Mardi 23 avril 2 23 /04 /Avr 13:28

Jour 2

 

7h du matin.

 

 À peine les yeux ouverts, je me tourne vers Meggh. Elle dort encore. Toujours allongée sur le ventre, elle m'offre à ses dépends une vue exquise sur son joli postérieur. Contrairement à hier soir, je ne vais pas prendre le risque de me masturber à ces cotés. La probabilité qu'elle se réveille et me surprenne la bite à la main est bien trop importante. Non, je vais simplement rester un moment à la regarder dormir. Et savourer le spectacle de son derrière à l'air libre.
Au fond de moi je souhaite qu'elle change de position et, qu'enfin, elle me dévoile son autre face. Ce qui n'arrive pas hélas. Mais ce n'est pas grave, le spectacle qu'elle m'offre est suffisamment agréable. Je resterai bien ainsi la journée entière mais ma vessie se rappelle à mon bon souvenir. Je quitte donc le lit avec mille précautions pour ne pas la réveiller.
À mon retour elle n'a toujours pas bougé. Je reste quelques secondes au bord du lit pour profiter d'un angle nouveau. Ses fesses sont bien rondes et généreuses sans être grasses ou flasques. Les fesses de mes filles, aperçues hier, me reviennent en mémoire. Décidément les filles du côté de ma femme sont vraiment gâtées par la nature.
En me remémorant les petites filles qu'étaient Alix, Julie et Meggh rien ne laissait deviner les beautés qu'elles allaient devenir à présent.
Je reprends ma place sans faire de mouvements brusques. Mais hélas ma nièce écarte légèrement les paupières.
"Bonjour tonton." me dit-elle d'une voix encore toute endormie, mais le sourire aux lèvres.
"Bonjour ma puce."
Elle change de face - enfin! mais bien trop tard à mon grand regret - et s'étire langoureusement. Quand elle s'aperçoit que son tee-shirt est relevé elle rabat rapidement le drap vers elle. Son pubis, rapidement dévoilé, disparait.
"Excuse moi tonton, je n'avais pas fait attention."
"Ce n’est pas grave. Il n'y a aucun mal." Au contraire même ajouterait mon côté voyeur.
"Mais j'aurais du mettre une culotte."
"Écoute ma puce, nous allons partager cette couchette pendant deux mois, alors met toi dans la tenue où tu te sens la plus à l'aise. Je ne te ferai aucun reproche."
"Merci. T'es vraiment un amour."
"Allez, prépare-toi ou continue à dormir. Moi je vais préparer le petit déjeuner puis on lèvera l'ancre."

 

La journée se déroule comme hier. Dès que nous sommes éloignés de la côte, et donc hors de portée des regards indiscrets, les filles revêtent leurs maillots de bain. Au fur et à mesure, je perds tout sentiment de culpabilité à les admirer. Après tout ce sont elles qui ont choisi de porter des tenues si dénudées en ma présence. Que je les regarde ne doit pas les gêner plus que ça. D'autant plus que les filles viennent régulièrement passer un petit moment à mes cotés pour discuter. Parfois même m'embrasser sur la joue ou chercher un câlin. Comme Alix qui me rejoint et me dit:
"Pourquoi tu restes à la barre en permanence? Tu n'as qu'à mettre le pilotage automatique et laisser faire les choses."
"Oui je sais mais je suis tellement en manque de navigation que pour le moment je préfère piloter moi même."
Puis passant un bras autour de mes reins, ma fille me murmure, hilare:
"Dis plutôt que tu ne sais pas faire marcher le pilotage automatique."
"Eh dis donc chipie!"
D'un geste machinal je lui adresse une petite tape sur les fesses, oubliant qu'elles sont nues (la ficelle du string se logeant entre elles). Alix m'étreint d'avantage, ne protestant nullement de la présence de ma main sur son postérieur.
"T'es vraiment un papa merveilleux. Je t'aime."
ajoute-t-elle en se serrant contre moi et en m'embrassant d'un bisou sonore sur la joue avant de rejoindre sa sœur et sa cousine.

 

23h30.


