Jeudi 6 juin 4 06 /06 /Juin 14:23

Jour 5

En me réveillant ce matin, les tendres instants vécus avec Meggh me reviennent en mémoire. Ses baisers, sa peau, nos étreintes. D'autant plus que le corps de mes désirs dort à quelques centimètres de moi. Que je suis injuste de résumer Meggh à un corps! Elle est plus que ça. Plus une enfant et pas une femme encore. Une personnalité admirable, douce, intéressante, intelligente comme je les aime. Oui, j'en suis amoureux.
L'envie de lui faire l'amour me reprend. Là, tout de suite. L'envie de lui offrir un réveil tout en plaisir. De l'entraîner une nouvelle fois dans un voluptueux corps à corps. Mon sexe dressé est prêt à passer à l'offensive.
Mais en jetant un coup d'oeil sur ma montre je constate que la matinée est déjà bien avancée et que mes trois passagères vont rater le rendez-vous téléphonique prévu avec leurs mères. En toute hâte, nous nous préparons, puis j'accompagne les filles à un cybercafé, faisant office de taxiphone, que m'ont indiqué d'autres plaisanciers. Pendant que les filles s'acquittent de leurs obligations, je consulte mes mails.

Le reste de la journée est consacré au tourisme. C'est notre première journée sans navigation. Tous les quatre, nous apprécions cette parenthèse. Au fil des jours, notre complicité se renforce. Et grâce à des étapes comme celle-ci, nous rompons l'isolement qui pourrait être source de tensions. Avec Meggh, évidemment un lien nouveau s'est tissé. Mais avec mes filles aussi, je me sent plus proche. Elles me paraissent plus matures, plus responsables, plus... femmes en quelque sorte, depuis notre départ. Certes, elles restent les pitres que j'ai toujours connu, mais je vois bien qu'une partie de leurs personnalités a grandi. Peut être est-ce leur ouverture d'esprit face à ma relation naissante avec leur cousine? Je repense soudain aux derniers mots que Meggh a prononcé hier soir en s'endormant: "Même quand on se caresse, avec les jumelles, on ne jouit pas aussi fort..."
Ces mots m'étaient sortis de l'esprit. Pourtant ils sont si surprenants. La découverte de leurs jeux érotiques me trouble. En père responsable, je devrais être fermement opposé à cela. Et pourtant... Que suis-je en droit de dire, moi qui ai défloré ma propre nièce? Moi qui est si souvent regardé mes trois passagères, avec gourmandise, quand elles se promènent sur le bateau avec leurs maillots de bain minuscules! À vrai dire cette découverte nourrit ma curiosité. Cette envie d'en savoir plus, de partager leurs secrets. J'aimerai savoir jusqu'où vont leurs jeux. Et à ma grande surprise, je me découvre le désir de vivre un de ces moments avec elles. Cette pensée m'aurait heurté il y a peu encore, mais aujourd'hui elle m'excite incroyablement. Être l'étalon de ces trois jeunes beautés... quel plaisir! J'ai l'impression de basculer dans un autre monde, où le désir l'emporte.

Le soir venu, je m'éclipse un moment pour faire une course pendant que les filles préparent le diner. À mon retour, sans qu'elles ne m'aperçoivent, je tombe sur les filles en grande conversation.
"Et tu as eu mal?" demande Julie dont je reconnais la voix.
"Non, pas une seule seconde! Il a été très doux, très attentionné ." lui répond sa cousine. "C'était cent fois mieux que je l'imaginais."
"Mais vous avez fait quoi au juste?" insiste Alix.
"À vrai dire, moi je n'ai pas eu à faire grand chose. Paul à tout pris en main!"
"Tu m'étonnes! Avec la paire de seins que t'as, il a du vraiment en avoir plein les mains!" s'esclaffe Alix.
"Oh arrête tes bêtises Alix, laisse la raconter!"
"Il m'a juste demandé de me laisser aller, et qu'il me guiderait plus tard."
"Et ensuite?"
"Bah on l'a fait..."
"Oui mais quoi exactement? Comment il s'y est pris?" relance une Julie, bien plus curieuse que je ne la connais habituellement.
"Oh quand ma Juju est aussi insistante c'est qu'elle est grave excitée." la taquine sa jumelle.
"Bah ouai ça m'excite de savoir ce que Meggh et Papa ont fait. Et te connaissant, je suis sûre que toi aussi, alors arrête un peu."
"Pour commencer, il m'a embrassé en descendant sur mes seins, il les a sucé. Ensuite, il m'a caressé."
"Tu mouillais?"
"Oh oui! Et comme jamais j'ai mouillé de ma vie je crois."
Les questions fusent, Meggh explique tout avec force détails. Je suis surpris d'entendre les filles se parler aussi crûment de sexe. Étonné devant la curiosité de mes filles. Excité d'éveiller leur désir. Flatté d'entendre Meggh évoquer notre plaisir partagé de manière si flatteuse...
Toutefois un éclair de morale, émergeant de je ne sais où, me frappe. Je fais quelques pas en arrière, et décide de manifester mon arrivée à bord en étant un peu plus bruyant.
Lorsque je rejoins les filles, leur conversation est arrêtée. Cependant, l'air de rien, je les observe du coin de l'oeil. Meggh a les joues rouges. Alix, fidèle à elle même, semble retenir un fou-rire. Quant à Julie, elle s'est retournée à mon entrée et je ne peux donc pas voir sa réaction.
"Qu'y a t-il? Pourquoi ce silence quand j'arrive? Vous vous racontiez des choses que je ne dois pas connaître? Dois je craindre une mutinerie?"
"Au contraire! Il n'y avait rien que tu ne saches déjà mon petit Papa..." me rétorque Alix.
"Ah, et bien vous allez pouvoir reprendre votre conversation en ma présence! Puisque je n'ignore rien..."
"Oh des bouteilles de Champagne!" intervient Julie, découvrant ce que je tiens dans les mains et trouvant là un prétexte pour couper court à la conversation. "Tu as quelque chose à fêter?"
"À moins que ce soit Meggh qui est envie de fêter son dép..."
Julie plaque sa main sur la bouche de sa soeur pour l'empêcher de poursuivre.
D'abord très mal à l'aise, Meggh se détend lorsque je me met à rire des propos de ma fille.
"Non non, le Champagne est pour un évènement qui me concerne moi seul. Pendant que vous appeliez vos mères, j'ai consulté mes mails, et j'ai appris que les droits de mon dernier livre avaient été achetés pour une série documentaire. Une coproduction européenne, et en plus d'un gros chèque, j'en serai le conseiller technique et historique."
Les filles exultent, et m'embrassent chaleureusement.
"On est vraiment fières de toi."
Sur ces mots je débouche la première bouteille de Champagne.

Le repas se déroule dans la joie. Et les filles, grisées par l'alcool, deviennent plus volubiles. Je décide d'en profiter.
"Bon, et si vous repreniez votre petite conversation de tout à l'heure!"
"Euh laquelle?"
"Celle que mon arrivée a interrompu."
Les filles éclatent de rire. L'alcool a fait son effet plus que je ne le pensais.
"Allez je vous dis tous mes chéries. Je vous ai entendu. Je sais que vous parliez de notre nuit avec Meggh."
"Oh Papa, tu nous en veux pas, hein?" supplie Julie, mi-sincère, mi-joueuse.
"Non bien sur Juju. Mais pourquoi vouliez vous tant savoir?"
"Bah parce que c'est génial. Meggh en rêvait depuis si longtemps."
"Peut être, mais de là à lui demander de raconter tous les détails..."
Julie avale une nouvelle gorgée de Champagne puis se lance:
"En fait moi je voulais savoir comment tu t'y prenais. D'abord parce que je l'ai fait une fois et c'était pas super super. Et puis je dois dire que ça me fais des choses de t'imaginer en train de... Enfin tu vois quoi!"
Oui, effectivement je vois. Mais découvrir que ma Julie n'est plus vierge me donne un choc. C'est un moment étrange pour un père.
"Tu as couché avec un garçon?!"
"Euh... Oui. Mais une seule fois. Et ça n'a pas duré longtemps."
"Et toi Alix?"
"Ah non pas moi, je suis toujours vierge. Et même que l'autre jour, quand je suis entrée dans votre cabine et que Meggh était sur toi, c'était la première fois que je voyais le truc d'un homme en vrai."
"Hum, et pourquoi voulais tu avoir des détails sur ce qui s'est passé hier entre ta cousine et moi?"
"Parce qu'on aurait bien aimé être à sa place, avec toi."
"Mais Alix, vous êtes mes filles!"
J'ai beau joué le père choqué, j'ai l'impression que mes paroles sonnent faux. Je n'entend pas la réponse d'Alix. À la vitesse de l'éclair, je commence à m'imaginer en train de faire l'amour avec mes filles. Mon sexe enfle. Mon sang et mon esprit s'échauffent. Je revis la soirée d'hier, mais le visage de Julie ou d'Alix se substitue à celui de Meggh...

