nuit. Nous avons tout notre temps!... me replique-t-elle.

- Nous?

- Oui. Toi et moi... Pour faire plus largement connaissance.

 

Tout en prononçant ces mots, elle écarte les cuisses. Et pas besoin d'être très proche pour voir qu'elle est toute mouillée.

 

- Je... Je... C'est que je ne suis pas seul. Je suis ici avec ma copine, et nous devons nous retrouver à 15h.

 

Elle jette un coup d'oeil sur la pendule murale qui indique 13h23.

 

- Alors nous avons 1 heure et demie devant nous.

 

Elle vide son verre d'une seule rasade, et le pose sur la table. Elle en retire un glaçon qu'elle léche de manière on ne peut plus suggestive.

Ensuite, elle fait glisser le glaçon sur son menton et continue en direction de sa poitrine. J'ai déjà eu l'occasion de voir ce genre de scène dans des films, mais le voir en vrai, là, sous mes yeux... Mon coeur bat rapidement, mon sang bouillonne, mes sens s'échauffent.

 

- Tu n'as pas chaud? me demande-t-elle avec sa voix de tentatrice?

- Si... mais je te l'ai dit: je ne suis pas seul.

- Hummm quelle chance elle a. Tu ne l'as jamais trompé?

- Non.

 

Mathilde se redresse et quitte le fauteuil pour venir face à moi. Elle pousse alors l'ordinateur portable et s'assied sur la table basse. Elle me saisit une main et se met à me sucer un doigt.

À gorgées rapides, je vide mon verre. L'alcool me grise. Je perd toute envie de résister. Si bien que lorsque la jeune fille guide ma main sur son sein, je le saisi volontairement à pleine paume. Sans aucune retenue, je lui palpe les seins. Ces deux globes de chair ferme et chaude. Je rapproche visage pour associer ma bouche à ces caresses. Mais Mathilde me prend la tête entre ses deux mains et plaque sa bouche sur la mienne. Sa langue force le passage pour venir chercher la mienne. Un baiser fort et intense.

Quand ma partenaire retire ses mains de mon visage, c'est pour venir me dévêtir. Je la laisse faire. Elle me retire mon t-shirt, puis me fait mettre debout pour baisser mes pantalon et boxer. Ma queue, dressée avec toute sa vigueur, est face à son visage. Sans plus attendre, sans caresses qui retarderaient le plaisir, elle le prend dans sa bouche. Comme pour ses baisers, Mathilde agit avec force et intensité. Comme si elle agissait dans une sorte d'urgence. Sans romantisme. Du sexe à l'état brut. Du sexe sans amour. Bien loin de la douceur de mes ébats amoureux avec Jeanne. Mais c'est tout aussi troublant.

Ma jeune maitresse semble prendre plaisir à faire entrer ma queue toute entière dans sa bouche, jusqu'au début de sa gorge. En même temps, sa main droite me caresse les testicules. Les seuls instants où mon sexe s'échappe de son emprise si délectable, c'est pour qu'elle puisse me dire:

 

- Je suis certaine que ta femme ne t'a jamais sucé comme ça.

 

Je ne lui dis pas qu'elle a raison, et pourtant c'est la vérité. Avec Jeanne nos corps à corps sont plus voluptueux. Nous faisons l'Amour. Là, Mathilde et moi sommes en train de baiser, sans limite et sans morale.

Quelques minutes de ce plaisir intense me conduisent aux portes de l'extase.

 

- Je vais... jouir! dis-je pour avertir Mathilde afin qu'elle puisse ôter mon sexe de sa bouche.

 

Mais elle n'en fait rien. Au contraire, elle me suce et me masturbe avec encore plus d'énergie. Je jouis donc dans sa bouche. Mon sperme s'écoule directement de mon sexe vers sa gorge. Elle l'avale bruyamment. Elle paraît ravie de recevoir ma semence de cette manière. Encore une chose que Jeanne n'aurait jamais accepter de faire.

 

Quand mon sexe cesse de libérer son fluide, ma tentatrice se lève de la table basse. Au passage, je peux voir une trace humide à l'endroit où se trouvait son sexe...

Elle se met à genoux devant la table, place ses mains de chaque côté. D'un mouvement de tête élégant, elle fait basculer sa longue chevelure d'un même côté. Puis, elle m'adresse un regard des plus provocants. Ses yeux, d'un mélange de vert et de marron, sont d'une grande beauté. Et ses quelques tâches de rousseur sont comme une touche supplémentaire de charme sur ce visage mi-ange mi-démon.

 

- Viens! m'ordonne-t-elle.

 

Je me place derrière elle. Mon bas ventre contre ses fesses, mes mains sur ses seins. Je la caresse et je l'embrasse. Une de mes mains descend très rapidement sur sa petite chatte ruisselante. Avec deux doigts j'entreprend de la pénétrer.

 

- Hmmmmm! Ouiii!

 

Son vagin chaud, moite et étroit épouse mes doigts qui s'activent. Je vais de plus en plus vite. Son sexe libère de plus en plus de cyprine qui s'écoule sur ma main. Je retire mes doigts de son sexe et viens les mettre devant sa bouche. Elle m'adresse un petit sourire. Loin d'être repoussée par la présence de sa mouille sur son index et mon majeur, elle les prend entre ses lèvres et les nettoie de ce liquide.

Je rebande comme un fou. D'une main, je pousse sur ses épaules et de l'autre je l'invite à tendre davantage sa croupe vers moi. Je lui caresse deux trois fois le clitoris avec mon gland, puis je la pénètre sans ménagement.

 

- Aaah c'est bon! Met la moi bien au fond!

 

Elle hurle presque lorsque je commence à la pistonner. En temps normal je hais les filles qui sont vulgaires et expressives de la sorte quand je leur fais l'amour. Mais là, je ressens comme une surdose d'excitation.

Mathilde et moi sommes transportés dans un plaisir brutal que rien ne peut arrêter.

Je la prend violemment. Chaque coup de rein la fait gémir, presque crier de plaisir. À chaque fois, je fais pénétrer ma queue extrêmement dure, le plus profondément possible. Ma partenaire a du mal à garder le haut du corps relevé. Elle se met alors presque à plat ventre sur la table basse. De son visage tourné vers la droite, je vois ses yeux fermés, ses joues rouges, sa bouche ouverte pour chercher de l'air et laisser des "han" de plaisir s'échapper.

Cette jeune demoiselle aime être prise avec force? Être malmenée? Qu'il en soit ainsi! Je vais en profiter. Je me retire de son sexe et glisse un doigt sur son anus.

 

- Mais... commence-t-elle.

- Chuuut!!!! Tu voulais faire des choses que ma copine ne me fait pas? Alors va jusqu'au bout!

 

Désireuse de relever ce défi, Mathilde se tait. Je peux alors commencer à préparer son "autre" trou à me recevoir. Je pousse sur son anneau resserré pour faire entrer le bout de mon doigt. Puis, je le fais aller et venir plusieurs fois, l'enfonçant toujours plus profondément. Ensuite, j'associe un deuxième doigt couvert de mouille, pourqu'il pénètre plus facilement. Ma victime consentante gémit de douleur.

 

- Caresse ton clitoris, ça t'aidera à aller mieux.

 

Obéissante, elle plaque sa main sur son sexe et se titille son petit bouton.

Prenant mon temps, je lui doigte l'anus pour qu'elle se sente prête à me recevoir de ce côté. Et lorsque je la devine détendue et suffisamment décontractée, je prend une capote (J'en ai toujours avec moi puisque Jeanne ne prend pas la pilule) et la place sur mon sexe en parfaite érection.

Mon gland, ainsi enveloppé, prend donc la direction de ce trou étroit. Les premiers instants, Mathilde se mord la lèvre inférieure pour ne pas crier de douleur. Je ne tarde pas à bouger mon bassin pour que mes va-et-viens lui procurent du plaisir au lieu de cette douleur des premiers instants. Quelques secondes plus tard, ma partenaire ne semble plus avoir mal, mais bien au contraire, d'apprécier cela bien plus qu'elle ne n'aurait imaginé.

Je peux donc me livrer sans retenu. Attrapant les hanches de Mathilde, je laisse libre court à ma frénésie de sexe et de désir. Je me délecte de l'étroitesse de son petit cul, je me régale du bruit que fait mon pubis lorsqu'il vient frapper cette paire de jolies fesses.