Nous avons rejoint la marina d'Anglet, pour une escale, au milieu de l'après-midi. J'ai donné quartier libre aux filles pour quelques heures, le temps pour moi d'effectuer quelques formalités. Puis à leur retour nous sommes allez diner à Biarritz.
Il est déjà très tard lorsque le taxi nous dépose au port de plaisance. Si bien que nous décidons d'aller nous coucher. Toute la journée j'ai évité de trop penser à cet instant, mais durant le trajet en taxi rien d'autre ne trouvait place dans mon esprit.
Une fois rentrés dans la cabine, Meggh me laisse utiliser la salle de bain en premier. Quand j'en ressorts je la trouve déjà en tenue de nuit: son tee-shirt et, je le constate à regret quand elle se penche pour prendre sa trousse de toilette dans son sac, un shorty...
Elle s'éclipse à son tour. Je m'allonge sur le lit, moi même simplement vêtu d'un boxer. Quand elle réapparaît, elle s'allonge à mes côtés.
"Si tu veux dormir je peux éteindre!?"
"Non je ne suis pas fatiguée. C'est gentil."
"Tant mieux parce que moi non plus. Alors dis moi, tu apprécies cette croisière?"
"Oh oui c'est trop bien. La mer. Le voyage. Changer d'endroit tous les jours. Et puis d'être avec vous trois c'est parfait. On est parti simplement depuis hier matin et déjà je sais que ce sera les plus belles vacances de ma vie."
"Je l'espère aussi. Et nous aussi on est heureux de t'avoir avec nous."
"Par contre je m'inquiète un peu pour les nuits qui viennent."
Aïe! Je sens que ça va mal tourner pour moi.
"Tu ne veux plus partager la cabine avec moi? On peut s'arranger avec les jumelles si tu veux."
"Ah non non non! Ce n’est pas ça du tout. C'est juste que la nuit dernière j'ai eu très chaud. Et là, nous descendons bien au sud et j'ai peur de mal dormir à cause de la chaleur..."
"Je te l'ai dit ce matin: met toi totalement à ton aise. Ne te soucie pas de moi ma puce. Comment dors-tu chez toi normalement?"
"Ben en fait en cette saison quand il fait trop chaud je dors... euh... sans rien."
"Écoute, on est entre nous là. Moi ça ne me dérange que tu te mettes nue pour dormir."
"Tu es mon oncle. Je ne sais pas si ça se fait de se montrer sans rien devant son oncle. En fait moi ça me dérangeait pas parce que je t'adore. Mais je ne sais pas. J'ose pas."
"Tu sais je t ai déjà vu dans toute ta nudité! Quand t'étais bébé et que nous te gardions, je changeais ta couche."
Meggh m'adresse un grand sourire. Je sens qu'elle hésite. Il me semble entendre les voix intérieures qui se chamaillent pour savoir si elle osera franchir le cap.
Et puis sans attendre sa réponse, je retire mon boxer.
"Moi aussi je dors nu quand je suis dans mon lit."
Ma nièce me regarde avec surprise puis à son tour elle retire son shorty et son tee-shirt.
"Tu as raison: faisons comme à la maison. Et puis on est la pour passer de bonnes vacances, pas pour se prendre la tête!"

 

Nous discutons un long moment. Allongé sur le dos, j'évite de trop la regarder. Elle est allongée sur le côté, tournée vers moi. Par moment j'aperçois ses yeux qui se fixent sur mon sexe.
"Alix et Julie ont vraiment beaucoup de chance..."
"Ah bon! Pourquoi?"
"Mon père a disparut après avoir mis ma mère enceinte. Depuis je n'ai eu que de beaux-pères tous plus cons les uns que les autres. Les jumelles t'ont toi: t'es un papa plutôt cool, généreux, intelligent et ouvert."
"Mais t'oublies que je suis parfois un papa un peu trop absent..."
"Sauf que c'est pour un boulot dont elles sont fières et en cas de problème tu es la. Je me rappelle que lorsque Alix a eu l'appendicite l'année dernière tu as interrompu tes recherches au Japon pour rentrer et être présent."
"Tu ne connais pas tous mes défauts ma puce. En tout cas à partir de maintenant, je vais être un tonton aussi attentionné que possible."
Meggh vient se placer dans mes bras. La tête sur mon épaule. Je l'enlace tendrement. Sa poitrine entre en contact avec mon torse. Son pubis, entièrement dépourvu de poil frôle ma hanche. D'une main je lui caresse affectueusement le dos, descendant jusqu'aux creux de ses hanches. Je m'aventure sur quelques centimètres sur sa fesse gauche. Bien qu'elle ne dise rien, je délaisse son joli petit cul et remonte sur ses reins, son dos. Et je redescends. M'arrêtant encore à la naissance de ses fesses. Sa peau est douce. Plus douce que je ne l'aurais imaginé. Tout son corps irradie de chaleur. Son parfum, léger et fruité, ravis mes narines.
Meggh par instant dépose des bisous sur ma joue. Un frisson parcourt son corps au moment où le bout de mes doigts effleurent une nouvelle fois sa fesse.
"Tu as froid ma puce?"
"Non... Tes doigts sont si doux..." me murmure-t-elle dans un souffle. Puis se plaquant contre moi elle m'ordonne de la serrer fort.
Nos corps se trouvent alors face à face. Inévitablement mon sexe se retrouve bloqué entre nous. Et il commence à grossir et durcir. Meggh s'en rend compte bien sur. Elle s'écarte de moi et regarde ma queue tendue. D'un geste rapide je tente de saisir un morceau de drap pour dissimuler mon érection. Mais elle m'en empêche.
"Je... je suis désolé"
"Chuuut!" souffle-t-elle. "C'est rien. Je suppose que si nous partageons ce lit durant deux mois, j'aurai encore l'occasion de la revoir grandir."
Je ne sais quoi répondre. Alors je garde le silence.
Ma jolie nièce pose sa main sur mon ventre, non loin de mon sexe. Elle passe sa main sur les rares poils qui couvrent mon abdomen. Par instant un doigt innocent vient frôler mon membre. Ce petit jeu qui semble lui convenir me met au supplice. Mon sang bouillonne. Je donnerai tout ce que j'ai à cet instant pour qu'elle le saisisse dans sa petite main et qu'elle me masturbe. Peut-être irait-elle jusqu'à le prendre dans sa bouche...
Mais non. Papillonner autour et l'effleurer du bout des doigts lui suffit.
Au bout de quelques minutes je perçois que ses doigts ont cessé de jouer et que son souffle a changé. Elle s'est endormie. Je me libère de son emprise afin de me rendre dans les toilettes et me soulager.
Je fais le tour du lit, la queue en avant. Meggh ouvre les yeux et me dit, tout en regardant mon érection:
"Dépêche-toi tonton. Je veux dormir dans tes bras."
Je dois avouer que me masturber ne m'avait jamais pris aussi peu de temps tant j'étais sur le point d'exploser.
En retournant vers la couchette, je vois que Meggh ne s'est pas endormie. Elle regarde mon sexe dégonflé et me sourit. Elle a comprit ce que je viens de faire, j'en suis certain.
Dès que je suis couché, elle m'enlace à nouveau et m'embrasse sur la joue, mais tout près de ma bouche.
"Tonton Paul?"
"Oui Meggh?"
"À partir d'aujourd'hui je veux que tu me prennes dans tes bras et que tu me serres contre toi tous les soirs."