"Papa? Ça ne va pas?"
"Si... Si si ça va. Désolé mais ce genre de chose, ça surprend quand même."
Julie m'adresse un sourire plein de compassion. Tandis que sa soeur m'explique:
"Nous, ça nous plairait vraiment beaucoup. Tu es l'homme parfait. Alors c'est normal qu'on ait envie. Et oui tu es notre père, et pour nous, ça ne fait qu'augmenter notre désir."
"Tu sais que ça n'est pas moral et que cela est condamnable?"
"On s'en fout des autres, et nous on en meurt d'envie. Et pour moi, c'est en permanence dans ma tête. Et encore plus depuis que je vous ai surpris avec Meggh. En plus j'ai pas envie de rester la seule pucelle du bateau!"
"Je... je ne sais pas quoi répondre à ça!"
"Franchement, admet qu'il y a une partie de toi qui en a envie!"
"Oui... C'est vrai." dis-je, peu dépité d'avoir à me dévoiler.
"Alors où est le problème si nous sommes tous d'accord?" déclare Julie.
"Parce que tous les fantasmes ne sont pas fait pour être vécus. Certains doivent rester des rêves. .. Ce n'est pas une décision à prendre à la légère, et surement pas après avoir bu."
"De toute façon, Julie n'étant pas en état, tu as le temps de réfléchir à ça. Pour elle, comme pour moi, c'est une vraie envie, pas un simple fantasme pour pimenter notre désir." précise Alix.
"On verra... Mais vous avez l'air de partager beaucoup de secrets intimes toutes les trois. Cela se limite aux mots, ou bien cela se transforme-t-il parfois en actions plus concrètes?"
Je profite de la conversation pour éclaircir la situation sur leur relation et sur la phrase que Meggh a laissé échapper. La question surprend mes trois jeunes passagères. Elles se regardent les unes les autres, cherchant laquelle prendrait la parole. Même Alix, toujours prompte à prendre la parole avec franchise, semble hésiter. Et à ma grande surprise, Meggh, jusque là silencieuse, se décide.
"Ils nous arrivent parfois de faire plus que discuter de sexe entre nous."
"J'ai le droit de savoir ce que vous faites? J'avoue que je suis très curieux de connaître toute cette histoire. Et ne craignez rien, c'est juste pour mon plaisir que je veux savoir, et non pour une leçon de moral."
Meggh et Julie se tournent toutes les deux vers Alix. Instantanément, je me demande si c'est pour son éloquence ou si c'est en raison d'un rôle d'instigatrice.
Celle ci hausse les épaules puis me demande:
"Tu veux que je t'explique tout depuis le commencement?"
"Si tu le veux bien, et si cela ne dérange pas ta soeur et ta cousine."
Après un accord de la tête de leur part, Alix cherche un instant ses mots puis se lance.
"À vrai dire, tout a commencé entre Juju et moi. Tu es bien placé pour savoir que nous avons une relation extrêmement fusionnelle toute les deux. Comme beaucoup de jumelles. Même en grandissant nous n'avons jamais réussi à faire chambre à part, malgré vos efforts à maman et à toi. Nous avons toujours été habitué à la nudité de l'autre. Nos corps se sont toujours ressemblés. Quand nous avons commencé à prendre des formes, nous examinions les changements. Aussi bien sur notre propre corps que sur celui de l'autre. Avec le temps nous avons compris que nous regarder provoquait souvent un drôle d'effet. Et plus nous prenions conscience de cela, plus l'effet était fort.
Un jour que l'on se regardait sur le lit, les jambes écartées, j'ai eu envie de toucher le sexe de Juju. Enfin pas le toucher, plutôt le caresser. Je voyais bien qu'elle mouillait tout comme moi. Sans se le dire, nous avions commencé à jouer, chacune dans notre coin, avec notre clitoris. Jamais nous n'avions osé partager ce genre de moment. Mais ce jour là, mon envie a été plus forte que tout. J'ai donc passé mes doigts sur les lèvres intimes de Juju. Elle m'a laissé faire. Je suis remontée vers son clitoris, sans qu'elle ne me retienne. Au contraire, elle a commencé à tripoter ses seins dont les bouts étaient durs. Je passais d'abord le bout d'un doigt sur cet endroit, qui sur me moi faisait tellement d'effet. Puis j'ai osé le caresser plus intensément. Comme j'avais appris à me le faire toute seule. C'était super excitant de lui donner du plaisir. Quand Julie a jouis, elle a voulu me le faire à son tour. Certes, nous étions un peu hésitante mais c'était tellement bon, tellement différent que lorsque nous nous doigtions toutes seules. À partir de ce jour, nous nous sommes faites jouir presque tous les jours où cela était possible. Dans les premiers temps, nous nous limitions à jouer avec nos doigts sur nos clitoris. Puis nous avons glissé nos doigts dans nos chattes.
Il nous arrivait de chercher des vidéos de filles entre elles sur internet, pour voir ce qu'elles se faisaient. Nous, on n'osait pas aller jusque là. Et puis un soir où nous étions couchées Julie a posé sa main sur mes seins. Je l'ai attiré vers moi, et on s'est embrassée. Ce n'était pas la première fois que nous nous embrassions puisque c'est entre nous qu'on avait appris "à rouler des pelles". Mais c'était toujours un jeu ou un exercice. Ce soir là, ce fut beaucoup plus intense.
Nues, l'une contre l'autre on s'embrassait avec une intensité différente. En même temps nos jambes s'entrelaçaient, nos mains allaient partout où c'était possible d'aller, nos seins frottaient entre eux. Quand nous avons cessé de nous embrasser, Julie est venue m'embrasser les seins, le ventre, et logiquement elle est arrivée sur ma chatte. C'était une sensation si différente. Si douce et agréable. Pourtant ses gestes étaient tâtonnants mais j'étais si excitée que j'ai eu un orgasme simplement après quelques coups de langue. Bien sur je lui ai fait la même chose. J'ai immédiatement adoré ça. Avoir ses bouts de seins entre mes lèvres, ou bien lui caresser le clitoris avec ma langue, la sentir gémir, onduler, mouiller grâce à ma bouche... C'est tellement génial. C'était, et c'est, toujours un plaisir très intense. Cette nuit là, je peux dire que c'est la première où nous avons fait l'amour. Entre soeurs."
Alix stoppe un instant son récit pour regarder sa jumelle. Mes deux filles échangent un sourire plein de tendresse, et, à cet instant je n'en doute pas, d'amour sincère. J'éprouve une certaine honte d'être en érection, tant j'ai l'impression que ce réflexe quasi animal est déplacé. Puis Alix reprend.
"Depuis cette nuit là, nous n'avons guère cessé de faire l'amour. Plusieurs fois par jour parfois. Bien sur, nous ne sommes plus hésitantes, nous avons appris à nous donner tout le plaisir possible. Nous avons appris quel geste, quelle caresse faisait le plus d'effet à l'autre. Si tu veux vraiment tout savoir, ce que nous aimons le plus, c'est de nous mettre en 69, et de tenter de nous faire jouir en même temps. Ce n'est pas évident d'y parvenir, mais c'est fantastique quand ça arrive. Voilà pour notre relation entre Julie et moi. J'espère que nous restons toujours tes filles chérie."
"Évidemment que vous le restez."
"Et tu en penses quoi maintenant?"
"Et bien puisque tu as été honnête, je vais l'être aussi: la manière dont tu m'as expliqué votre histoire est très belle et très excitante. Et même si je ne devrais pas, je ne peux que vous encourager à continuer... Par contre, je ne sais pas où viens se placer Meggh dans votre relation?"
Alix réfléchit un instant avant de me dire en souriant:
"Hum je te raconte la suite à une condition: J'aimerai revoir ton sexe!" m'annonce-t-elle avec une franchise désarmante.
"Oula! Carrément... Je t'ai dit que ce n'était pas une décision à prendre en ayant bu ma chérie."
"Oui j'ai bien compris. Mais je veux juste la voir. Et je suis certaine que Juju le veut aussi. Meggh pourra en profiter autant que possible dans votre cabine, alors que nous... Allez s'il le plait Papa chéri."
Tour à tour, je regarde Julie, dont le visage c'est empourpré, puis Alix qui me donne son autorisation d'un hochement de tête. Après un instant de réflexion, je décide d'accepter. Toutefois, la situation m'excite tant, que j'ai peur d'envie perdre le contrôle.
"Bon d'accord, mais pas question d'aller plus loin que de toucher des yeux!"
Les filles rayonnent de satisfaction. Je me lève, et, un peu intimidé tout de même, je fais descendre pantalon et boxer. Mon sexe gonflé se révèle à ses spectatrices. Dressé, il danse légèrement au rythme de la pression sanguine. Pour la première fois de ma vie, je m'exhibe, bandant, devant trois jeunes femmes à la fois. Et qu'elles soient mes filles et ma nièce, renforce l'excitation.
"Bon, et maintenant quand est ce que Meggh apparaît dans votre relation?"
Sans quitter ma queue du regard, Alix reprend son explication.
"Eh bien, comme Meggh vient dormir régulièrement à la maison, et que nous avons l'habitude de partager quelques secrets, nous lui avons confié jusqu'où notre complicité de jumelles allait. Elle a fini par nous avouer qu'elle aussi aimait se faire des choses, et qu'une personne de la famille l'inspirait beaucoup dans ces moments là. Tu te doutes bien que cette personne c'était toi. On a adoré cette idée. D'autant plus que Meggh semblait être sincèrement et passionnément folle de toi. Enfin passons. Quand nous lui racontions ce que nous faisions entre nous, nos jeux sexuels, Meggh nous racontait ses envies, ses fantasmes, ses masturbations où tu avais toujours une place importante, même lorsqu'elle avait un copain. Cela nous excitait de plus en plus. Un jour que nous discutions, nous avons décidé de nous soulager de ce désir qui nous faisait tant d'effet. Les premières fois, nous nous doigtions nous même, de peur de choquer Meggh. Ensuite, c'est elle qui a voulu voir comment nous nous y prenions, Juju et moi pour nous faire jouir mutuellement. Sa curiosité satisfaite, nous l'avons entraîné entre nous et nous lui avons fait partager certaines de nos caresses. Et plus le temps passait, plus tu étais présent sans le savoir. Pour Meggh, il était presque suffisant de prononcer ton prénom, quand on la masturbait, pour la faire jouir. Pour nous, l'idée de faire l'amour avec toi devint évidente. Même quand Meggh n'était pas avec nous. Par la suite, cette idée a toujours été là. Grandissant chaque jour. À présent Meggh y est parvenue, et nous on espère avoir notre chance, si toutefois elle veut bien nous prêter notre Papa."
Sans me demander mon avis, ma nièce et amante donne son accord. Il me faut une volonté de faire pour ne pas craquer et accepter de leur offrir ce qu'elles désirent tant, dès à présent. Je me ressaisis et tout en remontant mon pantalon, j'annonce qu'il est tard et qu'il est l'heure de dormir.
Mes filles regardent mon sexe disparaître de leur champ de vision avec une moue de déception. Leurs yeux brillent. Je ne cherche pas à savoir si c'est en raison d'une consommation excessive de Champagne ou bien si c'est d'envies plus charnelles. Meggh, pour sa part file directement vers notre cabine, après avoir déposé un baiser sur la joue de ses cousines.
Julie et Alix m'embrassent chacune leur tour, en me serrant dans leurs bras. Sans qu'elles ne se soient concertées, toutes les deux plaquent leur bassin contre le mien. Nul doute qu'ainsi elles sentent ma queue tendue à l'extrême. Elles partent se coucher en se parlant à voix basses.

Je reste seul un instant. Durant quelques minutes, je monte sur le pont pour prendre l'air et faire baisser la fièvre qui a pris possession de mon corps. Je ne peux m'empêcher de penser à ces trois jeunes filles qui ne demandent qu'à s'offrir à moi. Je suis certain qu'à cet instant même, leurs pensées et leurs désirs me sont consacrés.

Ma décision est prise.

 

Je serai leur homme.