Elle jouit la première, provoquant en moi ma seconde envie d'éjaculer. Je me dégage de son anus et retire précipitamment mon préservatif. Tout en maintenant Mathilde couchée sur la table basse, d'une main sur le dos, je me branle avec vigueur.

Un premier jet de sperme jaillit pour venir s'abattre sur le creux de ses reins. Les suivants retombant sur ses fesses.

 

 

 

Couchés sur le sol, ma partenaire vient poser sa tête sur mon torse.

- Alors Monsieur l'écrivain est comblé?

- Comment ne pas l'être?!?

- Rien de tel qu'un petit jeu de rôle pour pimenter  notre vie de couple mon amour!

- En tout cas, tu m'as vraiment surpris avec des capacités que je ne te connaissais pas, mon coeur.

- Sans doute qu'en prenant mon deuxième prénom pour ce jeu, j'ai libéré une autre facette de ma personnalité: Jeanne la douce - Mathilde la fougueuse.

- Ma femme et ma maitresse en une seule et unique personne! Quel heureux homme je suis!

Par intales
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Samedi 15 novembre 6 15 /11 /Nov 00:00

Assise au dernier rang de la salle de classe, j'attend la fin du cours de math, distraite par je ne sais quelles pensées. Surtout ne vous imaginez pas que je déteste les maths. Au contraire, j'adore ça! Le problème c'est que je comprend très rapidement. Beaucoup plus vite que la moyenne même. Donc il m'arrive, comme aujourd'hui, de partir dans mes rêves tout en gribouillant sur une feuille pendant que le prof explique pour la énième fois le théorème du jour.

Je suis sortie de mes pensées par un de mes camarades qui m'appelle, le plus discrètement possible. Je le regarde et il me tend un petit papier plié en 8. Tout en saisissant le papier et en le dépliant, je me dis qu'il doit certainement provenir de Clara, une de mes camarade qui se trouve quelques rangs devant moi. Mais l'écriture que je découvre n'est pas la sienne.

«Tu t'ennuies toi aussi?» et c'est signé P.

Il ne me faut qu'un instant pour comprendre qu'il s'agit de Pauline. Tout d'abord parce qu'elle est la seule personne de ma classe à avoir un prénom commençant par cette lettre, et parce qu'elle à la tête tournée dans ma direction.

Étonnée, je lui adresse un oui de la tête. Mais pourquoi cette fille me demande-t-elle ça?

 

Peut-être devrai-je vous parler un peu d'elle. Tout d'abord sachez qu'elle et moi ne sommes pas particulièrement copines. Pas ennemies non plus. Non, c'est juste que nous ne nous parlons pas. Chacune dans son monde, chacune ses amis. Et elle, des amis, elle n'en manque pas! Il faut dire que la "mère Nature" l'a dotée d'un physique exceptionnel: assez grande, fine, une poitrine qui semble être parfaite, de beaux cheveux chatain clair. Et surement les plus beaux yeux verts que j'ai jamais vu. Bref elle est super canon. Et qui dit jolie fille, dit horde de mecs qui lui tournent autour. Elle et moi n'avons donc que peu d'occasions de discuter.

 

La sonnerie retentit enfin. Je rassemble mes affaires et me dirige dans la cour du réfectoire. Derrière moi, j'entend qu'on m'appelle.

- Eloïse!

Je me retourne et je vois Pauline qui s'approche de moi.

- Eloïse... répète-t-elle.

- Euh oui, c'est bien mon prénom.

Elle me sourit.

- J'ai vu que tu avais l'air de dessiner pendant le cour. Tu t'ennuyais autant que moi sans doute. me dit-elle, toujours le sourire aux lèvres.

Un peu méchamment, je dois l'admettre, une petite voix en moi me dit que si moi je m'ennuie c'est parce que je comprend trop vite, alors qu'elle se doit être uniquement parce qu'elle se moque des maths. Les garçons étant surement une matière bien plus passionnante pour elle. Nul doute que mes réflexions doivent se lire sur mon visage car elle se met à rire.

- Oh je sais ce que tu te dis.

Puis me prenant par le bras, elle m'entraîne vers la cantine du lycée en m'expliquant:

- Tu vois j'aime apprendre. Les maths en particulier. Sauf que je n'aime pas la manière dont elles sont enseignées au lycée.

- Toi?! Tu aimes...

- Et oui! Tu te dis probablement qu'une fille aussi superficielle que moi, qui passe son temps avec les gars ne peut pas avoir de cerveau équipé pour apprendre. Tu sais, je montre ce que j'ai envie de montrer. Et il ne faut pas se fier aux apparences. Les mecs ne sont qu'une apparence. Qu'une illusion. Un jeu. Je m'amuse de leur bêtise et de leur fierté de mâles. Je sais ce qu'il se dit sur moi. Et crois moi, il y a beaucoup de choses fausses, totalement à l'opposé de ce que je suis réellement.

- Je dois dire que je suis très surprise. lui dis-je.

- Je sais que tu l'es. Oh oui, je le sais...

 

Au fil des semaines suivantes, Pauline et moi devenons très amies. Nous passons énormément de temps ensemble, au lycée comme en dehors. Nous dormons régulièrement l'une chez l'autre. On travaille nos révisions ensemble. Ma nouvelle amie devient aux yeux de tous la fille studieuse qu'elle n'a jamais manqué d'être en réalité. Au début de notre amitié, certaines personnes ont tenté de me mettre en garde, m'expliquant que Pauline aurait une mauvaise influence sur moi. Mais le temps leur a montré que c'est l'inverse qui s'est produit. Elle est devenue plus réservée en apparence, et elle s'est éloignée des garçons de sa propre initiative. D'ailleurs ceux ci ont finit par l'éviter. À croire que les mecs ne supportent pas d'être avec une fille plus intelligente qu'eux (ce qui n'est pas si difficile à bien y regarder).

 

Un vendredi soir, comme ça se produit souvent, Pauline vient dormir à la maison. Peu après le diner avec mes parents, nous montons dans ma chambre afin de travailler sur un exposé de SVT que nous devons présenter la semaine suivante. Allongées sur mon lit, nous faisons les recherches dont nous avons besoin, et préparons le plan. Je me met ensuite au clavier pour commencer à le rédiger.

Le premier paragraphe terminé, Pauline me fait remarquer que j'ai fait une faute. Je lis, je relis sans voir où se situe la faute en question. Elle se rapproche de l'écran, et de moi par la même occasion, pour m'indiquer où est l'erreur. À cet instant son visage est tout proche du mien. Si proche que je peux sentir la chaleur de sa peau. Je ne peux m'empêcher de la regarder. De l'admirer même, tant elle est belle. Mon amie ne s'aperçoit pas que je la fixe avec autant d'intensité. Et quand elle finit par tourner son visage vers le mien, un instinct presque animal me pousse à l'embrasser sur les lèvres. Pauline ne se dérobe pas. Bien mieux : lorsque mes lèvres se détachent des siennes, c'est elle qui s'approche de moi, ouvrant légèrement la bouche pour venir chercher un autre baiser. Mais avant que nos lèvres ne se rejoignent à nouveau Pauline se ressaisit.

- Mais tu fais quoi là?

Sa voix s'est faite glaciale. Je ne sais quoi lui répondre puisque j'ignore moi même ce qui m'a pris. Tout ce que je sais, c'est que jamais un baiser ne m'avait cette sensation. À la fois si douce et si intense. Alors qu'elle me repose une nouvelle fois la question, la colère la gagne. Et mon silence n'arrange rien. Pauline se lève, rassemble ses affaires qu'elle met dans son sac et quitte précipitamment la chambre.

Je me lance à sa poursuite pour la retenir, mais en vain. Elle part de chez moi sans m'adresser le moindre mot.

 

Pendant les deux mois qui suivent Pauline m'ignore, m'évite. Elle redevient la fille qu'elle était avant. Peut-être même pire. Flirtant avec toujours plus de garçons, prenant même un malin plaisir à les embrasser lorsque le hasard veut que je sois non loin d'elle.

Chaque soir dans mon lit, je me vide de toutes mes larmes accumulées au cour de la journée. Son absence et la douleur que je ressens me font comprendre à quel point elle est pour moi bien plus qu'une amie...

 

Puis un jour, au détour d'un couloir, je heurte Pauline qui arrive en sens inverse. Mon coeur se met à battre à toute vitesse. Je ne sais pas ce que je dois faire. Ma tête me dit de faire un pas de côté, mais mes jambes refusent de bouger. Nous restons face à face un long moment. Puis je finis par lui dire que je suis désolée. Elle comprend évidemment que ces mots n'ont rien à voir avec notre collision.