 

 

A suivre

 

Ou Paul et Meggh vont de plus en plus loin…

 

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Mardi 23 avril 2 23 /04 /Avr 13:27

Je m appelle Paul. J'ai 41 ans. Je suis archéologue. Amoureux de la mer depuis toujours, j'ai toujours rêvé de faire une croisière avec mes filles. Tout un été sur l'eau avec les deux personnes les plus importantes de ma vie.
Depuis mon divorce d'avec leur mère, je ne peux guère passer beaucoup de temps avec elles. Et cela nous manque à tous les trois.
Et puis l'opportunité c'est présentée. Une période sans chantier de fouilles, une rentrée d'argent conséquente à la suite d'un succès en librairie de mon dernier livre sur les grandes civilisations maritimes et deux mois de vacances pour Alix et Julie. Il ne fut pas facile de convaincre leur mère mais devant l'insistance des filles, elle a finit par accepter. En contrepartie mon ex-femme a exigé que Meggh, sa nièce, vienne avec nous car elle traverse une période difficile. Connaissant le tempérament calme et conciliant de Meggh j'ai accepté.

Jour 1

Aujourd'hui c'est le grand départ. Les filles m'ont rejoint hier. Moi, je suis arrivé à La Rochelle il y a trois jours afin que tout soit prêt pour lever l'ancre. Nourriture, formalités administratives, etc...
Au moment de larguer les amarres et de quitter le quai, j'éprouve un rare bonheur. Les filles sont excitées comme des puces.

Mais peut être est-il temps que je vous les présente. Alix et Julie sont jumelles. Elles viennent d'avoir 16 ans. En temps que père je manque peut-être d'objectivité mais je les trouve très belles. Grandes et fines, elles tiennent de leur mère. Y compris leurs cheveux châtains clairs et leur poitrine relativement peu développée. Jusqu'à récemment, il était particulièrement difficile à un œil peu avisé de les différencier. Même voix, même sourire, même manie. Et puis, il y a trois mois Julie c'est faite couper les cheveux. Depuis il est aisé de reconnaître qui est qui. Mais pour moi, nul besoin de cela.
Leur cousine Meggh a quelques mois de plus que mes filles. Elle est la fille de mon ex-belle sœur et d'un musicien de passage. De son père, elle a hérité une peau métissée et une chevelure brune et dense. Pour elle, bien que je sois divorcé de sa tante depuis plus de quatre ans, je reste son "tonton Paul"

Le bateau a enfin quitté le port. Je suis à la barre, heureux de vivre l'instant. Les filles sont à mes cotés. Tout le monde sourit.
"Bon c'est pas tout ça les filles, mais comment on s'organise pour la vie à bord? Je vous rappelle que les tâches à bord ne seront pas toutes pour ma pomme. Ensuite j'aimerai quand même savoir ce que vous avez décidé pour les cabines car il y a toujours que deux cabines et qu'il y en a une de vous qui devra partager la mienne. Que la volontaire se rassure: je ne ronfle pas!"
"T'inquiète pas Papa, on s'occupera du ménage avec Alix, et Meggh fera la nourriture. Et pour la couchette Meggh se dévoue. Et puis de temps en temps on fera des roulements."
"Allez! La côte est loin maintenant. On peut commencer la chose la plus importante!" s'écrie Alix. "On se met en maillot et on commence les séances de bronzage."

Les filles disparaissent alors dans une des cabines. Je les entends rire de bon cœur. Elles réapparaissent au bout d'un quart d'heure. Meggh dans un deux pièces noir très sage. Par contre Alix et Julie portent le même ensemble blanc pour le moins minimaliste. Le haut ne cache que les tétons, alors que le bas est un minuscule string ficelle.

"Houla! Mais c'est quoi ces maillots? Votre mère vous a laissé acheter ça?"
"Non on l'a fait sans lui dire avec notre argent de poche." M'explique Julie. "Elle ne le sait pas."
"En tout cas je ne veux pas vous voir porter ça près de la côte. Je ne veux pas de soucis moi! Je ne sais pas si c'est légal un truc aussi sexy!"
"T'inquiète pas petit Papa on en avait pas l'intention non plus. On a d'autres maillots normaux."
Les trois ados rejoignent alors l'avant du bateau pour se faire bronzer.