 

 

 

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Par intales - Publié dans : Croisière - Communauté : histoires coquines sans tabous
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Jeudi 6 juin 4 06 /06 /Juin 14:12

Tu es allongée sur ton lit. Les yeux clos tu repenses à ton après midi avec Isa. Toutes les deux vous avez fait les magasins pour vous trouver des maillots de bain pour cet été. Lorsque ta soeur est allée essayer le sien elle t'a demandé de l'accompagner pour lui donner ton avis.
Ton coeur s'est mis à battre un peu plus fort. Évidemment que tu l'as accompagné. Comment ne pas profiter de l'occasion pour pouvoir l'observer. Pouvoir emplir ta mémoire de belles images pour le moment où tu pourras te caresser en pensant à elle.
La regarder se dévêtir est pour toi une sensation douce et cruelle. Douce car tu es en admiration devant sa poitrine, devant sa silhouette parfaite et ses fesses rondes et fermes. Mais si cruelle car tu ne rêves que de pouvoir toucher embrasser et croquer le fruit défendu.
Tu sens ton corps s'embraser. La fièvre du désir part de ton sexe pour prendre possession de ton corps. Nul besoin de glisser ta main dans ta culotte pour savoir que tu as commencé à mouiller. Tu ne vois que ta soeur. Que son corps.
Ton esprit s'envole vers des sphères voluptueuses.

"Mallaury! Oh oh Mallau qu'est ce que tu as? T'es toute rouge!"
La voix d'Isa te ramène à la réalité.
"Euh... Oui... Oui ça va. J'ai juste eu une bouffée de chaleur. Il fait trop chaud dans ce magasin..."
"Bon je me dépêche et on rentre à la maison."

Te voilà donc sur ton lit. Deux heures ont passé mais ton trouble est resté. Tu t'es allongée en ne gardant que tes sous vêtements. Instinctivement une de tes mains commence à effleurer l'intérieur de ta cuisse. Lentement, elle remonte vers ta culotte. Celle ci est encore humide. Par dessus le tissus tu frôles ton clitoris. Un soupir de plaisir s'échappe de ta gorge. La caresse de tes doigts sur ton petit bouton te transporte. De ton autre main tu malaxes un sein que tu as fait sortir de son balconnet. Tes mamelons sont gonflés et tes tétons pointent sous ta paume.
Tu es sur le point de retirer ta culotte imbibée de cyprine quand tu entends des pas dans le couloir. Puis quelqu'un frappe à ta porte. En toute hâte tu replaces tes seins dans ton soutien-gorge et tu te glisses dans tes draps. On frappe de nouveau à la porte.
"Oui? Entrez!"
La porte s'ouvre sur ta soeur. Elle a l'air inquiète.
"Je suis venue voir comment tu vas." dit-elle en s'approchant de toi avant de s'assoir sur le lit à côté de toi.
"Je vais bien. Juste un coup de fatigue. Ça va passer."
"Mais tu es encore toute rouge!.."
Elle pose sa main sur ta joue. La douceur de son geste te fait frémir de plaisir.
"Tu as le visage en feu."
Dans ta tête tu lui hurles que c'est elle, ta soeur adorée, et si désirée, qui te met le feu... Elle saisit tes mains. Les porte à sa bouche pour les embrasser dans un élan d'affection. Mais une fois prêt de sa bouche elle s'arrête. Les observe. Puis te regarde.
Tu viens de comprendre et ton coeur te donne la sensation de s'arrêter. La main, qui quelques secondes auparavant se trouvait entre tes cuisses; cette main qui te donnait le plaisir tant recherché; et bien cette main porte encore le délicat parfum de ton minou.
Isa se lève du lit et se dirige vers la porte. Sans un mot. Ce silence te transperce les entrailles. Tu te sens honteuse. Tu as peur de l'avoir perdu à cet instant précis.
Mais arrivée à la porte ta soeur tire le verrou et reviens vers toi. Elle s'allonge à côté de toi et passe un bras autour de tes épaules.
"Je suis arrivée trop tôt ou trop tard?"
Tu lui réponds en bafouillant qu'elle arrive toujours au bon moment.
"Et tout à l'heure dans le magasin... tu as eu envie de te..."
Tu n'oses pas répondre. Comment lui dire que tu n'as pas eu envie "de te..." comme elle vient de dire, mais plutôt "de là..."?
"Non... enfin si... mais euh... Ah j'ai honte!"
"Chut! Ne dis pas ça ma Mallau. Tu sais que tu peux tout me dire."
"Certaines choses je sais pas... C'est tellement compliqué"
"Alors laisse moi t'aider. Il y a quelques semaines je me suis levée en pleine nuit pour aller aux toilettes. Au retour, en passant devant ta chambre je t'ai entendu parler et gémir. J'ai compris que tu faisais un rêve agité. Je suis entrée sans faire de bruit et je t'ai vu à demie sortie du lit en train de frotter ton minou en répétant mon prénom. Et en disant des choses cochonnes. Ça m'a mis un drôle de coup. Sur l'instant j'ai eu un peu peur. Je ne comprenais pas ce que je venais de voir. Je me suis d'abord dis que c'était un simple rêve bizarre comme on en fait tous.
Et puis je me suis posée des questions: et si c'était plus qu'un rêve? Comment devrai je réagir?
Je n'avais aucune réponse. Je me suis simplement contentée de te regarder depuis cette nuit là. Attendant de comprendre et savoir. Et plus j'ai gardé ça en mémoire et plus j'ai senti un trouble en moi..."
Pour achever sa phrase, elle penche son visage vers le tien et dépose un tendre baiser sur tes lèvres délicates.
"Et tout à l'heure dans le magasin, tout m'est devenue clair."
Au baiser suivant, elle fait glisser sa langue contre la tienne. Un baiser chaud et fougueux. Toute la tension que tu avais accumulé disparait d'un coup.
Vous voilà dans les bras l'une de l'autre. Amoureusement enlacées. Tes mains caressent ses jambes, ses fesses. Tu aimerais la toucher partout à la fois. Couvrir chaque centimètre carré de son corps par des caresses. Elle, glisse sa main sous les draps. Le contact de sa main sur ta fente t'electrise.
Rapidement vous vous mettez nue. Tu savoures ce moment. Ton Isa est enfin nue pour toi. Pour ton plaisir. Il n'y a plus de barrière à ton désir. Tu prends un de ses seins dans ta bouche, tout en malaxant gentiment l'autre. Autour de ses tetons tu dessines des cercles avec le bout de ta langue. Puis tu les embrasses, les suces, les léches. Tu sens ses mains qui caressent ta peau. Sa bouche qui te dévore de passion.
Tu descends ton visage plus bas. D'abord son ventre. Son nombril devient pour quelques instants ton terrain de jeu. Mais elle prend ta tête entre ses mains et te guide vers son intimité la plus tendre. Te voilà en tête à tête avec son sexe. Tu découvres qu'Isa mouille abondamment. Et c'est toi, rien que toi, tes baisers et tes caresses qui lui font cet effet. Tu débutes par des petits bisous avant de sortir ta langue et la lécher. Tout ce que tu as pu apprendre avec les autres filles que tu as connu va te servir à donner du plaisir à ton amour de grande soeur. Tes coups de langues, tes sucions, tes doigts qui explorent son intimité lui soutirent des gémissements de plaisir. Je suis certain que toi seule est capable de lui procurer autant de plaisir. Tes caresses sont les plus efficaces pour la faire onduler de désir.
Au moment de jouir, son corps tout entier se crispe. Une vague de plaisir la submerge. Ton visage d'ange est maculé de cyprine... Tu retournes l'embrasser à pleine bouche. Dans tes baisers, elle retrouve la saveur de son propre plaisir.
Tout en te rendant tes baisers, ses doigts te pénètrent. Deux doigts qui vont et qui viennent dans ton adorable petite fente. Comme je peux comprendre ton Isa d'amour: comment résister à la tentation lorsque l'on a une fille aussi belle que toi dans les bras? Impossible. Par moment ses doigts sortent de ta chatte pour venir se perdre dans sa bouche. Ainsi, elle aussi se détecte du nectar qui coule de ta vulve. Bien sur elle n'oublie pas ta poitrine voluptueuse. Pas plus qu'elle n'oublie ton bouton de rose. Ton clitoris te semble encore plus sensible.
Un seisme intérieur se propage durant ton orgasme. Tes rales de plaisir, ta soeur les étouffe en t'embrassant.
Vos langues dansent l'une contre l'autre...
Vos corps restent enlacés ...
Tu passes ta main dans les cheveux flamboyants de ta soeur. Ton visage affiche un sourire radieux qui fait apparaître les deux jolis petits plis qui se forment aux coins de tes lèvres quand tu souris. Jamais tu n'as été aussi belle car jamais tu n'as été aussi épanouie.
Isa te demande depuis combien de temps tu attends ce moment. Et lorsque tu lui apprends que cela fait presque 5 ans, elle n'en revient pas.
"Nous avons beaucoup de retard à rattraper ma petite Mallau. Que dirais tu de dormir avec moi cette nuit..."

Par intales - Communauté : histoires coquines sans tabous
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Mercredi 22 mai 3 22 /05 /Mai 15:23