- Tu n'as pas à l'être! me répond-elle à ma grande surprise. On n'est pas responsable de ses sentiments.

Après un moment de silence, elle poursuit :

- Viens chez moi après les cours. Il faut qu'on parle.

 

Le soir venu, je me rend donc chez elle, particulièrement stressée. Je sonne à la porte. Son père m'ouvre. Il semble surpris de me voir. Il faut dire que c'est assez normal après deux mois "d'absence". Il m'invite à entrer, puis appelle sa fille. Mon ex-amie vient me chercher et me conduit dans sa chambre, comme nous le faisions auparavant.

- Je dois reconnaître que... tu me manques! m'avoue Pauline alors que nous nous asseyons sur son lit. Nous avons passé des super moments toutes les deux, et j'ai laissé un petit truc détruire tout ça.

- Ne te rend pas coupable. C'est moi qui t'ai embrassé!

- Ne dis pas n'importe quoi Eloïse, tu sais aussi bien que moi que je t'ai rendu ton bisou au début. Je ne sais pas ce qui m'a pris...

- Tu as surement fait ça par réflexe, uniquement! expliqué-je.

- Non... C'était... Bien plus que ça.

Dans ma tête c'est la confusion. Si c'était vraiment bien plus que cela, pourquoi m'ignore-t-elle depuis deux mois?

Puis hésitante, elle reprend :

- Je crois que... que dans le fond j'en avais envie tout autant que toi.

- Dans ce cas, pourquoi me fais tu la tête depuis ce jour-là?

Il y a dans ma question bien plus d'agressivité que je ne le souhaite, mais je ne peux retenir cette incompréhension et cette colère qui monte en moi. Elle m'explique alors, en baissant les yeux :

- Mais parce que... Bon voilà je n'arrive pas à accepter le fait d'avoir des sentiments pour une autre fille. Ça a l'air si bizarre.

- Fuir tes sentiments! C'est ça qui est bizarre. En quoi c'est bizarre d'être amoureuse d'une fille au lieu d'aimer un garçon?

- Ce... Ce n'est pas normal!

- Mais c'est quoi être normale?

Sans même m'ennuie apercevoir, je me suis penchée vers elle. Nos têtes ne sont plus qu'à quelques centimètres l'une de l'autre. Je peux sentir sa respiration chaude sur mon visage, ce qui me fait frissonner. Je la vois rougir. Je me penche alors un peu plus. Je m'efforce de paraître plus sûre de moi que je ne le suis en réalité. Je lui caresse la joue avec deux doigts, avant d'embrasser l'autre joue, tout près de ses lèvres.

- Il n'y a rien de mal...

Ma voix n'est plus qu'un murmure à son oreille.

- Non... me répond-elle.

Je la regarde droit dans ses beaux yeux verts puis je l'embrasse sur la bouche. Et lorsque ses lèvres s'entrouvrent, je fais glisser ma langue à l'intérieur. Je la serre entre mes bras, tandis qu'elle passe les siens autour de mon cou. Presque aussitôt nous nous retrouvons allongées sur son lit. Avec une audace qui me surprend moi même, je glisse mes mains sous sa jupe. Je lui caresse les cuisses, remonte sur ses fesses pour venir frôler son sexe à travers le tissus de sa culotte. Sa cyprine en imprègne le tissus. Nos baisers deviennent de plus en plus torrides au fur et à mesure que notre désir augmente. Toutes ces semaines de manque et de frustrations semblent vouloir se rattraper en si peu de temps. Nos corps, si longtemps bridés, laissent exploser ce désir dans une fuite en avant que rien ne peut arrêter...

 

"Toc toc toc"

Alors que je commence à faire descendre la petite culotte de Pauline, trois coups sont frappés à la porte.

D'un bon, nous nous redressons. Nous avons à peine le temps de prendre une position normale que la mère de Pauline passe la tête par la porte qu'elle vient d'ouvrir.

- Le dîner est prêt. Tu veux rester manger avec nous, Eloïse?

Je regarde l'heure et je constate qu'il est déjà tard et que je devrais être rentrée. Mais combien de temps nous sommes nous embrassé?

Je décline l'offre poliment, et je rentre chez moi. En marchant, je ne peux que me rendre compte à quel point mon shorty est tout aussi humide que l'était la culotte de Pauline.

Plus tard dans mon lit, je me fais jouir à trois reprises. Les baisers, le corps et les câlins de ma chérie restent encore présents sur ma peau. Oui elle est ma chérie.

J'endors, tout en restant étonnée de mon audace et heureuse d'assumer mon amour pour Pauline.

 

Le vendredi soir qui suit nos retrouvailles, je quitte le lycée en compagnie de Pauline. Ses parents partant pour le week-end, nous avons obtenu la permission de le passer toutes les deux ensemble. À notre arrivée à son domicile, Monsieur et Madame L. sont encore en train de préparer leurs affaires. Avec Pauline, nous leur proposons notre aide. Oh surtout ne croyez pas que nous faisons ça par pure gentillesse. La vraie raison est que plus vite les bagages seront prêts, plus vite nous serons enfin seules. Bien évidemment les parents de Pauline ignorent tout du virage qu'a pris notre relation. Pour eux, il ne s'agit que d'un week-end entre amies.

 

Lorsque la voiture des parents disparait au coin de la rue, Pauline me tire par le bras à l'intérieur de la maison. Faisant claquer la porte derrière nous, elle se jette littéralement sur moi. Jamais jusqu'à cet instant personne ne m'a embrassé de la sorte. Je me retrouve plaquée contre un mur. Subissant la tendre contrainte de sa langue contre la mienne. Ses mains virevoltent partout sur moi. Elle m'entraîne vers le salon. Son petit manège me rend folle de désir.

Nous voilà allongées sur la canapé. Ou disons plutôt que je suis étendue sur le canapé et ma chérie est couchée sur moi. Nos bisous amoureux ne faiblissent pas. Ma position me permet de glisser une main dans son leggins et de pouvoir palper ses fesses. Sous mes doigts, je découvre une peau tellement douce. Mon autre main caresse son dos en s'aventurant sous son haut.

Je me délecte de cet instant. Tout vient si facilement. Comme vous le savez, j'ai souvent fantasmé sur le corps d'une femme lorsque, nue devant mon miroir, je me faisais jouir (relisez Eloïse 1). Mais jamais je n'aurai pu imaginer que ce soit aussi agréable.

 

Ma main sous le haut de Pauline, atteint l'agrafe de son soutien gorge. Tant bien que mal, je parviens à le détacher. Ma belle chérie délaisse ma bouche et se redresse. Son visage souriant est rouge, ses cheveux en pagaille. À vrai dire je ne dois guère être mieux. J'ai si chaud. Mais c'est la chaleur du désir et de l'amour.

Pauline retire son haut, finit d'ôter son soutien-gorge. Sa poitrine que je devinais si belle, l'est encore plus que je ne le croyais. Bien ronds, aux extrémités pas plus large qu'une pièce d'un euro. Les tètons dressés.

- Hey mais arrête de me mater comme ça, petite perverse! me lance-t-elle, dans un grand éclat de rire. Ou alors... Si tu veux regarder, il va falloir faire en sorte que j'ai de quoi m'occuper les yeux et... autre chose...

Joignant le geste à la parole, elle commence à me soulever mon tee-shirt. Pour la première fois, je perd mon assurance.

- Attend Bébé, il faut que je te dise un truc. Je... je ne l'ai jamais fait avec qui que ce soit.

Toujours souriante, Pauline me répond :

- Moi non plus! Tu es ma première fois.

- Ta première fois avec une fille, alors que moi j'ai jamais fait ça avec personne. Personne!

Elle m'embrasse du bout des lèvres.

- Non tu es ma TOUTE première fois aussi.

- Mais tous les...

Pauline plaque doucement sa main sur ma bouche pour me faire taire.

- Chuuut... Je te l'ai déjà expliqué. Il se dit beaucoup de choses fausses sur moi. Celle-ci en fait partie.

Elle remplace alors ses doigts par ses lèvres sur ma bouche, avant de me murmurer:

- Déshabille-moi!

Évidemment je le fais sans attendre. Son leggins et sa culotte rejoignent ses autres affaires sur le sol. Et c'est alors à son tour de me dévêtir. Ses coups d'oeil tendres et charmeurs ne parviennent pas à faire diminuer le trac qui s'est emparé de moi.