La journée se passe tranquillement. Les filles font des allers-retours sur le bateau, dans les cabines. Je ne peux me retenir de les regarder. De les contempler. Je constate que le temps à vite passé et que les trois petites filles sont devenues des jeunes femmes avec un corps de rêves. Dissimulés sous son haut noir, les seins de Meggh semblent généreux, ronds et fermes. Sa peau mate donne à sa poitrine l'aspect de fruits gorgés de soleil.
Tout aussi appétissantes mais beaucoup moins dissimulées, les fesses d'Alix et de Julie rendraient jalouses toutes les femmes que j'ai eu l'occasion de connaître. Une vraie invitation aux caresses.
"Hein!? Une invitation aux caresses! Oh Paul, qu'est ce qui t'arrives? Tu deviens fou? L'air du large te fait perdre la tête ou quoi?"
Cette petite voix dans ma tête me ramène à la réalité. Et à l'énormité de mes pensées. De plus, je sens que mon sexe est en érection. Une vague de honte me submerge. Je suis en train de bander en regardant le cul de mes filles et les seins de ma nièce... Aussitôt je détache mon regard de ces fruits défendus et me concentre sur la navigation.

Vers 17h, nous rejoignons une zone de mouillage. Après avoir jeté l'ancre, je plonge dans la mer, suivi de peu par les filles. Pendant une demi-heure nous pataugeons dans la Grande Bleue avant de remonter à bord. Les filles vont se sécher et se changer car à quelques encablures un autre bateau est venu mouiller.

La soirée s'annonce agréable. Une légère brise marine vient doucement rafraîchir l'air. Meggh prépare le dîner. Je lui prête main forte tandis que les jumelles dressent la table. Durant le repas nous parlons de notre première escale. Elles me font part de leurs envies de visite pour cette croisière.
La nuit est tombée. Les filles, fatiguées par l'air du large sont allées se coucher de tôt. Je reste sur le pont pour admirer la beauté du panorama. Un peu de musique classique, portée par le vent, me vient de l'autre bateau au mouillage.
À mon tour je me rends dans ma cabine. J'y retrouve Meggh, profondément endormie dans le lit double. Après m'être douché, je m'allonge à côté d'elle. Je ne peux m'empêcher de la regarder. Cette fille n'a pas fini de faire battre des cœurs tant elle est magnifique.
Elle a revêtu pour dormir un long tee-shirt. Son souffle est lent. Sa poitrine se soulève calmement. Sa bouche légèrement pulpeuse est entre-ouverte. Une envie intense de poser mes lèvres sur les siennes me tenaille. Je tourne le visage et j'éteins la lumière pour m'éloigner de la tentation.

Dans le cœur de la nuit, je me réveille en sursaut à la suite d'un rêve. La tête de Meggh est contre mon épaule. Je sens son souffle chaud contre mon bras. J'allume la lumière et je découvre ma nièce allongée hors des draps. Son tee-shirt froissé est remonté jusqu'à son nombril. Et je découvre... qu'elle ne porte pas de culotte. Comme elle est sur le côté je ne peux pas voir son sexe proprement dit, mais son pubis, sa hanche gauche et ses fesses sont offerts à ma vue. Instantanément je me mets à bander. Excité et frustré, je pense aux deux mois durant lesquels je vais cohabiter dans le même lit avec ma nièce. Le Paradis? Avoir une telle beauté dans son lit est rarissime, et pouvoir admirer son intimité est un privilège. L'Enfer? Regarder sans pouvoir toucher est vraiment une torture...
Je ne sais pas combien de temps je reste les yeux fixés sur elle. Mon sexe est si gonflé qu'il en est douloureux. Je commence à me masturber. Tout en regardant ma nièce dormir, je fais aller et venir ma main sur ma queue. Intérieurement je la supplie de bouger légèrement pour m'offrir une meilleure vue de sa chatte.
Lorsque je suis sur le point d'éjaculer je me dirige vers les toilettes. Mon sperme jaillit avec force. Les yeux fermés, l'image du corps de Meggh reste bien présent.
Le sexe dégonflé et les sens apaisés je regagne notre couchette. Meggh est à présent allongée sur le ventre, les fesses bien offertes à ma vue.
"Mon Dieu! Je sens que le sommeil va être dure à venir..."
Comme pour confirmer cette pensée ma queue décide de se redresser. Et je retourne aux toilettes...

 

 

A suivre

Quand Paul  obtient le droit d’en voir d’avantage

 

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Jeudi 11 avril 4 11 /04 /Avr 15:01
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Par intales
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Jeudi 28 mars 4 28 /03 /Mars 11:07

Il est 17h15 ce mercredi lorsque je reçois un appel de ma fille.

 

"Bonjour papounet! Émilie est avec moi chez maman et elle vient de me dire qu'elle a oublié un bouquin dans ma chambre quand elle est venue réviser avec moi ce week-end. Elle peut passer le récupérer tout de suite? On risque d'en avoir besoin demain."

 

"Bien sur! Par contre je finis dans un quart d'heure donc je ne serai pas à la maison avant 18h."

 

"Ok. Au pire elle t'attendra si jamais elle arrive avant toi. Ah oui, elle aurait besoin de faire quelques recherches dans tous tes bouquins pour un exposé. Elle pourrait venir le week-end prochain quand je serai chez toi, mais bon autant en profiter dès ce soir."