Jour 4 - Suite

Le soir venu, lorsque nous regagnons nos cabines. Une boule de trac se ballade dans mon ventre. J'ai l'impression d'être un gamin qui va avoir sa première relation sexuelle.
Meggh est allongée sur le lit. Nue. Belle comme un ange. Je prend place à côté d'elle. Ma bouche vient se poser sur la sienne. Mes mains caressant ses hanches, remontent vers sa poitrine ferme et généreuse.
Lorsque je détache mes lèvres des siennes, je lui demande si ça va.
"J'ai un peu peur..." me dit-elle.
"Si tu veux, on peut attendre. Rien ne presse, ma puce."
"Non je veux le faire ce soir, avec toi."
De nouveau nous nous embrassons.
"Tout va bien se passer mon amour."
Je ne sais pas si c'est le fait de l'appeler "mon amour", mais le visage de Meggh semble subitement s'illuminer. Ses yeux brillent. Un sourire immense la rend encore plus belle.
"Tu as déjà fait des choses avec des garçons?"
Meggh hésite un instant avant de me répondre puis me dit:
"Avec mon dernier copain, j'ai fait quelques trucs... Et j'ai fait un peu plus de choses avec des filles."
"Ah bon? Tu aimes aussi les filles?"
"Disons que j'ai eu des occasions de m'amuser avec des copines. C'était juste pour s'amuser..."
Immédiatement j'imagine ma douce nièce enlacée dans les bras d'une fille. Ses seins frolant d'autres seins... Sa bouche embrassant la vulve d'une de ses amies... Il n'en faut pas plus pour que mon sexe s'éveille.
"Hummm je vois ça."
"Et moi je vois que cette idée te plait beaucoup." se moque-t-elle en désignant mon érection naissante.
"Oui j'adore cette idée."
J'étouffe le petit rire taquin de ma princesse par un baiser langoureux.
"Et avec ce garçon, tu as fait quoi au juste? Enfin si tu veux bien m'en parler."
"Je ne veux rien cacher à celui qui m'appelle mon amour. Tu veux que je te raconte tout?"
"Oui. Enfin ce dont tu as envie."
"Ok. Mais je te préviens à l'avance ce n'est ni très poussé, ni très joyeux!
Début janvier, j'ai rencontré un garçon. En fait c'est le frère d'une fille de ma classe. Plutôt beau gosse. On s'est bien entendu. On se voyait souvent en potes. Puis une chose en entraînant une autre, nous avons fini par sortir ensemble. Je n'étais pas vraiment amoureuse, mais j'aimais être avec lui, tout en sachant que cette histoire ne durerait pas."
Meggh marque un instant de silence. Une de ses mains caressant mon torse.
"Au bout de quelques semaines, il est devenu plus entreprenant. Les bisous ne lui suffisaient plus. Il voulait que l'on couche ensemble. Moi, je ne savais pas trop. Certes il était mignon, mais je n'imaginais pas perdre ma virginité avec lui. J'espérais plutôt quelqu'un dont je serais totalement dingue. Chaque fois que l'on se voyait il tentait de me convaincre."
Nouvel instant de silence.
"Et puis un jour que nous étions chez lui, en train de nous embrasser, il a défait son pantalon et a sorti son engin. Il bandait. Là, il m'a dit « regarde dans quel état tu me mets! Tu peux plus me laisser comme ça. S'il te plait suce moi ou branle moi au moins»... J'ai accepté de le branler. Même si cette façon de me le demander ne me plaisait pas."
La main qui se trouvait sur mon torse quelques instants auparavant, descend sur mon ventre, avant d'effleurer, comme à son habitude, mon sexe à demi gonflé.
"À partir de ce jour là, chaque fois que nous nous retrouvions tous les deux, il fallait que je lui tripote la queue. Si je refusais, il devenait désagréable. Tant qu'il ne me demandait que ça, je ne disais rien. Parfois, moi, je lui laissais mettre mes seins à l'air, ou glisser sa main dans ma culotte. C'était juste pour lui faire plaisir car moi ça ne m'excitait pas vraiment. Il était brusque, maladroit, sans aucune douceur... Évidemment, il cherchait régulièrement à aller plus loin. Et chaque fois je lui disais que je ne me sentais pas prête. Je n'osais pas lui dire que je savais très bien que je ne serai jamais prête avec lui.
À vrai dire, je pensais de plus en plus à mettre fin à notre histoire car je voyais bien qu'une seule chose l'intéressait vraiment. Parfois je le retrouvais, avec dans l'idée de rompre. Mais c'était comme s'il le savait. Et il devenait plus doux, plus tendre. Alors je lui laissais encore une chance.
Ça a duré ainsi jusqu' en Mai."
Ma nièce marque un silence prolongé. Inquiet, je lui demande si ça va.
"Oui mon amour. Moi aussi je peux t'appeler ainsi?"
"Bien sur que tu peux."
"Tu vois, je n'aurai jamais dit ces mots à lui. Bon où j'en suis? Ah oui.
Donc ce jour de Mai, je le retrouve chez lui. Comme à chaque fois, ça commence par des bisous. Mais ce jour là, il se déshabille entièrement. Il me demande de le branler, ce que je fais. Quand il bande bien, il me demande de le sucer. Chose que je ne lui ai jamais faite. J'avoue qu'essayer une fois me tentait bien, mais je savais que dire oui une seule fois signifierait devoir le faire à chaque fois. Et ça, c'était pas ce dont j'avais envie. Il n'a pas attendu ma réponse. Il s'est alors penché pour attraper un paquet sous son lit. Il me l'a tendu en souriant. Il m'a dit «Tiens, c'est pour toi. Je sais que tu me feras pas la pipe que j'attends, alors à la place j'aimerai que tu essayes ça devant moi.»
Dans le paquet, il y avait un ensemble string et soutien-gorge en dentelle blanche. Bon vu la marque, je savais qu'il ne s'était pas ruiné, mais j'étais super touchée de recevoir un cadeau. Même si c'était un geste intéressé de sa part. J'ai donc accepté de faire cet essayage devant lui. C'est lui qui me guida par la voix sur ce que je devais d'abord retirer. Je prenais ça comme un jeu. Tout en me faisant faire un strip-tease, lui se masturbait. Bien sur, est arrivé le moment où je me suis retrouvée nue. Il était rouge. Il se branlait à toute vitesse. Il me demanda de tourner sur moi même. De desserrer les jambes. Là, je me suis dit qu'il en avait rien à faire que je porte son ensemble. Me voir à poil lui convenait très bien. C'était la première fois que j'étais nue devant un mec, et ce n'était pas aussi beau et romantique que je l'avais imaginé. J'ai donc enfilé le string et aggrafé le soutien-gorge. Il m'attire sur le lit. Plaque sa bouche sur la mienne. Et me colle sa bite dans la main. Tout en l'embrassant, je le masturbai. Ses mains moites me tripotaient partout à la fois. Ses gestes, encore une fois, étaient brusques. Là, je me suis mise à douter de toutes ses expériences avec les autres filles qu'il prétendait avoir eu. En fait, je crois qu'il était aussi vierge que moi."
Meggh se tait. Pousse un soupir dont je ne saisis pas si c'est un soupir de déception ou d'autre chose. Puis elle reprend.
"À un moment il me dit qu'il a grave envie de moi. Il veut que je me remette nue, que l'on fasse l'amour. Je refuse. Il me demande de le sucer. J'hésite. Il continue et me demande d'accepter au moins de lui embrasser le bout et ses couilles. J'ai accepté en lui expliquant que je n'irai pas plus loin que des bisous, ce qu'il a accepté lui aussi.
Au moment où je me suis penchée sur sa queue, il a glissé sa main dans mon string. Je n'ai pas eu le temps de poser ma bouche sur son engin que je sens qu'il glisse violemment un doigt en moi. J'ai eu vraiment mal. Et là, il a perdu la tête.
Quand je lui ai dit qu'il m'avait fait mal et que je ne voulais plus continuer, il s'est jeté sur moi, m'a arraché le string. Il était comme fou. Heureusement, je suis plus leste que lui et j'ai pu me libérer de son pétage de plomb. Je me suis habillée à toute vitesse et je suis partie sans attendre une seconde de plus. Le temps que je remette mes vêtements, il n'a pas bougé mais il m'a insulté. J'ai eu droit à toutes les insultes de son répertoire. La dernière chose qu'il m'ai dite, c'est qu'il en avait assez de sortir avec une fille aussi chaude qu'un congélateur.
Voilà, mon homme, tu sais tout... J'ai jamais eu aussi peur."
"Quel con ce mec! Et c'est donc pour ça que tu n'allais pas bien ces derniers temps?"
"Oui entre autre. Surtout, c'est qu'ensuite il n'arrêtait pas de me harceler. D'abord pour s'excuser, ensuite pour m'insulter. À la fin, il a essayé de me faire une réputation au lycée. C'était vraiment l'enfer. Maman voulait que l'on fasse quelque chose contre lui. Mais ça s'est arrêté. Et maintenant je t'ai toi."
"Oui ma puce, je suis là. Plus personne ne te fera de mal."
"Embrasse moi!"
À cette injonction, je ne peux que répondre favorablement. Je serre ma nièce entre mes bras,  et je l'embrasse langoureusement.
Allongés sur le lit, Meggh vient se positionner sur moi. Étendue sur moi, comme ce matin même, elle couvre mon visage, mon cou, mes épaules et mon torse de baisers.
De mon côté je lui caresse le dos du bout des doigts, provoquant un frisson sur sa peau soyeuse.
"J'ai peur de ne pas être à la hauteur..." me confie-t-elle dans un murmure.
"Tu es déjà à la hauteur, bébé. Et ne t'inquiète pas, je te guiderai. Mais ce soir, c'est moi qui vais tout faire. Toi, n'auras qu'à te laisser aller."

Je fais alors basculer Meggh sur le lit. En partant de son visage, j'entreprends la découverte de son corps avec mes lèvres. Après son cou, je fais étape sur sa poitrine. Ses mamelons gonflés deviennent un moment mon centre d'intérêt. Ma langue titille ses tétons. Je les suce avec gourmandise. Je palpe ces globes fermes et appétissants. Je vole de l'un à l'autre. Meggh me caresse les cheveux et la nuque. Entre mes lèvres et sous ma langue ses tétons deviennent durs. Avec gourmandise, je tète ces seins juvéniles. Ma nièce laisse échapper quelques petits gémissements.

Ma seconde main, inactive jusque là, entre à son tour en action. Je lui caresse la hanche. Descend sur sa cuisse, jusqu'à son genou. Puis je remonte pour venir saisir une de ses fesses. Quelque soit l'endroit où je pose ma main et ma bouche, je ne trouve que douceur et chaleur. Doucement, je ramène ma main baladeuse sur le ventre de Meggh. Connaissant son expérience malheureuse avec son ex petit ami, je me fais aussi doux que possible. Je fais glisser ma main en direction de son pubis glabre. Puis vers son entrejambe. Dans un geste réflexe, elle referme les jambes. Mais pas plus d'une seconde. De nouveau elle s'ouvre à mes caresses. Je délaisse ses seins pour replacer mes lèvres sur les siennes.
"Je t'aime ma puce!"

Au même instant où je prononce ces mots, ma main vient se poser sur son sexe. Celui ci ruisselle de cyprine. Mon index trouve son clitoris. Meggh gémit à ce contact. Tout doucement, je fais glisser mon doigt sur son bouton. Puis progressivement, j'imprime un mouvement plus rapide. Le visage de mon ange trahi son plaisir. Je devine rapidement quel rythme lui procure le plus de plaisir. Parfois, je fais descendre un doigt dans sa fente. Les premières fois, seuls quelques millimètres de mon doigt entrent dans son vagin. Puis la première phalange. Enfin, j'introduis mon doigt véritablement. Meggh semble apprécier car ses petits gémissements se poursuivent.
"Tu es si doux."
Ces mots confortent mon sentiment.

Après être retourné sucer sa magnifique poitrine, je viens placer mon visage entre les jambes de ma jeune nièce. Je dépose des baisers sur l'intérieur de ses cuisses, là où la peau est la plus fine. Descendant, à chaque bisou, plus prêt de son intimité.
Le premier contact de ma bouche sur son sexe humide est un véritable bonheur. Je suis tout à mon plaisir. Oubliant que Meggh est ma nièce, qu'elle n'est encore qu'une ado, et qu'elle est toujours vierge... En fait non, tout ça reste présent à mon esprit et mon plaisir s'en trouve multiplié par 10. Par 100. Par 1000. Être l'initiateur de ma nièce me comble de fierté. L'interdit me fait bander encore plus fort.