- T'es divinement belle mon coeur.

Ses mots me touchent autant qu'ils m'apaisent. Pauline me prend dans ses bras et me serre contre elle. Le premier contact de nos deux corps nus! Un frisson me parcourt.

- Tu as froid? demande-t-elle en me serrant encore plus comme pour me réchauffer.

- Non, je t'aime c'est tout.

 

Pauline me prend par la main et m'entraîne dans sa chambre. Nous traversons la maison totalement nues en riant. Deux ados amoureuses et heureuses. Voilà ce que nous sommes.

Nos rires s'éteignent lorsque nous nous allongeons sur le lit. Moi sur le dos, Pauline sur le côté, à ma droite. Ses cheveux longs tombent sur sa poitrine. Je les déplace car je ne veux pas être privée de sa beauté.

Elle place son index sur le bout de mon nez. Puis commence à tracer une ligne imaginaire sur mon corps de jeune fille. Passant sur mes lèvres... Ma joue... Mon menton... Longeant une épaule... Revenant passer entre mes seins... Faisant le tour du gauche... Puis se perdant sur mon tèton droit... Descendant sur mon ventre... Frolant mon nombril pour rejoindre mon pubis dépourvu de poils... Déviant vers ma jambe gauche... S'arrêtant sur mon genou... Sautant sur la jambe droite... Remontant à nouveau vers mon pubis. C'est à cet instant que ma douce Pauline met fin à notre attente en faisant glisser sa main entre mes cuisses, que j'écarte avec bonheur.

Le premier contact de ses doigts sur mon clitoris électrise tout mon corps. Je ne peux me retenir un soupir de plaisir. Elle commence  à me caresser à cet endroit délicieusement bon. Elle se penche davantage pour m'embrasser les seins avec de me les sucer. Ce sont pour moi de nouvelles sensations. Je me suis souvent caresser le clitoris certes, mais sous les doigts délicats d'une autre c'est tellement meilleur. Quant au plaisir de me faire têter les seins, c'est une heureuse découverte.

Est-ce justement la découverte? L'habileté de Pauline? Un plaisir trop longtemps attendu? Toujours est-il que je suis rapidement emportée par une vague de plaisir, partant de mon sexe pour traverser tout mon corps. Mon orgasme est si intense qu'un "aaah" plus sonore que je ne le voulais, m'échappe. Ma chérie m'adresse encore son plus beau sourire. Ses doigts sont toujours sur mon sexe, totalement ruisselant de mouille.

 

De nouveau, elle s'incline sur mon anatomie pour me baiser le ventre. Elle se rapproche de mon sexe. Ses cheveux m'empêchent de voir son visage. Elle marque un temps d'arrêt après avoir embrasser mon pubis. Mais enfin elle place son visage sur ma fente.

Je savoure quelques secondes les agréables sensations que me procurent ses lèvres et sa langue sur mon sexe, avant de la guider pour qu'elle vienne se mettre en position de recevoir ce qu'elle me donne.

Que je visionnais des vidéos cochonnes sur internet, j'ai souvent rêvé de pratiquer le 69. Et voilà que ce rêve coquin est en train de se réaliser.

Pour être honnête, mes gestes sont hésitants, peut-être un peu maladroits. Le sexe réel est tellement différent de ce que l'on voit dans les vidéos. Ce que je découvre maintenant, avec Pauline, c'est que le sexe est plus tendre, et que faire l'amour ça s'apprend.

 

Je gagne un peu de confiance en moi lorsque Pauline gémit ou se cambre lorsque ma langue effleure son clitoris ou pénètre son vagin. Attentive à toutes ses réactions. Je répète à l'envie toutes les caresses qui la font le plus gémir. J'introduis mon index et mon majeur dans sa fente. Je doigte son vagin avec douceur.

En même temps que je fais aller et venir mes doigts, Pauline fait de même dans ma chatte toute sensible. Un jeu s'instaure entre nous. Sa seule règle: "Fais moi ce que je te fais". En même temps nous pénétrons le sexe de l'autre, jouons avec son clito, léchons ses lèvres parfumées à la liqueur de désir.

Plus audacieuse, ma partenaire délaisse mon sexe et mon bouton pour titiller mon autre trou. Je suis d'abord surprise. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle s'amuse avec «ça»! Mais les sensations sont plutôt agréables. Elle est si douce dans ces gestes. J'ose à mon tour effleurer son anus du bout d'un doigt puis de ma langue.

Indubitablement ces tendres instants me font découvrir les prémices de tout un monde à explorer.

 

Nous recentrons nos caresses sur nos sexes. Nos doigts s'activent plus vite, nos bouches embrassent et sucent plus intensément. Lorsque ma chérie est sur le point de jouir, ses hanches se mettent à bouger. Elle délaisse un instant ma chatte.

- Oh... Oh... Continue... C'est trop bon...

Quelques instants plus tard, elle jouit pendant que je suis en train de lui aspirer le clitoris.

Elle reprend rapidement ses jeux sur ma plus douce intimité. J'adore quand elle me mordille légèrement les lèvres et le clito. Mais où a-t-elle appris tout ça?

Je vibre à nouveau sous l'effet d'un nouvel orgasme...

 

 

Pauline reprend sa place contre moi. Nous nous embrassons avec amour. Ses seins frottent contre les miens. Je regrette de ne pas avoir joué durant notre corps à corps amoureux.

 

Mais n'ai-je pas tout le week-end pour remédier cela?

Par intales
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Vendredi 14 novembre 5 14 /11 /Nov 23:58

Cela fait quelque temps déjà que l'idée de tenir mon journal me trotte dans la tête. Une envie intense de fixer dans une certaine éternité mes souvenirs les plus intimes et les moments les plus coquins de ma vie. Et pourquoi pas, les partager avec quelques lectrices et lecteurs ouverts d'esprit. Oh je suis totalement consciente que c'est prétentieux de croire que ma petite vie sexuelle attirera la curiosité de qui que ce soit. Mais si il y a dans ce monde quelqu'un que ça intéresse, alors je serai ravie.

Je n'ai pas pour ambition d'éveiller le désir en racontant de chaudes nuits dans des clubs libertins, ni de faire fantasmer avec des expériences extrêmement originales. Je ne suis qu'une jeune femme, à la sexualité "classique". Enfin à un détail près: je suis une fille qui aime les filles.

Mon prénom: Eloïse.

 

L'éveil des sens.

 

Comme beaucoup, je pense, ma découverte du plaisir s'est faite progressivement. Cela commence par de douces montées de températures en serrant fortement mes jambes l'une contre l'autre. Puis ce sont les premières caresses relativement chastes. Mes mains qui effleurent mes seins, mon ventre et qui viennent se perdre sur l'intérieur de mes cuisses. Et je perçois le début d'une excitation qui ne demande qu'à grandir. Et puis un jour, les gestes deviennent moins timides, mes mains se font plus entreprenantes. Du bout des doigts, je frôle  mes lèvres intimes. Celles-ci sont légèrement humides. J'ose enfin introduire le bout de mon index en moi. Oh juste la première phalange. Mais ça me semble tellement osé...

Et puis c'est  la découverte de ce petit bouton magique aux effets si délicieux: mon clitoris. Aux dires de mes copines hétéros ou bi, il y a encore tant d'hommes qui l'ignorent encore... Il n'y a qu'une femme pour savoir véritablement à quel point, bien utilisé, il peut vous transporter par la voie express vers le 7ème ciel. Je me rappelle, comme si c'était hier de la première fois où je me suis faite jouir....

C'est un week-end de début d'été assez banale. Après une journée à faire les boutiques avec ma mère, nous rentrons à la maison. Soirée télé habituelle en famille. Vers 23 heures mes parents décident d'aller se coucher. Après avoir zappé durant un bon quart d'heure, je décide d'aller me coucher à mon tour. Si le sommeil ne vient pas, je pourrai toujours regarder la télé dans ma chambre. Fille unique, j'ai tout ce que je veux pour m'occuper dans ma chambre: télé, ordinateur, console etc... Je fais un passage dans la salle de bain avant de rejoindre mon lit. Avant de me coucher, je me déshabille. Face à mon lit, se trouve une grande armoire dont la porte centrale est ornée d'un miroir dans lequel j'aime me regarder.

Cette glace a souvent fait office de complice et de confidente. C'est elle qui a été la témoin privilégiée des transformations de mon corps. La naissance de ma poitrine, l'apparition de mes premiers poils pubiens.