 

"Y a pas de problème. Et puis ça me fera un peu de compagnie en semaine pour une fois."

 

"T'es adorable. bon je lui dis. Bisous papounet et à vendredi soir."

 

"Bisous ma puce."

 

En arrivant devant mon domicile, je constate que la Clio blanche, ornée du A des jeunes conducteurs, d'Emilie est garée non loin de là. Je lui fais un petit signe pour qu'elle approche.

Elle me rejoint.

 

"Bonsoir Étienne. Je suis désolée de vous déranger."

 

"Mais non, tu ne me déranges nullement. On se connaît depuis assez longtemps pour que tu puisses venir sans craindre de me déranger."

 

Puis constatant ses yeux légèrement rougis, comme si elle venait de pleurer, je lui demande si tout va bien. Ce à quoi elle me répond par un petit oui.

 

Nous entrons dans la maison. Comme elle connaît parfaitement les lieux, je l'invite à faire comme chez elle.

 

Pendant qu'elle récupère son livre et qu'elle fait ses recherches dans la bibliothèque, moi je file dans la salle de bain prendre ma douche et mettre quelque chose de plus confortable que le costume cravate du boulot.

 

En sortant de la salle de bain j'entend Emilie se disputer au téléphone avec quelqu'un. Je la rejoint et la découvre en larmes. Inquiet, je lui demande ce qu'il se passe. Elle garde le silence un moment puis elle me dit:

 

"Je peux vous faire confiance?"

 

"Évidemment ma grande. Dis moi ce qui te met dans un tel état."

 

"C'est mon ex petit copain. Il n'arrête pas de me harceler. J'ai beau lui dire que tout est fini, il n'arrête pas de m'appeler des dizaines de fois par jour. Et tout à l'heure, pendant que je vous attendais, il m'a dit que si je ne retournais pas avec lui, il mettrait les quelques photos coquines qu'il a de moi sur internet."

 

Ses larmes reprennent de plus belle. Je cherche les mots qui pourraient l'apaiser lorsque son portable sonne.

 

"Oh non! C'est encore lui!"

 

Je lui prend son téléphone de sa main tremblante.

 

"Tu me laisses essayer de régler ça à ma manière?"

 

D'un geste de la tête, elle me donne son accord.

 

"Allô... Non c'est pas une erreur... Qui je suis? Le nouveau copain d'Emilie. Jusqu'à maintenant j'ai rien dis car je pensais que tu serais assez intelligent pour comprendre. Mais là tu commences à me saouler. Alors je vais être bien clair avec toi: si Emilie reçoit un appel, un message ou bien même que tu t'approches à moins d'un kilomètre d'elle, et que tu fais un truc contre elle, je peux te jurer que tu le regretteras. Et crois moi c'est pas du bluff... Compris?.. Oui oui fais le beau derrière ton téléphone mais crois moi tu risques gros... C'est ça... Salut."

 

Après avoir raccroché je rend son téléphone à Emilie qui me regarde la bouche ouverte. Je lui souris en lui disant qu'il n'y a plus qu'à attendre pour voir si cela porte ses fruits.

 

L'amie de ma fille m'explique que le garçon n'est pas du genre courageux. Il y a donc des chances qu'il se fasse moins pressant et présent.

 

"Allez tu peux travailler sur ton exposé tranquille à présent. Préviens tes parents je te garde à dîner avec moi ce soir..."

 

Sans même lui laisser le temps de répondre je quitte la bibliothèque pour la laisser travailler.

 

Vers 19h30, je retourne voir Émilie. Je la regarde travailler. Je découvre que cette jeune fille que je connais depuis des années est devenue une jeune femme pour le moins séduisante. Et je me met à regretter d'avoir 25 ans de trop.

 

Elle relève la tête. Un sourire illumine son visage. Je m'approche d'elle et viens me placer derrière son fauteuil. D'un geste machinal je pose mes mains sur ses épaules, comme j'ai l'habitude de le faire quand ma fille fait son travail à chez moi.

 

"Je crois que vous avez foutu une sacrée frousse à l'autre "pot-de-colle" car je n'ai plus de nouvelle. Enfin!"

 

"J'espère que cela va durer. En tout cas, j'aimerai que tu m'excuses de m'être fait passer pour ton petit ami..."

 

"Au contraire! Ça a été super efficace... Et puis... C'est très flatteur pour moi d'avoir été votre chérie ne serait-ce qu'un virtuel instant."

 

Pour terminer sa phrase, elle penche sa tête vers ma main, qu'elle caresse de sa joue. Ce contact est extrêmement tendre. Il y a si longtemps que je n'ai pas eu de geste tendre de la part d'une femme que j'en suis tout ému.

 

Émilie saisit alors ma main et y dépose quelques petits baisers. Un trouble m'envahit. Cette fille, qui a l'âge de ma fille, fait naître en moi un immense désir. Ma tête me dit de quitter la pièce, alors que tout le reste de mon corps m'ordonne de rester et de profiter de cet instant.

 

"Emilie... Ne joue pas à ça... Je suis un homme trop vieux pour toi... Tu es une amie de ma propre fille... S'il te plait arrête avant qu'il ne soit trop tard!"