Ma langue passe sur ses lèvres intimes. Je recueille le liquide parfumé qui s'écoule de sa fente virginale. J'embrasse sa vulve. J'introduis ma langue dans son vagin. Je m'abreuve à la source du plaisir. Le sexe de Meggh est si mouillé qu'il macule mon menton et ma bouche de cyprine. Je me sers de ma langue comme d'un sexe. Je la fais glisser autant que possible en elle. Faisant des va-et-viens en elle.
Les petits "han" de plaisir de ma nièce me ravissent. Son corps se tortille sur la couchette. Sa main gauche fourrage ma chevelure, alors que la droite malaxe allègrement ses seins aux mamelons saillants.

Quittant à regret l'intérieur de son vagin, mes lèvres viennent sur son clito. Dès les premiers mouvements de ma langue sur son bouton, Meggh se met à balancer son bassin d'avant et arrière. Comme si à chaque mouvement, elle cherchait à plaquer d'avantage son entrejambe contre ma bouche.
Et lorsque mes lèvres enserrent son bouton pour l'aspirer et le sucer, tout en le caressant avec la pointe de ma langue, Meggh décolle le bassin du lit, et appuis avec force contre ma bouche.
"Ooooh ouiii! Ohh ouuiiiiii!" râle-t-elle. "Je vais jouir!"
J'en profite pour faire entrer deux doigts dans son vagin et la pistoner.
Cette fois, les deux mains de Meggh appuient sur ma tête. Son corps se crispe d'un coup. Elle saisit l'oreiller qui se trouve à côté d'elle et s'en sert pour étouffer le long râle de plaisir que lui provoque son orgasme. En aucun cas, je ne stoppe ma sucion sur son clitoris. Je veux tellement que son plaisir se poursuive... Moins d'une minute après ma nièce jouis à nouveau.
Je décolle enfin ma bouche, un peu engourdie par l'activité, de sa chatte.
"Tu manques d'entraînement mon vieux Paulo!" me dis-je intérieurement.

Si le bas de mon visage est couvert de mouille, il en est de même pour les fesses, et le sillon de Meggh. Je me fais un devoir, pour le moins agréable, de récolter ce nectar. Et quand ma langue vient frôler son anus, ma jeune amante pousse un petit ah de surprise.
Mais comme je le souhaitais, son sexe ne cesse de libérer son jus d'amour. Signe de son excitation continue. Je remonte vers son visage. Ma bouche se colle une nouvelle fois sur la sienne. Meggh semble adorer mes baisers au goût de son minou. Elle me prend dans ses bras et m'étreint fortement.

Lorsque nos lèvres et nos langues se séparent, elle approche de mon oreille:
"C'est tellement bon..." me murmure mon ange.
"Bébé, ce n'est que le début de notre histoire. De notre nuit..."

Je me défais un instant de sa douce emprise pour saisir les préservatifs qui se trouvent dans la table de nuit. Mais quand Meggh voit ce que j'ai en main, elle m'apprend:
"Tu n'es pas obligé, je prend la pilule..."
"Tu es sûre que tu veux sans?"
Sans rien ajouter, Meggh m'étreint à nouveau et m'embrasse. Cette réponse me convient parfaitement.

L'instant unique se fait proche. Je lui adresse des mots tendres. La couvre de doux bisous. Puis après l'avoir guidé de ma main pour qu'elle écarte les jambes suffisamment, je me place entre ses cuisses.
Sans quitter son regard, je lui caresse la joue, descend sur sa poitrine. Je sens son coeur battre fort. Peut-être aussi fort que le mien. Pour la première fois de ma vie, et sans doute la dernière, je vais prendre la virginité d'une jeune fille. Et quelle jeune fille! Ma nièce! Une adolescente belle à damner tous les saints.

D'une main, je dirige ma queue dressée depuis nos premières étreintes. Avec mon gland, j'effleure son clitoris à plusieurs reprises. Meggh gémit et mordille sa lèvre inférieure. Sa vulve humide est prête à m'offrir le plus beau des cadeaux. J'introduis lentement mon gland. Il disparait entre les chairs roses, luisantes et chaudes de cette chatte vierge. Ma queue glisse lentement. L'hymen de Meggh n'oppose que peu de résistance. Bien moins que je ne me l'étais imaginé. Le visage de Meggh ne laisse apparaître aucun signe de douleur. Soulagé, je peux me libérer et laisser cour à notre plaisir.
À petits coups de reins, je fais aller et venir ma bite. Puis petit à petit, mes mouvements prennent de l'ampleur et de la force. Les parois serrées du vagin de ma nièce épousent parfaitement mon sexe. Hummm quel plaisir. Pour cette première fois, je ne cherche guère à prendre des positions originales. Je laisse Meggh sur le dos pour profiter du magnifique spectacle de son visage si expressif dans le plaisir. Ses yeux me fixent avec intensité. Sa bouche entre-ouverte laisse passer, entre deux gémissements, un souffle court. Pour profiter de ses seins qui bougent à chacun de mes coups de reins tout en conservant leur maintien.
Je passe un bras sous l'un de ses genoux pour lui relever une jambe. Que cette fille est belle! Lorsque j'accélère, le bruit de mes couilles qui claquent sur Meggh se fait bien entendre. Parfois je quitte du regard ma jeune nièce pour regarder mon sexe tendu coulisser dans son vagin étroit. Il brille de cyprine. Je prend plaisir à le faire sortir et le refaire entrer quand après une sortie accidentelle, j'ai réintroduis ma queue en provoquant un nouveau râle de Meggh. Avec un pouce, je caline son clitoris. Associé à mes coups de reins, Meggh semble au comble de l'extase. Son corps se cabre. Ses muscles se tendent. Son vagin se contracte autour de ma queue.
"Han!Han! Oh oui... Je... vais... jouirrr!"
J'accélère mon jeu de hanches afin de jouir au plus vite. Mon sperme jaillit alors dans l'intimité la plus douce de ma nièce. Plusieurs jets qui me transportent dans une jouissance comme j'en avais rarement connu. Meggh, dont les jambes s'étaient relevées pour m'entourer, me libère.

Je m'allonge à ses cotés. Nos souffles sont courts. Immédiatement, celle qui est à présent ma «maitresse» vient se blottir dans mes bras comme elle en a pris l'habitude. Elle embrasse mon torse. Revient sur mes lèvres. Retourne sur mon torse. Du bout de deux doigts, elle touche ma bite ramollie, mais toujours humide de nos deux liqueurs. Puis, pour la première fois depuis notre départ, elle la prend complètement dans sa main. La tenant comme si c'étais un petit oiseau blessé.
"Ton sexe est aussi épuisé que moi!" s'écrie-t-elle.
"Il a juste besoin d'un peu de repos. Mais si tu le gardes dans la main, il ne va pas tarder à se réveiller."
Le petit rire cristalin de Meggh me comble de joie.
"Jamais je n'aurais cru que cela soit aussi bon." me confie ma nièce. "J'ai toujours su qu'avec toi ça serrait beau. Mais que ce soit... aussi fort... Je peux te le dire à présent: j'ai toujours voulu que tu sois le premier. Je savais qu'il y avait peu de chance que ça arrive. Mais je t'aime tellement et depuis si longtemps..."
"Depuis si longtemps?"
"Oh oui. Je te l'ai déjà dit, tu es le père que je n'ai pas eu, l'ami que j'attends et à présent tu es l'homme avec qui je veux être. Pour toujours..."
Ces mots d'amour me touchent. Sa candeur m'émeut. Ignore-t-elle vraiment qu'en dehors de ce bateau, la Terre entière cherchera à nous juger?
"Faire l'amour te rend très amoureuse ma puce."
"Il y a longtemps que je le suis." précise-t-elle.
Son corps de rêve se blottit d'avantages contre moi. Après un moment de silence Meggh baille.
"Tu es fatiguée ma puce?"
"Jouir 3 fois aussi fort et en aussi peu de temps ça m'a tué. C'était vraiment trop bon."
Sa voix se fait de plus en plus faible. Meggh se faisant absorber par le sommeil. Elle ajoute cependant:
"Même avec les jumelles, quand on se caresse, on ne jouis pas aussi fort..."
"Tu veux dire que les filles avec qui tu as couché sont Alix et Julie?"
Mais je n'obtiens aucune réponse. Meggh s'est endormie.

 

 

 

À suivre , peut être

Par intales - Publié dans : Croisière - Communauté : histoires coquines sans tabous
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Mercredi 22 mai 3 22 /05 /Mai 15:21
Jour 4

Hier a été une journée sans vraiment de faits importants. Lorsque je me suis réveillé, Meggh était déjà dans la salle de bain. Je n'ai donc pas pu profiter de sa beauté. Toutefois je n'en ai ressenti aucun regret car je savais que le soir venu, j'aurai l'immense plaisir de serrer le corps nu de ma nièce entre mes bras.
Nous avons quitté Anglet dans la matinée pour prendre la direction de La Corogne, notre prochaine escale. Tout au long de la journée, mon regard croisa celui de ma nièce. Bien plus que d'ordinaire.
Alix et Julie, par leurs incessantes pitreries, m'ont permis de ne pas me focaliser uniquement sur Meggh. Après tout, je n'avais prévu cette longue croisière que pour passer du temps avec mes filles. Alors je me devais de leur consacrer du temps la journée, et réserver mes troublantes pensées pour Meggh pour la nuit.
Le soir venu, j'ai décidé de passer la nuit au mouillage quelque part entre Santander et Gijon. Puis après avoir dîné et discuté longuement tous les quatre, nous avons rejoint nos cabines. Le cœur battant, j'ai pris ma douche et laissé la place à ma nièce. Nous nous sommes ensuite allongés nus sur le lit, Meggh venant se blottir directement dans mes bras. Nous avons peu parlé. Je caressais simplement le dos, les reins et la naissance des fesses de ma jeune nièce. Elle, comme la veille, a laissé sa main sur mon ventre. Et comme la veille, elle a effleuré du bout des doigts mon sexe gonflé de désir pour elle, avant de me regarder partir pour les toilettes quand mon besoin de jouir a été trop fort.
Elle s'est ensuite endormie dans mes bras...