Ce soir là, comme bien souvent, je me regarde totalement nue. Je dois avoir dans les 16 ans. Sans être un top-model, la fille que je vois me convient assez. Je suis déjà assez grande, environ 1m65-70 (je n'ai que très peu grandi depuis), les yeux verts. Ma silhouette, même si elle comporte quelques légères rondeurs, est harmonieuse. Ma poitrine doit faire autour du 85b. Ma longue chevelure chatain clair me tombe sur les épaules, et vient recouvrir une partie de mes seins. Mes aréoles sont claires. Les extrémités sont légèrement dressées. Du bout de l'index, je trace des légers cercles sur cette zone sensible. Puis j'en effleure les pointes. Comment définir cette agréable sensation? Je ne trouve aucun mot qui exprime la montée de mon désir. Mes caresses légères laissent place à des contacts plus intenses, plus fermes. J'ai déjà si souvent joué avec ma poitrine que je sais comment allier plaisir et force. Tout n'est qu'une question de dosage. De ma main gauche je malaxe gentiment mes seins, alors que la droite vient se placer sur mon ventre. Non loin de mon nombril. Mon regard, dans le miroir, se porte plus bas.

Mon pubis est rasé. Il est loin le temps où je laissais une fine toison afin de me sentir "plus grande". À présent je préfère la douceur de la peau glabre. Ma main vient recouvrir mon pubis. Les bouts de mon index et de mon majeur viennent s'immiscer à la naissance des lèvres discrètes de mon sexe. Le contact avec mon clitoris fait monter mon désir d'un cran supplémentaire. Mes deux doigts s'activent lentement. Ils le caressent, le frôlent, le recouvrent. Je sens mon sexe palpiter. Une douce chaleur prend possession de mon corps. Le léger courant d'air chaud provenant de ma fenêtre ouverte (sans vis-à-vis) ne fait qu'accroître la sensualité de cet instant.

Si jusqu'à ce jour, je me suis toujours contentée de faire naître en moi l'excitation sans jamais pousser jusqu'à la jouissance, ce soir je me laisse porter. Sans limite. Le jeu de mes doigts sur mon clitoris s'intensifie. Mes yeux se ferment. Mes pensées se troublent. Je m'imagine un être sans visage, sans sexe qui me caresse. Mon désir monte toujours. Puis je m'imagine en train de caresser un corps. Un corps de femme. Je suis bien trop excitée pour donner un sens à mes pensées.

Je glisse mon index dans mon vagin, chaud et humide. Instinctivement, je resserre les muscles de mon sexe. À plusieurs reprises, je fais entrer et sortir mon doigt. La sensation est agréable mais il me manque quelque chose. Je délaisse ma poitrine et viens placer les doigts de ma main gauche sur mon clitoris. L'association de mon va-et-vient et des caresses sur mon bouton me comble. Tout mon corps est en ébullition. Mon vagin libère bien plus de cyprine que d'habitude. Je me laisse porter par ce courant. Ne gardant en tête que cette envie d'être caressée et de caresser. Je perçois à peine les gémissements de plaisir qui s'échappent de ma gorge. Une sorte de vibration grandit dans mes entrailles. Je dois interrompre mon va-et-vient pour prendre appuis sur la porte de mon armoire. Seul mon clitoris est stimulé mais malgré tout je suis rapidement traversée par une vague de plaisir. Une sensation inouïe. Une onde chaude et voluptueuse. Tellement forte que mes jambes se dérobent à moitié. Durant quelques secondes je suis désorientée. Puis je reprend pleinement conscience de l'instant présent.

Je me regarde dans le miroir. Mes joues se sont empourprées. Ma poitrine se soulève encore rapidement. Entre mes cuisses j'aperçois les lèvres rougies de mon sexe. Mais le plus important est ce qui se passe en moi. Je me sens vide de force, mais pleine d'une étrange émotion qu'aujourd'hui encore je n'arrive pas à décrire. Sans savoir pourquoi, je souris. Je suis heureuse d'avoir jouis pour la première fois de ma vie. Heureuse et fière. Cela peut paraître stupide ou futile, mais oui je me sens fière.

 

Après un dernier regard dans le miroir, je regagne mon lit. Je m'allonge, nue. Dans mes pensées, je cherche à me décrire ce que j'ai éprouvé. Mais les mots me manquent. Qu'importe! Je l'ai vécu et c'est le principal. Je ferme les yeux. Le sommeil commence à m'attirer dans son royaume. Mes idées se brouillent. L'une d'elles se fait pourtant plus insistante: je revois ce corps de femme que j'ai imaginé enlacer. Un corps de femme... Puis c'est le trou noir. Je me suis endormie. Le corps rassasié de plaisir.

Par intales
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Vendredi 14 novembre 5 14 /11 /Nov 23:50

Pour R. (malgré tout)

 

 

Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce n'est guère d'un pas très enthousiaste que je me dirige vers la salle de sport de mon quartier, en ce samedi de mai. Après plusieurs tentatives repoussées, j'ai décidé de me remettre à faire un peu d'exercice physique. Il est vrai que depuis quelques années, j'ai mis ça de côté et mon corps s'est enveloppé d'un léger surplus.  Oh rien d'excessif, mais il est temps de me bouger un peu. Je me suis donc payé un abonnement dans le club que côtoie habituellement Guillaume, l'un de mes amis.

 

Après un passage vite fait aux vestiaires pour me changer, je rejoins mon camarade qui s'active sur un rameur. Quelques instants pour discuter et il me conduit dans une salle totalement déserte, où se trouvent plusieurs vélos d'intérieur, dont la console de programmation ressemble à un cockpit d'airbus.

 

- Voilà, je te le règle. Tu n'as plus qu'à monter dessus et à pédaler pendant une demie-heure!

 

Je jette un regard plein de reproche à mon ami, puis je m'installe. Nul doute que je serais mieux dans mon canapé à bouquiner, un petit verre à côté de moi...

 

Les minutes passent. Lentement. Douloureusement. Les muscles de mes cuisses me brûlent. Je suis à deux doigts de mettre pied à terre quand entre dans la salle où je me trouve, une jeune femme ravissante.

Assez grande, la silhouette élégante, les cheveux longs, teints en grenat. Elle doit avoir à peine 18 ou 20 ans. Elle me sourit. Mon coeur explose. Jamais de ma vie je n'ai vu de sourire aussi troublant. Et que dire de ce regard vert qui, tout en vous envoutant, vous transperce le coeur en même temps que l'âme.

D'un pas léger et gracieux, elle se dirige vers l'une des machines du côté opposé au mien. Elle recouvre ses oreilles d'un casque, allume son mp3 et se met à pédaler.

 

À présent, il n'est plus question pour moi de renoncer. Pas devant une telle beauté. Ignorant la douleur, je reprend mon exercice. De temps à autre, je tourne mon regard dans la direction de mon inconnue. Parfois nos regards se croisent. Et à chaque fois elle m'adresse un sourire ravageur.

Au fil des minutes nos yeux se trouvent de plus en plus souvent. Est ce que je me fais une idée? Me regarde-t-elle vraiment aussi souvent?

Pas le temps de me faire un avis définitif car mon ami me rejoint. Déjà !? Comment, ça ne fait pas une demie heure !? Le rêve s'évapore.

 

- Allez, suis-moi! Maintenant séances abdos puis rameur.

 

À regret, je quitte la pièce tout en échangeant un "au revoir" avec cette charmante demoiselle, ainsi qu'un dernier sourire.

 

- Je vois que la belle Gabrielle t'a également charmé. C'est une abonnée. Elle vient deux fois par semaine, les mêmes jours, aux mêmes heures. Tous les habitués du club sont en admiration devant elle.  Certains ont même tenté leur chance. Pourtant elle reste aussi distante que possible. C'est à se demander si les hommes l'intéressent.

 

Je me laisse conduire vers mes nouveaux exercices, ne gardant à l'esprit que le sourire de la belle Gabrielle. Inconsciemment, je garde le visage tourné vers la porte qui nous sépare. Hélas, elle ne la franchit pas.

 

Il est l'heure pour moi de partir. Je profite d'aller boire un verre avec Guillaume pour le questionner et en apprendre d'avantage sur elle.