 

Ai-je dit réellement tout ça? Ou ces mots sont restés au simple stade de la pensée? Toujours est-il qu'Emilie ne s'arrête toujours pas. Au contraire. Elle guide ma main sur son cou, la fait descendre sur sa poitrine, que je peux sentir sous son débardeur. Et moi je la laisse faire.

 

Quand enfin elle relâche son emprise, c'est pour se retourner et me faire face.

 

Elle passe ses bras autour de mon cou. Son sourire m'hypnotise. Et quand ses lèvres se posent sur les miennes, un frisson parcourt mon corps.

 

Sa langue se fraye un passage entre mes lèvres et vient chercher la mienne. À cet instant toute résistance en moi c'est envolée et je me laisse aller aux baisers de cette troublante jeune femme.

Entre deux baisers et dans un murmure Emilie me dit qu'elle a envie de moi... depuis très longtemps.

Mon égo de mâle se trouve flatté. Je lui prend la main et la conduit sur le canapé de la bibliothèque.

 

Enlacés, nos baisers gagnent en fougue. Les mains d'Emilie glissent sous ma chemise, qu'elle entreprend très vite de déboutonner. Sa bouche papillonne sur mon torse, mon ventre. Revient sur mon cou et mes épaules. Elle me retire mon pantalon et enfin mon boxer.

 

Alors qu'elle s'apprête à s'occuper de mon sexe déjà dressé, je lui fais retirer à mon tour ce qu'elle porte. Chaque vêtement enlevé me révèle une partie de son corps jeune et magnifique. Je l'admire. Je la caresse. Je l'embrasse. J'ai l'impression de revivre mes premiers émois d'adolescent. Son corps et ses baisers sont ma fontaine de jouvence.

 

"J'espère que je te plais!" me dit Emilie, intimidée pour la première fois de la soirée.

 

"Oh oui! Tu es merveilleuse. J'ai l'impression de rêver!"

 

De nouveau sa bouche vient se perdre sur la mienne. Son corps se blottissant contre le mien. Mon désir enfle d'avantage chaque seconde.

 

Emilie se met à genoux sur le sol, devant le canapé. Elle saisit doucement mon sexe dans sa main et commence à me masturber. Elle me regarde en souriant. Son visage s'approche de mon sexe. Elle l'embrasse et je m'embrase. Enfin elle le léche avant de le faire entrer dans sa bouche. Avec une adresse qui révèle qu'elle n'est certainement pas novice en la matière, elle me procure d'agréable sensations. Je vois mon sexe, tendu au maximum, aller et venir entre ses lèvres délicates.

 

Je perd toute notion du temps. Je sais juste que je ne vais plus pouvoir me retenir très longtemps... Ma douce amante délaisse à regret mon sexe et revient m'embrasser.

 

"Tu me rends fou!" lui dis-je en souriant.

 

"J'espère bien, j'ai si souvent rêvé de vivre cet instant avec toi."

 

À mon tour je place mon visage entre ses cuisses que j'embrasse. Son minou est totalement glabre. Les lèvres de son sexe sont extrêmement fines. Avant même que je ne m'occupe d'elle, sa chatte est recouverte de cyprine. Je l'embrasse. Son clitoris semble agir comme un aimant. Mes lèvres puis ma langue s'y activent. Les gémissements d'Emilie me confirment que je suis sur la bonne voie. Mes doigts entrent alors en jeu. D'un doigt, très vite rejoint par un second, je pénètre son vagin tout en continuant de lui titiller le clitoris.

 

Ses gémissements redoublent. Sa main droite vient palper ses seins tandis que la gauche fourrage mes cheveux.

 

Ma jeune maitresse finit par jouir...

 

Juste quelques secondes pour reprendre son souffle et Emilie me renverse sur la moquette. Elle m'embrasse à pleine bouche et semble apprécier de retrouver le goût de son sexe sur mes lèvres.

 

Allongée sur moi, elle se redresse. Elle soulève son bassin et vient agripper ma queue toujours aussi tendue. Elle la guide vers son vagin. Elle s'assoit alors sur moi, mon sexe profondément enfoncé en elle. Lentement, elle commence à bouger le bassin. Puis son mouvement s'amplifie. Mes mains englobent ses seins. Mes doigts jouent avec ses tétons. Emilie caresse son clito. Je sent sa mouille couler sur ma queue.

 

Ses coups de reins s'accélèrent. Emilie entre-ouvre les lèvres pour rechercher de l'air. Je lutte pour ne pas jouir en elle immédiatement. Je veux qu'elle jouisse d'abord...

 

Heureusement cela arrive rapidement. Je peux alors me répandre en elle. Le jaillissement de mon sperme m'arrache un râle de plaisir...

 

 

Allongé sur le sol, ma jolie Emilie lovée dans mes bras, je savoure cet instant magique.

 

"Wouah! Si c'est un rêve, c'est le plus beau que je ferai de toute ma vie!"

 

Emilie rie et m'embrasse tendrement.

 

"Je crois bien que c'est moi qui vit mon rêve le plus fou!"

 

"En tout cas, tu peux venir travailler tes exposés à la maison tous les jours si tu as besoin."

 

"Vraiment? Tu es sérieux?"