En ouvrant les yeux ce matin, j'ai la surprise de voir Meggh assise en tailleur, le haut du corps penché en avant, en train de me sourire.
"Bonjour Paul. Tu as bien dormi?"
"Bonjour ma puce. Oui j'ai bien dormi. Avec toi dans mes bras, la nuit ne peut être que douce et agréable."
Elle me remercie de ces paroles en accentuant son sourire.
"Mais qu'est ce que tu fais là, assise, à me regarder comme ça?"
"J'aime bien te regarder. C'est tout."
"Oh bah si c'est pour regarder les ravages du temps..."
Meggh vient alors prendre place dans mes bras. Je retrouve avec plaisir le contact de sa peau nue et chaude contre moi. Elle dépose un baiser sur ma joue et sur mon torse.
"Les ravages du temps... Vraiment tu dis n'importe quoi. Moi je te trouve extrêmement... séduisant."
"Oh comme c'est gentil ça. Ma nièce adorée sait me parler!"
À nouveau Meggh m'embrasse sur le torse. Je l’étreins un peu plus fort. Elle pivote sur moi et se retrouve allongée sur moi, entravant mes jambes entre les siennes.
"Serre-moi fort" me murmure-t-elle.
Meggh place son visage au creux de mon épaule. Mes bras se replient sur son dos. Ma main gauche caresse sa nuque. Descend le long de sa colonne vertébrale.
Elle m'embrasse dans le cou. Plusieurs petits baisers tendres.
"Tes mains sont si douces..." dit-elle dans un léger souffle.
"Tes lèvres le sont encore plus, ma puce."
Ma troublante nièce m'embrasse le cou à nouveau. Puis l'épaule, la joue. Inutile de vous préciser que mon sexe s'est dressé. Installée comme elle l’est- les jambes écartées au niveau de mon pubis - Meggh ne peut ignorer ma queue levée qui frotte contre sa fente et ses fesses. Je n'ai qu'une envie: entrer en elle. Si je ne doute pas une seconde qu'elle est pleinement consciente de ce que nous sommes en train de vivre, rien ne me dit qu'elle est envie que nous allions plus loin. Je veux lui laisser décider du moment.
Toutefois je me risque à pousser légèrement la limite de ce que nous avons déjà partagé ces derniers jours. Si durant les premiers jours je me suis toujours arrêté au commencement de ses fesses, cette fois ci, je ne m'arrête pas. Je pose même mes deux mains sur son magnifique postérieur. Écartant les doigts pour saisir pleinement ces deux globes de chair ferme recouverts par une peau extrêmement douce.
À mon geste, Meggh relève son visage, radieuse. Doucement je lui caresse les fesses. Je prends un plaisir immense à gentiment les pétrir. Depuis le temps qu'elles étaient offertes à ma convoitise...
"Oh oui tes mains sont vraiment les plus douces de la Terre!"
"Tu crois pas que nous sommes en train de faire une bêtise? Tu es ma nièce. Tu es si jeune."
"Je m'en fous. Je n'ai jamais été aussi bien de toute ma vie que depuis que... tu t'occupes de moi. Dans tes bras, je suis heureuse."
Son visage se trouve à quelques centimètres du mien. Nos regards se fixent sans plus se lâcher. Les yeux de Meggh sont légèrement rouges. Sa lèvre inférieure tremble un peu. Bon sang que cette fille me trouble! Que m'arrive-t-il? Je suis en train de tomber amoureux d'elle.
Comme si j'étais dans un film, je vois le visage de Meggh s'approcher du mien au ralenti. Je devrai tout arrêter maintenant. Stopper net ce qui semble se dessiner entre cette lolita et moi. Mais je n'en ai pas la force. Pas l'envie. Et tant pis si je suis damné pour cette folie.
Les lèvres de Meggh se posent alors sur les miennes. Très vite de simples baisers, nous passons aux baisers fougueux et passionnés. Comme si nous voulions, par ces embrassades, nous libérer de toute la tension sexuelle qui s'est accumulée depuis 4 jours. Sa langue a pris possession de ma bouche. Elle vient chercher la mienne. Parfois Meggh délaisse mes lèvres pour m'embrasser partout sur le visage, avant de revenir sur ma bouche avec encore plus d'envie.
Je me laisse faire. Quoi de plus beau que d'être le tendre défouloir d'un ange.
Quand ma nièce semble rassasiée, elle se redresse pour se retrouver assise sur moi. Au niveau de mon pubis. Ma queue gonflée à l'extrême se retrouve bloquer dans une position qui me fait atrocement mal. Je fais donc légèrement lever le bassin de Meggh et mon sexe se retrouve tendu en direction de mon ventre. Meggh se rassoit ensuite sur moi. Sans vraiment le vouloir, ma queue se retrouve plaquée entre mon ventre et sa fente.
À ce moment précis, je découvre que la chatte de ma petite Meggh est totalement mouillée. Bien que je n'avais aucun doute là dessus, j'ai la certitude qu'elle me désire autant que moi. Elle me désire tellement que je la vois commencer à faire bouger son bassin d'avant en arrière. D'abord par des petits mouvements à peine perceptible, puis progressivement par des mouvements plus amples. Son clito glisse sur ma queue. Sa cyprine humidifie mon sexe et mon bas-ventre. Meggh laisse échapper quelques gémissements. Ses yeux ne quittent rarement les miens que pour se poser sur mon sexe. Cette manière de caresser son bouton de plaisir sur ma queue paraît lui donner beaucoup de plaisir. Et à moi aussi par la même occasion. À 41 ans je découvre ce petit jeu. Meggh accélère encore ses mouvements. Elle bascule le haut du corps vers l'avant pour prendre appuis, les bras tendus, contre la tête du lit. Ses seins se trouvent à portée de ma bouche. Je prends le droit d'une main, alors que mes lèvres viennent envelopper le mamelon de gauche.
"Hummm" gémit ma tendre amante.
Je la tête, lui suce les tétons avec délectation. Meggh ne cesse de faire glisser son clito sur ma gaule.
Le souffle court, ma nièce me murmure:
"Ooooh je vais jouir. Je vais..."
"Papa! Désolée de te réveil... Oh pardon!"
Alix vient d'entrer dans la chambre. Le spectacle que sa cousine et moi lui offrons la coupe dans son élan. Tout comme son entrée nous fige sur place.
Meggh réagit la plus promptement en s'éclipsant rapidement dans la salle de bain me laissant seul avec ma fille, nu et le sexe dressé. Je me précipite sur mon boxer.
"Euh je crois que je vais t'attendre dans le couloir." me dit-elle en refermant la porte derrière elle.
Tout est allé si vite, que j'ai du mal à réaliser. Mais au bout de quelques secondes je prends conscience des tonnes d'emmerdement qui risquent de me tomber dessus si Alix vient à tout répéter.
Sans attendre davantage, mais les jambes tremblantes, je retrouve ma fille dans le couloir. Appuyée contre une cloison, elle pleure... de rire!
"Alix! Il n'y a rien de drôle!"
"Si tu avais vu vos têtes et le bon que vous avez fait, tu ne dirais pas pareil, je te jure."
"Alix!.."
"Bref. Julie a super mal au ventre, elle va surement avoir ses règles. Donc je venais te demander où est la trousse à pharmacie que maman t'a préparé car il y a ce qu'il faut dedans."
"Je vais la chercher, elle est dans ma salle de bain. J'arrive."
Alix retourne dans sa chambre tandis que moi je vais dans la salle de bain. Meggh y est assise sur les toilettes, en larmes.
Je ne sais quoi dire. Et lorsque d'une voix faible, elle me dit qu'elle est désolée, je lui réponds sèchement que ce n'est pas le moment. Je me reprends aussitôt et lui demande pardon. Mais les larmes inondent son visage. Je la laisse là, mal à l'aise, pour rejoindre la cabine des jumelles.

Je suis sur le point d'entrer, lorsque j'entends, par la porte légèrement entre-ouverte, la voix d'Alix:
"Si si! Je te jure! Ils étaient à poil tous les deux sur le lit... Papa allongé sur le dos et Meggh assise à califourchon sur lui. Elle bougeait sur lui, et lui, il avait un de ses seins dans la bouche."
"Ils étaient en train de... ?"
"En quelque sorte, mais pas vraiment. Quand Meggh c'est relevée à toute vitesse, j'ai vu qu'en fait la bite de Papa n'était pas dans Meggh, mais que elle, elle était assise dessus."
"Et t'as vu sa bite?"
"Ça pour la voir, je l'ai vu. Bien grosse et elle avait l'air toute mouillée... Elle devait être super excitée la cousine!"
En entrant dans la cabine, je stoppe leur bavardage. Mais leurs regards taquins parlent pour elles. Sans rien laisser paraître, je m'occupe de la santé de Julie.



Jusqu'à La Corogne je reste quasiment seul. Julie reste allongée dans sa cabine. Alix lui tient compagnie une partie de la matinée. Meggh ne se montre pas non plus. Je me sens coupable et mal à l'aise. Je sais que j'ai été injuste de lui parler sèchement. Je me dis aussi que je n'aurais jamais du laisser la situation dériver de la sorte. Et pourtant... Sa beauté. La douceur de sa peau. La chaleur de ses baisers reste fermement ancrée en moi. L'envie de la serrer dans mes bras est plus forte que jamais.
À midi les filles décident de déjeuner, toutes les trois, entre elles dans une cabine, me laissant seul avec mes doutes.

Il est presque 16h lorsque nous entrons dans le port de plaisance. Les filles refont surface. Pour ne rien laisser voir de mes états d'âmes, je leur demande préparer leurs affaires à laver que Meggh et Julie porteront à nettoyer. Pendant ce temps, j'irai avec Alix à la capitainerie.

Seule avec moi, ma fille fait le premier pas.
"Tu sais Papa, pour ce que j'ai vu ce matin..."
"Je... je... je suis désolé." dis-je en bafouillant.
"Écoute, d'après ce que j'ai vu, Meggh m'avait l'air totalement consentante. C'est la seule chose qui compte pour Julie et moi. Alors si vous vous éclatez tous les deux, y a aucun souci. Vous êtes assez grands pour savoir ce que vous faites. Ça ne sortira pas du bateau."
"Mais c'est votre cousine. Elle a votre âge!"
"Oui. Pour certains ça peut être choquant, mais que veux tu, tu nous as appris la tolérance, donc si vous êtes heureux dans votre relation, c'est bon pour nous."
"Je sais pas quoi dire... Je me sens si mal. Coupable d'un côté et de l'autre Meggh est si..."
"Te prend pas la tête Papa. Tu as le droit de t’éclater. Et Meggh n'attend que ça depuis si longtemps."
"Comment ça?"
"T'es tellement aveugle que tu n'as jamais vu à quel point elle est en admiration devant toi?"
"Et avec Julie, ça ne vous dérange pas? C'est pourtant un..."
"Un inceste? C'est ce que tu n'arrives pas à dire? Non ça ne nous dérange pas. Encore une fois, du moment que Meggh est consentante et qu'elle est consciente de ce qu'elle fait, pourquoi on la jugerait? Non, je te le redis, nous ça ne nous gêne pas. C'est même plutôt excitant."
"Excitant?"
"Oui... Enfin peu importe. Parle à Meggh tout à l'heure, car elle se sent vraiment mal depuis ce matin."
"Oui, je le ferai. C'est promis. J'ai vraiment des filles extraordinaires..."
"Oui! J'avoue que nous sommes parfaites. J'espère que tu l'oublieras pas si un jour on te demande quelque chose d'important." conclut Alix, tout sourire, avant que nous entrions dans la capitainerie.