 

- Eh bien! Elle t'a vraiment tapé dans l'oeil cette fille. Tout ce que je sais, c'est quelle s'appelle Gabrielle, elle est québécoise,  elle est en France pour ses études. Qu'est-ce que je peux te dire de plus? Elle vient tous les mercredis et samedis de 14h30 à 16h. Le plus souvent elle court ou fait du vélo comme aujourd'hui. Voilà, c'est tout ce que je peux te dire. Mais si tu entreprends de la séduire, je te conseille de prendre rendez-vous chez ton dentiste car tu vas te casser les dents toi aussi. Sans vouloir te vexer, même les plus beaux mecs n'ont guère réussis à lui soutirer plus de deux phrases.

 

Les derniers mots de Guillaume ne parviennent pas à mon cerveau. Je n'ai plus qu'une idée en tête: la revoir!

 

Les jours ont passé. De ma séance au club de sport, je garde deux souvenirs intenses. Premièrement, les courbatures qui m'ont meurtris le corps trois jours durant. Et puis, il y a Gabrielle. Pas un jour sans que je ne pense à elle. Pas un soir sans que je ne m'endorme, son sourire enjoleur comme dernière pensée. Cette fille est devenue une belle et douce obsession. Je ne veux pas attendre le samedi suivant pour savoir si ses sourires avaient un sens, ou pour savoir si elle est aussi inaccessible qu'on veut bien le dire. C'est pour cela que je me suis arrangé pour avoir mon mercredi après midi et ainsi être libre d'aller au club.

 

Mille fois je me suis répété la manière dont j'allais l'aborder. Les phrases que j'allais lui dire. Les blagues pour la faire rire. Mais arrivé à la salle de sport, j'ai tout oublié.

Je me rend aux vestiaires, composés de petites cabines individuelles. Je m'y change puis laisse mes affaires à la consigne. D'un coup d'oeil, je scrute la première salle. En vain. Puis je me rend dans la pièce où je l'ai rencontré. Et là, une vague de bonheur me submerge lorsque je la vois, pédalant avec énergie, faisant se balancer en rythme une ravissante queue de cheval.

Je m'approche pour m'installer sur l'appareil qui se trouve juste à côté du sien. Sentant une présence à proximité, elle lève le regard et tourne la tête en ma direction. Son visage, légèrement rose en raison de l'effort, devient totalement rouge. Ses lèvres s'étirent pour former ce sourire qui m'a fait chavirer le coeur quelques jours auparavant.

- Bonjour, moi c'est Étienne. lui dis-je en lui tendant chastement une main, dont je ne parviens pas à maîtriser le tremblement.

- Bonjour, moi c'est Gabrielle, me répond-elle en retirant son casque de mp3.

 

Elle me serre la main avec douceur. Ce premier contact entre nos deux peaux est un premier succès à mes yeux. Je prend place sur ma machine. Devant mon hésitation sur les réglages à apporter, Gabrielle me vient en aide. La conversation est lancée. Elle ne faiblira pas pendant toute la séance. Durant près de 90 minutes, nous discutons tout en pèdalant. Nous échangeons sur nos vies, nos occupations. L'entendre me parler de ses études avec son charmant petit accent achève de me séduire. Écouter son rire finit par faire de moi son amoureux le plus passionné.

 

Quand le moment de laisser nos appareils arrivent, une sensation étrange prend corps en moi: je n'ai pas envie que l'on en reste là. Je ne veux pas perdre du regard ce sourire qui n'a jamais fléchi depuis que nous avons commencé à discuter.

Nos pas nous guident vers les casiers où se trouvent nos sacs respectifs. Puis nous nous dirigeons vers le couloir des vestiaires. Nous sommes seuls. Alors que Gabrielle entre dans la cabine à côté de celle que je me suis choisi, je lui emboite le pas, pénètre avec elle dans la sienne et je ferme la porte derrière nous.

 

- Mais!? Qu'est ce que tu fais? Me dit-elle, surprise mais souriante.

- Chuuut...

Je me rapproche d'elle, lui passe les bras derrière la taille, puis je l'attire vers moi.

- Mais... c'est... interdit...

Ses mots ont du mal à sortir. Puis finissent par s'éteindre avant même de sortir. Elle me regarde avec intensité. Il me paraît alors évident que ni l'un ni l'autre avons envie de revenir en arrière.

Le coeur battant, le corps tremblant, je dépose ma bouche sur la sienne. Elle n'oppose aucune résistance. Mieux: elle passe ses bras autour de mon cou. Presque instantanément ce baiser devient fougueux. Je la plaque contre la cloison de notre cabine. Mes mains caressent ses hanches puis ses fesses. Nos bassins semblent être deux aimants attirés l'un vers l'autre par une force magnétique. Je perçois rapidement l'effet que peut avoir un tel rapprochement sur mon sexe. Il ne faut que peu de temps pour avoir une totale érection. Et à la manière dont Gabrielle se frotte contre moi, il lui est impossible d'ignorer mon état.

D'un même mouvement, je lui retire son débardeur moulant et sa brassiére. Sa poitrine est à tomber. Deux magnifiques globes blancs, ni trop gros, ni trop petits, d'une rondeur parfaite et aux aréoles légèrement brunes.  Ma bouche vient embrasser son sein droit, dont l'extrémité est déjà dressée, tout en malaxant délicatement le gauche. Avec gourmandise je lui suce, léche, embrasse ou mordille gentiment les tétons. Gabrielle passe ses doigts dans mes cheveux, caresse ma nuque.

 

Je me met à genoux devant ma jolie québecoise. Ma langue papillonne autour de son nombril. Puis je lui retire ce qui lui reste de sa tenue de sport. Son sexe épilé se retrouve face à mon visage. Elle prend appuis avec une jambe sur le mini banc cellé dans la cloison. Sa vulve n'en devient que plus accessible à ma convoitise. Je n'attend pas une seconde de plus pour venir me régaler de son petit abricot. Inutile de vous préciser que ce fruit regorge du plus doux des nectars. Ma bouche puis mon menton se retrouvent très rapidement couverts de cyprine. Entre pénétrer légèrement son vagin de ma langue ou titiller son clitoris, je ne sais où donner de la tête. Où donner de la langue. Toutefois je me rend compte que ce sont les petits jeux de langue sur son clito qui la font le plus gémir. En amant attentionné, je m'attarde donc davantage sur ce petit bouton. Gabrielle gémit de plus en plus fort. Parfois, lorsque des pas se font entendre dans le couloir, elle étouffe ses gémissements en se mettant une main devant la bouche. Mais elle finit toujours par se laisser aller. Et moi, rien ne m'excite plus que les manifestations de plaisir, du moment que ce n'est pas exagéré.

Je poursuis mes caresses en introduisant mon index puis mon majeur dans son vagin. Elle bouge alors son bassin pour accompagner mes va-et-viens. J'en profite pour accélérer. Chaque mouvement de mes doigts en elle provoque un bruit mouillé d'une exquise sensualité. Au moment où elle jouit, je sens ses jambes fléchir sous l'effet du plaisir.

Je me relève, et de nouveau j'embrasse passionnément ma si belle Gabrielle.

 

Ensuite, je me déshabille pour me retrouver aussi nu que ma partenaire. Je regarde amusé les yeux gourmands de Gabrielle qui scrutent mon anatomie. Elle s'attarde un moment sur mon sexe gonflé qui pointe en sa direction. Qu'attend-elle? Je lui prend doucement la main et la guide sur ma queue. Peut-être était-ce  ce qu'elle attendait car par la suite elle se livre à la plus agréable séance de masturbation qu'il m'ait été possible de vivre. Sa main chaude et douce se baladant sur mon sexe avec habileté. Aucun de ses gestes n'est brusque. Bien au contraire. Même lorsque ses doigts viennent s'aventurer sur mes bourses pleines d'amour...

À mon tour, je la vois s'agenouiller devant moi pour commencer à donner des petits coups de langue sur mon gland. Et très vite, elle se met à faire coulisser mon sexe dans sa bouche. Je prend un véritable plaisir à voir ma tige ressortir luisante de salive de cette jolie bouche. Je ferme alors les yeux afin de concentrer toutes mes sensations et tout mon esprit sur ce plaisir.

Lorsque je perçois les premiers signes d'un proche orgasme, je me retire de sa bouche. J'invite ma douce canadienne à se redresser et je l'étreint à nouveau.

Emportés par la fougue de nos baisers nous nous retrouvons dans le bac à douche, dont toutes les cabines sont équipées. Je lève le regard vers la pomme de douche puis j'adresse un sourire à Gabrielle. Elle comprend ce que j'ai en tête. D'elle même elle ouvre le robinet. Une eau chaude et délicieusement agréable tombe en pluie légère sur nos corps ardents de désir. Gabrielle retire l'élastique que maintenait ses cheveux attachés.