 

"Oh oui! Et puis n'oublie pas ce que j'ai dit à ton ex: à présent je suis ton homme!"

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Samedi 9 mars 6 09 /03 /Mars 02:21

1ére partie

 

Je me souviens de ce jour comme si c était hier. Comment oublier la première fois où une fille vous offre sa nudité? Pour ma part c est impossible.

 

À cette époque la je dois avoir 15 ans et elle un an de moins. Elle s appelle Séverine et c est la sur de mon meilleur copain de l époque, et elle vit dans le même lotissement que moi. Nous ne sortons pas ensemble, mais il nous arrive de flirter un peu ensemble de temps à autres. Plus par jeu que par attirance amoureuse.

Un samedi de juin elle vient frapper chez moi à la recherche de son frère. Exceptionnellement celui ci n est pas avec moi.


"J'ai un devoir de math à faire absolument ce week end et il devait m aider. Il est parti, j y arrive pas et il n y a personne à la maison pour m aider!.. Je te jure quand il rentre je l'égorge."

Son sens de la demi-mesure me fait rire.


Avant que je puisse lui dire quoique ce soit, ma mère qui se trouve avec nous dans le salon propose mon aide à Séverine. Bien que passer du temps avec elle ne me dérange jamais, passer ce beau samedi de juin enfermé dans ma chambre à faire des maths ne m enchante pas vraiment. Mais je finis par accepter et invite Séverine à aller chercher ses affaires à me rejoindre dans ma chambre, où j ai mon bureau.

 

Pendant près de deux heures nous ne nous concentrons uniquement sur son devoir. Et quand enfin le travail est fini, un ouf de soulagement s échappe de part et d autre.


"Sans toi j aurai passé mon week-end la dessus sans être certaine d y arriver! Vraiment là, je te remercie et tu peux me demander ce que tu veux..."


Je sais quelle a dit cela sans aucuns arrières pensés mais ce n nest pas le genre de chose à dire à un ado de 15 ans travaillé par des pensées lubriques dignes de son âge.


"Je peux vraiment te demander ce que je veux?"


Le sourire de reconnaissance, quelle affiche depuis la fin du devoir, disparait et je perçois un certain malaise en elle.
"Euh... Oui... Enfin si tu en demandes pas trop quand même..."

J approche ma bouche de sa bouche pour l embrasser, ce qui n est pas la première fois entre nous, puis, fixant mon regard dans le sien je lui dis:


" J aimerai te voir... toute nue"


Immédiatement le visage de Séverine passe au rouge. Elle ouvre la bouche comme pour dire quelque chose mais garde le silence. Quelques secondes de silence s installent. Je vois bien qu'en elle une réflexion intense s'est mise en marche. Puis elle me dit:


"Ta mère pourrais nous surprendre... "


"Non elle pense que nous travaillons, elle ne nous dérangera pas!"


"Je... J ai peur! Je n ai jamais fait ça."


"Tu me connais, tu sais que je suis incapable de te faire du mal. La seule chose que je veux c est que tu sois nue devant moi. J en rêve depuis longtemps. Tu es belle et je t imagine souvent quand je me br... me fais du bien. Je te demande juste d ôter tous tes habits pour moi. Après il ne se passera que ce que tu auras envie qu'il se passe. Je te le promets que je ne ferai rien que tu ne veuilles pas. Et tu sais que tu peux avoir confiance en moi"


Je lui adresse mon sourire le plus amical. Je m efforce surtout de paraître calme et détendu alors qu'en réalité je sens une sorte de fièvre m envahir, mes mains tremblent, et dans mon caleçon mon sexe a déjà pris une taille inhabituelle.


Séverine se lève après un instant. Je me dis l espace d un instant quelle va partir et tout dire à ma mère, à ses parents... Je me vois déjà couvert de honte, victime des moqueries de tout le monde...


Mais en fin de compte elle ne fait que retirer son t-shirt. Une vague de désir et de soulagement m'envahit. En suite elle déboutonne son short et le fait glisser à terre.


Elle reste un moment ainsi en sous vêtements devant moi.


C est étrange la sensation d excitation qui me parcourt. Mon amie n a pourtant pas des dessous affriolants et la voir en sous vêtements n a rien de différent dans le fond que de la voir dans son maillot de bain deux pièces que j ai l habitude de lui voir porter à la piscine Mais pourtant là je suis au maximum de l excitation.


Elle me tourne le dos pour dégrafer son soutien gorge quelle laisse tomber sur mon lit. Elle me refait face, masquant ses seins de son bras gauche. Elle me regarde timidement. Je lui souris, lui dis quelle est belle. Elle laisse descendre son bras pour me dévoiler sa poitrine.


À 14 ans sa poitrine nest surement pas à l'apogée de son développement mais pour moi, à cet instant elle a les plus beaux seins de la terre. Ils ont la taille d un demi-pamplemousse. Ses tétons ne sont pas très larges et ils sont clairs. Les pointes de ses seins sont dressées, ce qui pour moi à cette époque n a pas vraiment de signification... Elle ne bouge plus. Mais je suis tellement absorbé par la beauté de sa poitrine que je m en rends à peine compte. J aimerai m approcher pour les toucher, les caresser, les embrasser, les palper. J ai envie de connaître leur fermeté ou bien leur douceur. Mon sexe emprisonné dans mon caleçon devient douloureux. Oh mon dieu comme j ai envie de la prendre dans mes bras. Sa voix douce et tremblante me ramène à la réalité du moment.