Meggh et Julie nous rejoignent peu de temps après notre retour à bord. Je profite que Meggh se rende dans notre cabine pour ranger les vêtements, pour la retrouver, seul à seul.
"Tout c'est bien passé à la laverie?"
"Oui oui. Aucun problème."
Je me rapproche alors d'elle et je la prends par la taille.
"Ma puce, je suis vraiment désolé de t'avoir mal répondu ce matin. Même si j'étais stressé par ce qu'avait vu Alix, je n'aurais pas du être brusque avec toi."
"C'est pas grave." se contente de répondre ma nièce.
"S'il te plait, regarde moi dans les yeux et fait moi un sourire. Tu es si attirante quand tu souris."
Et elle me sourit. D'un sourire lumineux. Je ne peux m'empêcher de poser mes lèvres sur les siennes. Instantanément ce baiser devient fougueux. Nous basculons sur le lit. Nos lèvres soudées, nos langues mêlées, nos corps aimantés.
Entre deux baisers, j'avoue à ma Meggh que j'ai envie d'elle.
"Oh moi aussi. Je veux que tu sois le premier avec qui je le ferai."
"Tu ne l'as jamais fait?" dis-je un peu surpris.
"Je suis toujours vierge oui!"
Je l'embrasse un peu plus tendrement.
"Alors nous ferons ça comme il faut ce soir. Je ne veux pas que le cadeau que tu m'offres se fasse à la hâte. Tu mérites mieux que ça."



A suivre

Où Meggh offre sa virginité à son oncle



Par intales - Publié dans : Croisière - Communauté : histoires coquines sans tabous
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Mercredi 22 mai 3 22 /05 /Mai 15:17

Lorsque ma femme a quitté la maison, découvrant après trois ans de mariage qu'elle n'était pas faite pour la vie de famille, elle m'a laissé seul avec deux enfants en bas âge. Tout au long de ces années je me suis efforcé d'être un bon père. Maintenant Sarah a 19 ans, et Jérémie fête aujourd'hui ses 18 ans.
Pour l'occasion, j'ai décidé de louer un film porno et d'acheter quelques bières dans le but de passer une soirée "de mecs" avec mon fils.
Jérémie a toujours été introverti. Préférant la compagnie des livres, il étudie sans cesse. Bien évidemment l'avantage à ceci c'est qu'il est devenu un brillant élève. Mais en contrepartie, il est d'une timidité maladive avec les filles. Je souhaite donc profiter de cette soirée pour lui ouvrir les yeux sur les moments agréables d'une relation avec une femme.

Après une dizaine de minutes de film, je tends une bière à mon fils quand Sarah entre dans la pièce. Je la croyais partie dormir. Son entrée me rend nerveux car connaissant ses idées féministes, je ne sais pas comment elle va réagir à la vue d'un "de ces films immatures et misogynes qui traitent les femmes comme de la viande!"
"Je peux m'asseoir et regarder le film avec vous?" demande-t-elle à ma grande surprise.
"Bien évidemment."
Elle prend alors place sur le canapé à côté de Jérémie qui n'a toujours pas prononcé un mot depuis le début du film.

Durant les scènes un peu plus "calmes" du film, je jette des coups d’œil discrets à mes enfants pour voir comment ils réagissent au spectacle. Jérémie est à fond dans le film. En élève consciencieux, il semble étudier attentivement toutes les scènes. Pour moi, je n'ai aucun doute sur sa virginité, et je suis même prêt à parier que c'est la première fois qu'il voit un acte sexuel. Par contre, je n'en dirais pas autant au sujet de Sarah. Je sais qu'elle n'est plus vierge depuis qu'il y a trois ans, elle m'a demandé l'autorisation de prendre la pilule.

Vers la fin du film, durant les scènes les plus chaudes, je vois que Sarah bouge les jambes nerveusement. Cela ne fait aucun doute qu'avec le film, l'excitation la gagne. Jérémie est toujours scotché. Sur lui aussi, le film fait son effet : pour preuve une bosse s'est formée en haut de sa jambe gauche, et elle est clairement visible.
Sarah s'agite de plus en plus et pose finalement sa main sur la jambe de son frère. Celui-ci était tellement absorbé par le film, qu'il réalise pour la première fois que sa soeur est assise à coté de lui. Mais immédiatement, son attention se reporte sur l'écran, ne voulant rien manquer de "l'action". Bon c'est vrai que la fille du film est terriblement belle, mais entre la voir chevaucher son partenaire et observer le manège de Sarah, pour moi le choix est vite fait...

Résolument, Sarah laisse courir sa main sur la jambe de son frère, et palpe fermement la bosse dans son pantalon. Jérémie sursaute et se raidi. Il regarde sa soeur avec une expression de grande surprise. Celle-ci ne lui répond qu'en lui adressant un sourire malicieux et un regard appuyé. Je devine les pensées qu'elle a pour son frère: J'ai envie de toi, tu n'as aucune idée de ce qui t'attend.
Jérémie me regarde d'un air perplexe sans rien dire. Il attend sans doute que j'intervienne pour arrêter sa soeur. Mais je hausse simplement les épaules et lève les yeux au ciel en signe de fausse impuissance.

Étonnement, Sarah se comporte comme si je n'étais pas dans la pièce. Pourtant je suis dans mon fauteuil, un peu à l'écart du canapé sur lequel ils sont assis, mais à deux pas. Sarah a assez d'espace pour se sentir seule avec son frère, et moi je suis assez prêt pour voir tout ce qu'ils font.
Sarah fixe le visage de Jérémie. Sans le quitter des yeux, elle prend la main droite de son frère et la place fermement sur l'un de ses seins. Jérémie saisit l'allusion et commence à lui caresser doucement la poitrine, en testant sa fermeté par dessus le soutien-gorge.
"Place-toi devant moi" dit Sarah en saisissant le bras de son frère, puis le plaçant comme il le faut.
Je réalise soudain que je regarde ma fille qui allume mon fils. Avec le film, la bière et le comportement de ma fille, j'ai envie d'en voir plus. Beaucoup plus.

Sarah a placé Jérémie juste en face d'elle. Assise sur le bord du canapé, elle lui déboutonne le pantalon. Glisse ses doigts au niveau de la ceinture et baisse en une seule fois son pantalon et son boxer. La queue de Jérémie jaillit, pointant face au visage de sa soeur. Sa bite virginale est lisse et blanche. Ses couilles sont clairement gonflées. Aussi bien en raison du film que du bonus inattendu: les caresses de Sarah.
Sur l'écran le film est terminé. Il n'y a plus que la neige. Mais je ne l'éteins pas, de peur de briser le charme et de stopper le déroulement des événements entre mes deux enfants.

Sarah caresse l'intérieur des cuisses de Jérémie, tout en évitant de lui toucher le sexe ou les testicules. Leur petit jeu m'excite. Sarah ne quitte pas l'engin qui pointe en face de son visage. Elle observe et admire sa grosseur et sa longueur. Sans doute est elle déjà en train d'imaginer le plaisir qu'elle peut en tirer.
Enfin sa main se place sur les couilles de son frère. Jérémie laisse échapper un gémissement. Sa queue fait un soubresaut. Sarah comprend qu'il ne faut pas perdre de temps. Tout en gardant les couilles de son frère dans sa main, elle lui attrape la queue avec l'autre main. Elle imprime quelques aller-retour et le fait entrer dans sa bouche. Jérémie ne peut retenir un long râle... Moi même je bande en imaginant ce qu'il peut ressentir en cet instant où sa bite glisse pour la première fois dans une bouche chaude et humide. Sarah avale la queue de Jérémie comme une experte. Elle la fait ressortir, la lèche de bas en haut, cajole le gland avec sa langue, puis la prend entièrement dans sa bouche à plusieurs reprises. Elle lève la tête, les yeux fixés sur son frère. Avec un sourire de satisfaction sur son visage, elle fait de nouveau planer sa langue sur son gland sensible.
Quand Jérémie est proche de l'orgasme, il devient tendu.
"Je... je... je pense que tu devrais arrêter!" dit-il d'une voix cassée et tremblante.
Mais Sarah ignore la remarque de son frère. Sa tête continue à monter et descendre sur la queue de Jérémie avec encore plus d'entrain.
"Aaaaaaaaaaahhhhh..." s'écrie Jérémie pendant qu'il décharge son foutre dans la bouche de sa soeur.
Sarah garde le membre palpitant dans sa bouche, tout le temps qu'il crache son jus chaud jusqu'à la dernière goutte. Quand il a fini, elle le retire, et lui dépose un baiser sur le bout.
Jérémie, vidé, se laisse tomber sur le canapé, les bras et les jambes relâchés, et la queue ramollie.

"Maintenant à mon tour!" lance Sarah, en souriant.
Debout, elle commence à déboutonner son chemisier et le retire. Puis elle se débarrasse de son jean, ne conservant que son soutien-gorge et sa culotte bleu-ciel. Elle laisse le temps à son frère de contempler son corps en détail. Je réalise que c'est la première fois que je vois ma fille quasiment nue depuis son enfance. Sa pratique régulière du sport rend son corps parfait. Sa peau bronzée est appétissante. Physiquement elle a les courbes élégantes d'une jeune adulte, tout en gardant la fermeté et l'éclat de la jeunesse.
Sarah fait face à son frère, les mains sur les hanches. Lentement elle croise les bras, et passe ses mains sur son ventre. Ses mains passent sur ses flancs, les bras toujours croisés, remontant vers les épaules. Cela fait ressortir sa poitrine, mettant en avant tout son volume. Ses seins semblent vouloir s'évader de son soutien-gorge. Le père que je suis découvre que sa petite fille chérie est devenue une femme experte dans l'art de mettre son corps en scène et d'éveiller le désir.
Elle déplie les bras, fait glisser ses mains sur son cou, sur ses oreilles et dans ses longs cheveux bouclés. Elle tend les bras au dessus de sa tête et se cambre. C'est un spectacle merveilleux. Son corps est mince, ses jambes sont longues et fines et son cul est magistralement mis en valeur. Jérémie la regarde la bouche grande ouverte. Pour une première il ne pouvait être mieux servi. Ma queue qui avait dégonflé, recommence à enfler.
Sarah maintient sa position un moment puis dégrafe son soutien-gorge. Avec un art étudié de la mise en scène, elle baisse les bonnets et nous dévoile ses seins généreux. Bien qu'abondante, sa poitrine est assez ferme pour se tenir. Ses tétons roses vifs se détachent de sa peau bronzée. Tendus, on dirait deux bonbons prêts à être sucés.
Après avoir lancé son soutien-gorge sur le canapé, Sarah commence à frotter son entrejambe. Elle tire sur sa petite culotte bleu-ciel de sorte que les formes de sa chatte soient clairement visibles. Pivotant sur elle même d'un demi-tour, elle présente son derrière à son frère. Elle se penche ensuite, légèrement en avant, pose ses mains sur ses hanches, puis glisse ses pouces dans l'élastique de sa culotte.
Doucement, elle fait glisser sa culotte, révélant le plus beau cul que j'ai jamais vu de ma vie. Là, un détail me saute aux yeux: tout le corps de ma fille est bronzé. Aucune marque de maillot... Ajouté à sa science de l’effeuillage, je comprend que je suis loin de tout connaître de ma fille.