Encore une fois je la serre entre mes bras. Je lui embrasse le front, les yeux, les joues, la bouche, le cou. Bien que l'eau rende les prises plus glissantes je soulève légèrement mon amoureuse et tout en lui faisant prendre appuis contre le mur, je guide mon sexe vers le sien. Lorsque je la pénètre, elle pousse un long gémissement. Ses jambes m'enserrent dans un tendre étau. Je me laisse aller à mon tour. Je fais glisser mon sexe dans son vagin étroit. La chaleur de nos corps est relevée par l'eau chaude. Je me délecte de regarder son visage et ses cheveux mouillés. Elle cherche mes lèvres qu'elle dévore de baisers. Ses mains labourent doucement mon dos. Je veux qu'elle jouisse grâce à moi.

Quelqu'un cherche à tourner la poignée de notre cabine fermée à clé. Cette tentative d'intrusion, bien loin de nous refroidir, ajoute une agréable sensation de danger. À quelques pas de nos corps enlacés dans personnes circulent sans savoir que Gabrielle et moi partageons ce moment si intense.

Sans que je puisse en deviner l'imminence, ma ravissante maîtresse laisse échapper un râle de plaisir tout en se cambrant sous l'effet de son orgasme. Je m'active avec force pour maintenir quelques secondes supplémentaires son plaisir et pour pouvoir jouir en elle. Et lorsque je suis emporté à mon tour par une vague de plaisir, je deviens le plus heureux des hommes.

 

Nous restons ensuite de longues minutes sous la douche à nous embrasser, à nous laver, à nous sourire. Mais sans prononcer le moindre mot. Nos yeux, nos sourires et nos baisers parlent pour nous.

Malheureusement il faut sortir de ce vestiaire. Gabrielle quitte notre cocon la première, non sans que nous ayons goûté nos lèvres un ultime instant. J'attend alors une minute avant de partir. Je me rend compte que dans notre silence nous n'avons pas parlé de la suite. Je n'ai pas envie d'en rester la moi. Je veux la revoir. L'aimer encore et encore.

Quand je quitte le bâtiment qui abrite la salle de sport, je vois Gabrielle en compagnie d'un groupe de jeunes gens de son âge. Mon coeur se brise. J'avais oublié que, peut-être, son coeur est déjà pris. J'hésite un instant, puis l'âme triste, je m'éloigne.

 

- Étienne! me crie une voix dont je reconnais le charmant accent.

 

Gabrielle me rejoint avec une de ses amies. Puis elle me tend un papier qu'elle finit de griffoner.

 

- Tiens, c'est le numéro de la personne dont je t'ai parlé tout à l'heure. Elle pourra surement te renseigner.

 

Sans attendre, elle fait demi tour et repart avec son groupe d'ami sans que je puisse comprendre. Je déplie le papier sur lequel il est noté un numéro de portable suivi de cette phrase:

 

«Appelle moi vite <3»

Par intales - Communauté : histoires coquines sans tabous
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Vendredi 20 décembre 5 20 /12 /Déc 14:17

Jour 6 - suite

Appuyé contre le garde-corps de mon bateau, j'admire les côtes espagnoles. Cette partie de la péninsule, la Galice, est beaucoup moins bétonnée que la façade méditerranéenne. Et notre zone de mouillage est située au large d'une zone naturelle qui offre un paysage magnifique. Ce sont des instants comme ceux là qui me font aimer la mer plus que tout. J'ai l'impression d'être seul au monde.
Enfin à un détail près: le chahut monumental que font mes trois passagères. Comme je l'avais prédit plus tôt dans la journée, elles n'ont pas perdu de temps pour se jeter dans l'océan. Oubliée la gueule-de-bois. Toutes les trois s'en donnent à coeur joie en nageant et en s'amusant autour de notre embarcation. Sont-elles conscientes qu'elles se fabriquent des souvenirs pour la vie entière? À leurs âges, ce genre de considération n'a que peu de place dans les pensées. Mais je suis certain que dans quelques années, elles reparleront avec joie, et peut-être émotion, de ces moments là.
Heureux de leur faire ce cadeau, je regagne le poste de navigation afin de consulter la météo et de préparer ma route pour demain. Si le temps le permet, j'aimerai rejoindre le Portugal dans les 24 heures.
Une demi-heure plus tard, Meggh me rejoint toute excitée et me demande:
"Mon coeur, où sont les jumelles?"
"Euh... D'après le boucan que j'entend, elles ne doivent pas être bien loin. Le bateau n'est pas si grand que ça quand même."
Ma nièce éclate d'un rire que je trouve teinté d'une légère moquerie.
"Mais non! Pas tes filles. Je cherche les jumelles pour voir au loin... Alix me dit qu'elles doivent être ici."
Souriant de ma propre méprise, j'ouvre le tiroir où sont rangées deux paires de jumelles optiques. Meggh les emprunte toutes les deux, puis, après m'avoir rapidement déposé un baiser sur les lèvres, elles rejoint ses cousines à toute vitesse.
Curieux devant tant d'empressement, j'achève mon travail pour les rejoindre à l'arrière du bateau.
Je découvre les filles en pleine séance d'observation du littoral. Celle des trois dépourvue de jumelles, pressant les deux autres de lui passer leur paire. Formant ainsi un turnover qui permet à chacune de pouvoir profiter du spectacle lointain. Le tout, dans une certaine hilarité un peu contenue.
"Mais Alix, arrête de rire aussi fort, tu vas nous faire repérer et ils vont s'envoler..." sermonne Julie.
Mais cette réprimande n'a que peu d'effet sur sa soeur. Intrigué par ce petit manège, et curieux de savoir quels drôles d'oiseaux peuvent susciter autant d'intérêt auprès de jeunes filles, je prend place à leur côté.
"Qu'est ce que vous regardez?"
Meggh me tend alors ses jumelles puis me guide.
"Tu vois le groupe de rocher là-bas? Alors va légèrement sur la gauche... Et tu verras."
Et là je vois. Un homme d'une trentaine d'années, le short sur les chevilles, passant sa main dans les cheveux d'une femme totalement nue en pleine activité buccale. Trop occupés, et se croyant à l'abri des regards du continent, les deux amants semblent ne pas s'apercevoir de notre présence. Il faut dire que la femme s'active avec gourmandise et que l'homme semble savourer la chose avec plaisir.
Un détail chez l'homme attire mon attention: sur son tee shirt blanc est écrit en rouge LA HAVANA.
"Ah ok... Je vois ce qui vous amuse tellement. Et bien nous sommes surement à proximité d'une foire aux cigares, et ce monsieur fait déguster son dernier arrivage à cette jeune femme. Voilà tout."
Julie qui reprochait à sa soeur, quelques secondes auparavant, son rire sonore, l'accompagne à son tour aussi peu discrètement.
Rendant aux filles leurs instruments d'observation, je regagne la cabine pour préparer le diner. De temps à autre, des bribes de conversation me parviennent, ce qui me permet de tout savoir des petits jeux amoureux des amants de la côte.
Puis un nouvel éclat de rire, plus puissant que les autres, suivi par une série «Houhou» me parviennent. Les filles me rejoignent alors et m'expliquent qu'après avoir fini de besogner sa partenaire, l'homme s'était retiré de la jeune femme et avait lancé un salut en notre direction, comme un artiste saluant son public après une représentation. Les deux amants se sont ensuite rhabillés et pris des chemins différents.

Durant tout le repas, les filles se refont, avec ironie, le spectacle auquel elles ont assisté. Indulgent face aux commentaires parfois très grivois des filles, je m'amuse de cette atmosphère légère. Un souvenir de plus à ajouter dans les bagages de la mémoire. La soirée s'achèvent assez tard et nous retrouvons nos couchettes le coeur léger.