"Toi aussi déshabille toi!"


Je suis surpris par sa demande, mais je m exécute immédiatement. Une poignée de seconde après je suis en caleçon devant elle (je vous précise que c était la mode à l époque). Ma queue gonflée de désir forme une bosse pour le moins visible et révélatrice. D'ailleurs le regard de Séverine s y attarde longuement.


Je fais descendre alors mon dernier sous vêtement et je me retrouve totalement nu devant elle, la queue fièrement dressée devant moi. J avais demandé à mon amie de se mettre nue devant moi et en fin de compte je suis le premier à me retrouver dans le plus simple appareil... Mais je trouve ça naturel de lui offrir ce que je désire quelle me fasse.
Elle est sur le point d enlever sa culotte quand je me propose de le faire à sa place.


Elle accepte. Je m agenouille devant elle. Je sens la chaleur qui irradie de son corps. Son parfum délicat. Tous mes sens sont en éveil.


Je mets mes mains sur ses hanches, glisse un doigt de chaque côté de sa petite culotte puis lentement je la fais glisser. Son pubis à la toison peu fournie (il y a 20 ans les filles s épilaient moins à cet endroit) apparait. Puis le reste de son intimité. Les grandes lèvres de son sexe sont visibles. À mon grand étonnement j'aperçois une certaine humidité provenant de son sexe.


Ça y est. Elle est nue face à moi. Son minou à quelque centimètre de moi. Je n ose pas la toucher mais mes yeux s immiscent partout. Mon cur bat à tout rompre.


J approche ma bouche pour déposer un bisou sur son pubis. Elle me laisse faire.


Je me relève et elle me sourit. Je lui redis quelle est belle. Elle passe ses bras autour de mon cou et approche son visage du mien. Nos lèvres entrent en contact. Nos langues se trouvent. Il s en suit de longs baisers. Je l attire sur le lit sans cesser de l embrasser. Lorsque mes mains s aventurent à la découverte de sa peau chaude et douce elle me laisse faire. Quand ma bouche quitte la sienne pour venir se perdre sur ses seins elle ne s y oppose nullement. Mais lorsque ma main glisse entre ses jambes elle refuse.


"Pas aujourd'hui s'il te plait. C est trop tôt. Tu peux m embrasser ou me caresser partout où t as envie mais pas la. Je ne me sens pas prête. Par contre tu peux la regarder ma chatte."


Bien qu'un peu frustré je me plie à sa volonté. J embrasse à nouveau ses seins. Je joue avec ses tétons que je titille du bout de ma langue. Mes mains caressent ses cuisses ses fesses son dos. Par moment elle vient chercher ma bouche avec la sienne et plaque son corps contre le mien. Mon sexe dressé frotte contre son ventre. J ai terriblement envie de me branler.


"Je savais pas que je pouvais te faire bander comme ça" me dit-elle. "


"En fait tu me fais mouiller autant que je te fais bander."


La faire mouiller moi? Cela ne m était même pas venu à l esprit. Je place mon visage à proximité de sa chatte. En écartant les cuisses elle m offre le spectacle le plus beau et excitant que j ai pu connaître à ce jour. Je découvre son corps par l angle le plus intime. Les lèvres de son minou luisent d une pellicule liquide qui les couvre. Une douce odeur de désir en émane. Sans m en rendre compte j ai pris mon sexe dans ma main et j ai commencé à me branler. En prenant conscience que c est peut être déplacé et choquant pour Séverine je stoppe mon geste et m excuse.


"Non continue! Branle-toi! J ai envie que tu le fasses devant moi..."


Sans rien dire de plus je recommence à m astiquer devant elle. Bientôt elle met une main entre ses cuisses et se doigte en même temps.


Pour moi j ai l impression que le temps s est arrêté. Je suis ensorcelé par ses doigts qui s activent sur son clitoris ou qui glissent dans sa fente. J ai l impression d avoir 40° de température. De son côté elle fixe ma bite du regard... Quand ses doigts accélèrent sur son clito je me branle avec plus de vigueur. Nos deux corps sont tout proche l un de l autre. Et quand mon sperme gicle il se répand sur son ventre. Séverine jouit presque aussitôt. Allongés l un à côté de l autre nous nous embrassons.  Je lui prends la main avec laquelle elle s est doigtée et je suce ses doigts plein de mouille. Cela la fait rire et du coup elle prend un peu de mon sperme sur son ventre et le lèche.

"Bof c est pas terrible comme goût mais ça va".


Nous restons de longues minutes ainsi l un à côté de l autre à se détailler. Comme pour enregistrer dans notre mémoire nos corps en vue de futurs plaisirs en solitaire...

 

Plus tard nous retournons au salon. Ma mère demande si nous avions bien travaillé, ce à quoi Séverine répond:


"C est génial. Sans lui j y serai encore." puis s adressant à moi " On remet ça quand tu veux !"

Si cette histoire vous a plu dites le moi et je publierai la suite
Par histoiresanstabous - Publié dans : Severine - Communauté : histoires coquines sans tabous
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