Lorsque sa culotte touche le sol, je réalise qu'elle est mouillée. Que le bleu-ciel a pris une teinte plus sombre. La queue de Jérémie s'est redressée. Mon coeur bat à mille pulsations à la minute.
Sarah se retourne, se penche vers Jérémie et pose ses mains sur dossier du canapé, de part et d'autre de son frère. Dans cette position, ses seins ne sont plus qu'à quelques centimètres à peine du visage de Jérémie. Mon fils n'hésite pas un seul instant. Il avance sa bouche gourmande, et se met à sucer l'un des seins de sa soeur avec conviction, tout en massant l'autre vigoureusement.
Toujours debout, Sarah à ouvert ses jambes de sorte qu'elle forment un V inversé. D'où je suis placé, j'ai une vue exceptionnelle de la chatte de ma propre fille: elle est intégralement rasée, et révèle un monticule légèrement coloré et lisse. Ses lèvres, roses et humides, dépassent de sa fente. Sarah prend la main de son frère qui lui masse les seins, et la guide vers sa chatte. Jérémie tâtonne maladroitement du bout des doigts, ne sachant pas exactement quoi faire. Sa soeur accompagne alors ses doigts et lui fait écarter les lèvres de sa chatte. Ensuite elle le guide sur son clitoris et lui fait frotter le temps nécessaire pour qu'il agisse de lui même. Simultanément, ses hanches se balancent d'avant en arrière, m'offrant un spectacle merveilleux. Sarah laisse la main de son frère la titiller seule et ferme les yeux. Regarder Jérémie, le doigt sur la fente de sa soeur et la chatte de celle-ci pleinement exposée à ma vue me fait bander au maximum. Ça en devient douloureux. Je souhaiterai de toutes mes forces enfoncer ma queue bien dure au fond de cette jeune et jolie chatte. Dans la chatte de ma propre fille. Et il me faut un sang froid énorme pour rester en place.
Sarah se met à genoux devant le canapé et attire la queue dressée de son petit frère. Une nouvelle fois, elle l'introduit dans sa bouche. Une fois l'engin bien humidifié de salive, et aussi raide que possible, Sarah repousse Jérémie contre le dossier du canapé et vient s’asseoir sur sa bite, en le dirigeant dans son vagin d'une main experte.
"Voyons voir ce que tu as retenu du film!" lance-t-elle, tout en commençant à monter et descendre le long de la queue de Jérémie.

Ses seins sautent joyeusement. Rebondissent de bas en haut au rythme des mouvements de ma fille.
Les mains de Jérémie, posées sur les hanches de sa soeur, commencent à glisser sur les côtes pour venir couvrir la généreuse poitrine de Sarah. La saisir à pleines mains.
Pendant ce temps, j'observe avec délectation la chatte de Sarah. Je suis captivité par le mouvement hypnotique de ses lèvres roses et brillantes de mouille, glissant le long de la queue blanche et inexpérimentée de Jérémie. Quel spectacle excitant! Mon sexe, extrêmement dur, cherche quasiment à sortir de sa cachette, prêt à exploser à tout instant comme de la nitroglycérine.

Pour la première fois de la soirée, Sarah me regarde. Constatant l'énorme bosse dans mon pantalon, et la sensation douloureuse qui s'affiche sur mon visage, elle me fait signe de m'approcher d'elle. Sans attendre qu'elle me le demande une seconde fois, je saute de mon fauteuil, et franchis la courte distance qui nous sépare. Dès que je suis près d'elle, ma fille palpe ma bosse avant de la caresser.
Contrairement à Jérémie, je n'ai pas besoin d'attendre l'autorisation pour me déshabiller. Je baisse rapidement mon pantalon. Ma queue gonflée et palpitante se libère. Les yeux de Sarah s'élargissent de stupéfaction. Ma queue est bien plus grande et grosse que celle de Jérémie, et mes boules sont enflées d'avoir vu le spectacle de leur désir. Jérémie me regarde brièvement, me lance un regard étrange. Je ne sais pas ce qu'il cherche à me dire. Quoi qu'il en soit, cela n'a pas d'importance car rapidement il retourne son regard sur le cul de sa soeur qui sautille devant lui.
Sarah se décide à caresser mon sexe tout en baisant son frère. Je suis sur le point de décharger tout mon foutre sur elle quand elle me délaisse sans prévenir.
Haletante de son va-et-viens sur son frère, elle lâche ma queue et se penche en avant. La bite de Jérémie est à deux doigts de quitter son fourreau. Mais par des petits mouvements, Sarah remonte et redescend, enfonçant la bite de son frère jusqu'à la garde à plusieurs reprises. Mon fils peut voir entrer et sortir son engin dans la fente de sa soeur. Nul doute que son excitation doit accroître d'avantage encore. Vraiment ma petite Sarah est une experte en sexe et dans l'art d'exciter les hommes.

Ma fille se relève. Jérémie, qui aurait sans doute aimé poursuivre ce moment, semble déçu. Mais pour peu de temps. Sarah se met à quatre pattes sur le sol, le cul tendu dans notre direction. Elle cambre le dos de sorte que son derrière pointe vers le haut. Sa vulve nous est offerte en spectacle. Jérémie et moi sommes nus, côte à côte, la queue tendue vers l'avant, admirant Sarah toute aussi nue et excitée que nous. Les lèvres écartées de sa chatte révèlent un trou qui ne demande qu'à être rempli.

"Mets la moi!" ordonne Sarah à son frère en regardant sa queue luisante de mouille.

Jérémie s'approche d'elle avec sa bite bien dure balançant de droite à gauche. Il s'agenouille derrière le postérieur. Attrape son engin d'une main et le mène jusqu'au trou doux, chaud et humide de sa soeur. Le simple fait d'assister à cela me donne envie d'éjaculer. Comme je voudrais être à la place de mon fils, et que ce soit ma bite qui se voit offrir un droit d'entrée dans cette chatte attirante.
Jérémie commence à la pistonner à coups longs mais lents, au début. Mais ce n'est qu'un échauffement avant d'accélérer le rythme. Sarah me regarde à nouveau et me fait signe de venir face à elle. J'obéis avec plaisir et envie. Et quand je me retrouve face à elle, elle lève la tête et tapote le sol juste en dessous d'elle.
"Allonge toi ici!" me propose-t-elle en souriant, pendant que Jérémie s'active en elle.
Je m'assois donc en face d'elle, puis je place mes jambes et mon bassin de sorte à me trouver juste en dessous de son corps. Je suis penché en arrière, appuyé sur les coudes. Ma queue est dressée juste en dessous de son visage. Sarah l'embrasse, la lèche, flatte mon gland écarlate. Puis la fait glisser dans sa bouche. La plus excitante des fellations! Ma propre fille se met à me pomper avec gourmandise et savoir- faire, alors que son frère la baise par derrière. Sa salive s'écoule le long de ma bite pour venir humidifier mes couilles.
Mon regard va de ma bite qui entre et qui sort de cette bouche adorable, à mon fils qui baise cette chatte offerte. Jérémie a les yeux fermés, le visage crispé par l'effort. Nul doute qu'il apprécie ce moment. Quel dépucelage!
Sarah retire un instant ma queue de sa bouche.
"Baise moi plus fort!" crie-t-elle à Jérémie.
Son frère augmente la cadence de ses mouvements un peu plus. Je décale le haut de mon corps pour mieux voir l'anatomie parfaite de ma fille.

Sarah gémit de plus en plus. Elle alterne fellations et masturbations sur mon sexe humide. Sa bouche, sa langue, ses mains s'activent avec adresse.
"Enfonce la moi!" ordonne-telle "Enfonce moi bien ta bite dans la chatte!"
Galvanisé par les encouragements de sa soeur, Jérémie la baise de toutes ses forces. Le cul de Sarah tremble sous les coups de butoir. Ses seins se balancent sauvagement. C'est plus que je ne peux en supporter. Des années d'abstinence, le porno, mes propres enfants qui baisent devant moi, ma queue enfoncée dans la bouche de ma fille...
Je sent l'orgasme arriver. Je suis sur le point de libérer la plus grosse giclée de sperme de toute ma vie. Je bloque le visage de ma suceuse de fille entre mes mains. Une chaleur, une fièvre incroyable coule en moi.

"Aaaahh!"

Je gémis lorsque ma bite explose de plaisir dans la bouche de ma fille. Une jouissance, comme jamais je n'en ai connu, parcours mon corps.
"Mmmmh..." est le seul son que fait Sarah en essayant d'avaler les jets de sperme que déverse ma queue dans sa gorge. Vu comment ma bite tressaute, j'imagine la grande quantité de sperme, trop longtemps retenue, qu'a reçu la bouche de ma fille. Et pourtant, elle avale tout, jusqu'à la dernière goutte. Tout le temps de mon éjaculation, ma petite Sarah ne m'a pas quitté du regard. Semblant apprécier autant que moi ce moment incroyable.
Repu de plaisir, je bascule en arrière et je ferme les yeux. Je savoure le calme après la jouissance. Je repense à ce qu'il vient de se passer. Comment Sarah peut-elle savoir comment exciter un homme à ce point? Où a-t-elle appris tout cela?

Les râles de plaisir de mes enfants me ramènent à la réalité. Pour eux l'orgasme est imminent. Jérémie donne les derniers coups de reins, ralentit progressivement. À son visage j'ai vu quand il a jouit. J'imagine son sperme chaud jaillissant dans la chatte humide de sa soeur. Sarah l'a suivi de près. Tous deux s'affalent sur le sol. Jérémie est allongé sur le dos de sa soeur, la queue encore logée dans son vagin. Quel veinard! Bien que je n'ai pas à me plaindre car moi aussi j'ai été satisfait.
Avec un sourire malicieux, Sarah lance un "Joyeux anniversaire petit frère!" avant de l'embrasser goulûment une dernière fois.


Pendant les mois qui suivent, aucun de nous trois ne reparle de cette soirée enchantée. La vie continue comme avant. Chacun gardant le secret. A un détail près: maintenant Jérémie collectionne les conquêtes....

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