Allongée contre moi, la tête sur mon épaule, Meggh reste silencieuse. Elle semble si songeuse que je n'ose pas ouvrir la bouche. Je me contente simplement de sentir une nouvelle fois sa peau nue contre la mienne. De me délecter des douces effluves poivrées de son parfum. Du bout d'un doigt, elle trace, sur mon abdomen, des courbes formant des dessins imaginaires. Parfois, un bref frisson me parcourt le corps. J'aime ces instants. Je les aimerais bien plus si je savais vers quoi sont dirigées les pensées de ma nièce.
"Tu vas leur donner ce qu'elles désirent?" finit-elle par me demander, doucement.
Pas besoin de plus d'explication car je saisi fort bien ce dont elle parle. C'est donc cela qui l'inquiète...
"Euh... J'hésite encore un peu, mais je pense. Cela te dérange?" dis-je, tout en la serrant tendrement contre moi.
"En fait, si tu ne fais ça qu'avec elles, ça ne me dérange pas trop. Je sais bien qu'elles en meurent d'envie. Seulement..."
"Seulement?"
"J'ai un peu peur que tu te détournes de moi. Que je devienne moins intéressante pour toi." murmure-t-elle.
Je me redresse pour venir fixer mon regard dans le sien.
"Je ne me détournerai pas de toi. Jamais. Rassure toi, tu n'as absolument aucune crainte à avoir." dis-je, le plus sincèrement du monde.
"J'ai l'impression d'être si peu... séductrice. De ne jamais savoir comment m'y prendre pour te satisfaire."
Le ton de sa voix reflète son manque de confiance en elle. Je la serre contre moi, tendrement, et je la rassure du mieux que je peux. Je lui explique à quel point je la trouve belle et désirable. Elle n'a qu'à être elle même pour me séduire. Pas besoin de trahir sa personnalité pour éveiller en moi de coquines envies.
"Mais il y a bien des choses que tu aimes qu'on te fasses? Des caresses, des choses particulières..." insiste-t-elle.
"Bien sur! Mais c'est avec le temps que tu découvriras tout cela. Tu sais, il faut un peu de temps et d'expérience en commun pour savoir véritablement ce que l'autre aime. Nous aurons ce temps. Tu apprendras à me faire plaisir. Comme je le ferai pour toi."
Je ponctue ma phrase en lui déposant un baiser tendre sur les lèvres. Meggh entoure mon cou de ses bras bronzés, comme pour me garder contre elle.
"Et si on commençait maintenant?" chuchotte-t-elle, le visage éclairé par un large sourire.
"Hummm je ne dis pas non..."
Dès cet instant nos bouches ne s'expriment plus que par des baisers passionnés. Nos corps parlent pour nous. Nos caresses deviennent des déclarations d'amour muettes et pourtant si parlantes.
Meggh délaisse rapidement ma bouche pour faire errer ses lèvres dans mon cou. Je ferme les yeux pour uniquement me laisser envahir par la sensation de sa bouche et sa langue sur mon corps.
La voilà sur mon épaule qu'elle embrasse puis qu'elle mord tout doucement. Je sens sa poitrine qui frotte contre mon torse puis mon abdomen au fur et à mesure que ses lèvres descendent. Comme j'aurais pu le faire sur elle, ma nièce entreprend de m'embrasser la poitrine. Sa langue effleure mes aréoles. La sensation, nouvelle pour moi (on apprend à tout âge), n'est vraiment pas désagréable... Pour une fille qui doutait de ses capacités à me satisfaire, quelques instants auparavant, elle ne s'en sort vraiment pas mal. Malheureusement, elle quitte trop rapidement cet endroit pour continuer à descendre ses lippes passionnées. Toutefois, l'intervention d'une main timide à proximité de mon sexe efface immédiatement tout regret.
Meggh cesse ses baisers au moment même où ses doigts saisissent mon sexe. Cela suffit pour parfaire mon érection. Très attentive à chacun de ces gestes, elle me masturbe lentement. Son visage s'approche. D'après ce qu'elle m'a déjà raconté de son passé, je sais que ce qu'elle s'apprête à faire est une première pour elle. Ses lèvres entrent en contact avec mon gland. Pour un simple baiser pour commencer. Puis elles s'écartent pour laisser passer le bout de la langue. Je m'aperçois qu'elle tente de reproduire des choses vues dans des vidéos coquines. Tout cela se déroule avec un peu d'hésitation. Mais Meggh gagne en enthousiasme et en assurance. Mon sexe finit par être enveloppé par ces lèvres gourmandes. Évidemment il y a un peu de maladresse, mais sa tendresse compense largement. Et les sensations aussi. Me délectant de la situation, je referme les yeux quelques instants et je souris de satisfaction.
De temps en temps, lorsque Meggh se montre encore plus adroite dans ses faveurs, je laisse échapper des petits soupirs. Elle en prend conscience, et découvre ainsi ce qui me convient le plus. J'apprécie volontiers ses coups de langues sur mon gland, ses baisers sur mes testicules... De temps à autre elle interrompt son jeu de bouche pour me sucer à nouveau. Petit à petit, elle cesse de vouloir faire comme dans les pornos, pour jouer avec mon sexe dressé comme bon lui semble. Elle comprend à ce moment que le plaisir est dans l'échange entre les deux partenaires, bien plus que dans la simple mécanique sexuelle.
Les regards qu'elle me lance parfois ne sont plus ceux d'une «post-ado» hésitante, mais bien ceux d'une jeune femme sensuelle et terriblement attirante, pleinement consciente du plaisir qu'elle procure.
Ne souhaitant pas être en reste, je profite d'un moment où Meggh me masturbe pour lui faire changer de position afin que nous ayons mutuellement nos sexes à portée de bouche. Ainsi, lorsque ma troublante nièce se remet à me sucer, je peux également lui titiller le sexe avec ma bouche et mes doigts. Bien évidemment, je m'attarde plus longuement sur son clitoris. Chaque petit gémissement qu'elle émet est une grande fierté pour moi.
Tout à mon plaisir de lui faire du bien, je ne me rend pas immédiatement compte qu'elle a stoppé sa petite plume... Tout juste se contente-t-elle de garder mon sexe dans une main. L'autre main, se situant sur un de ses seins, qu'elle malaxe allègrement. Elle me regarde lui caresser son bouton alors que deux de mes doigts vont et viennent en elle. Je la devine prête à jouir. Sans attendre je m'installe dans la bonne position pour introduire directement ma queue en elle.
Nous nous livrons alors à un corps à corps endiablé. Ses mains aggripent mes hanches. Ses doigts labourent mon dos. Chaque coup de reins nous arrache des râles de plaisirs. Je suis à peine conscient du vacarme que nous sommes en train de faire. Il y a bien longtemps que je n'ai plus fait l'amour avec une telle force. Mais là, à cet instant, c'est ce dont nous avons envie, ce dont nous avons besoin. La sueur coule sur nos deux corps. Malgré sa peau mate et la faible lumière de notre cabine, je vois bien que le visage de Meggh est rouge.
Elle est la première à jouir. Je la suis quelques secondes plus tard. Un orgasme total. De ces orgasmes qui vous coupent les jambes. Comme si toute votre énergie s'écoulait avec les deux ou trois premiers jets de sperme...
Extènué, je m'allonge à côté de ma nièce. Le souffle encore haletant de notre étreinte...
"Oh quel pied!" ne puis-je m'empêcher de dire. "J'ai cru que mon coeur allait exploser..."
Meggh éclate de rire.
"Eh te moque pas! J'ai plus l'habitude de ces choses là moi."
Cette fois, Meggh reprend place contre moi. Elle est moins essoufflée que moi.

Lorsqu'après cinq bonnes minutes, ma poitrine cesse de monter et descendre à toute vitesse et que ma respiration a ralenti, Meggh m'embrasse. Sur le torse tout d'abord, puis sur les lèvres.
"C'est vrai que c'était pas mal du tout..." me dit-elle.
"Quoi? Pas mal?! Mais j'ai frisé l'infarctus moi!"
"Mais non, c'était fabuleux mon ange. Sincèrement... Et tu penses pouvoir remettre ça quand?"
Sans attendre que je lui réponde, ma nièce, particulièrement insatiable ce soir, fait de nouveau descendre sa tête vers mon bas ventre. Nul doute que sur mon sexe au repos elle retrouve la saveur de nos deux fluides. Cela ne semble guère la déranger car elle s'empresse de le sucer avec gourmandise. Je regagne lentement toute ma vigueur. Meggh s'installe à califourchon sur moi, mon sexe happé par le sien. Cette fois tout se déroule en douceur, tout n'est plus que caresses, baisers et volupté.
Il y a tellement de manières de s'aimer. Toutes aussi belles du moment que cela se déroule dans une parfaite osmose.
Nous jouissons une dernière fois avant de nous laisser emporter par la fatigue. Ma dernière pensée est une question: depuis quand n'avais-je pas joui trois fois dans la journée? Je n'ai pas le temps de chercher la réponse, le pays des songes m'ayant attiré dans ses douces contrées.

Par intales - Publié dans : Croisière
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